la fille inconnue

Chapitre 4: restaurant et soirée

/il enfile son t-shirt et je le suis jusqu'à la porte on va dans la voiture une fois installé.

Isaac : Tu es très belle me dit - il 

Je me sens rougir ...../

Isaac : et si on y aller plus tard  à la soirée me dit il 

Moi : comment ça ? 

Isaac : je pense que tu es trop bien habillée pour aller a cette soirée, et si on allait manger un bout avant. 

Moi : euh, je sais pas 

J'avoue que c'est très t'attend et Nathaniel m'a dit qu'il arriverait en retard puis qu'est ce qu'il peut m'arriver? C'est pas comme si c'était un date il a juste faim et veux pas voir ses potes. 

Moi : okay 

Nous nous dirigeons vers ce lieu, je sens l'angoisse arrivée au fur et à mesure que nous avançons dans la nuit. Isaac me lance quelques coups d'œil en souriant. J'attrape ma tablette graphique et me mis à dessiner pour faire passer le temps. Le silence fut brisé par Isaac.

Isaac: Depuis quand tu dessines ?

Moi: Depuis deux, trois ans.

A ce moment-là, je sens une profonde nostalgie m'envahir, c'est ma mère qui dessiné quand elle s'ennuyait ou pour que le temps passe plus vite. Et je me rappelle, l'accident, tout me ramène toujours à ce soir là.

Isaac: Candice, Candice!!

Moi: Oui, que se passe-t-il?

Isaac: c'est la dixième fois que je t'appelle on est arrivé.

Moi : excuse moi j'étais dans mes pensées.

Isaac : J'avais remarqué, bon on y va ou tu comptes rester dans la voiture pour l'éternité?

L'idée ne me déplaisait pas mais je devais bien y allé. En sortant, j'aperçus un restaurant de ville ou il n'y avait quasiment personne. Isaac s'avança pour m'ouvrir la porte. 

Isaac : après vous 

Moi : avec plaisir

Nous sommes entrée, nous nous sommes assis à une table, une serveuse et arrivée et nous a donné un menu. Je n'avais pas très faim, j'ai pris une salade composée en menu avec de la limonade, et lui il a pris un steak avec des frites. 

Point de vue d'Isaac 

Moi : qui êtes vous mademoiselle Candice ?

Je ne sais pas pourquoi j'ai commençais à la vouvoyais mais cela ne semblait en rien la déstabiliser et elle me répondait de manière toute à fait cohérente sans jugement.     

Candice : et bien je suis une fille tout ce qu'il y a de plus banale et vous Monsieur Isaac ? 

Moi : Au moi, je pense que je suis comme ses poètes du 19 ème siècles mon âme est meurtrit elle est tiraillé. Mais je ne pense pas que vous soyez comme toutes ses filles. 

Candice : ah bon, vous pensez ? à dire vrai je vous avoue que je ne sais pas. Vous êtes tiraillé mais par quoi la passion, l'amour, le désir, la mort ? 

Moi : Je vous avoue que je ne sais pas qu'elle est mon épée de Damoclès. 

La serveuse est arrivée pour nous servir, au vu de son regard envers mes frites je voyais clairement une alchimie devant mes yeux. 

Moi : Je vois que tu es en train de tombé amoureuse de mes frites tu peux en prendre tu sais? 

Candice : Vraiment tu veux bien, Eden me laisse jamais pioché dans ses frites.