la fille inconnue

Chapitre 11 : lettre

/Au bout de 30 minutes, je signe ma traduction, je la pose à côté du manuscrit et je disparais dans l'ombre, une fois sortie de la bibliothèque je m'installe dans le parc ouvre mon ordinateur, et utilise la clé que Steve m'a donné pour entrée dans la sécurité du campus et j'efface mes traces, afin que personne ne découvre que c'est moi. Je ferme mon ordinateur et me dirige vers l'atelier d'art. Mais en mis rendant une personne me bouscule et je tombe en renversant mes affaires sur le sol...../

La jeune femme se retourne et me regarde longuement puis vient m'aidé. C'était la fille qui était sortie de la maison d'Isaac.

La jeune femme : Je suis complètement désolée, j'étais occupée dans mes pensées.

Moi : ce n'est pas grave, mais puis-je vous poser une question déroutante ?

La jeune femme : bien sûr.

Moi : A quoi étiez-vous en train de penser ?

La jeune femme : A la réalité est au fait que plusieurs personnes aiment ce voilé la face.

Moi : vous dites ça pour quelqu'un en particulier n'est ce pas ?

La jeune femme : Comment ?

Moi : je ne sais pas trop je le sens. Je m'appelle Candice. Dis-je en me relevant.

La jeune femme : Ravie de vous rencontrez, je m'appelle Kate. Je vous offre un café avant d'aller en cours vous êtes la seconde personne qui m'évoque ce prénom.

Moi : D'accord j'en serais ravie, c'est vrai qu'il n'est pas courant.

Je marchais à côté d'elle, en silence. Elle sortit son téléphone, et alla s'asseoir sur un banc près d'un stand où un homme vendait du café. Elle discuta un peu avec le jeune homme et vint me rejoindre.

Kate : Alors dis-moi un peu Candice, tu étudies quoi ?

Moi : C'est-à-dire que c'est un peu compliqué. Je n'étudie pas dans cette fac réellement je suis là en visite semestrielle, et toi tu étudies quoi ?

Kate : je suis dans la section de lettre Classique, j'étudie aussi les langues anciennes. En faites je voudrais bien devenir professeur à la fac plus tard, comme ta mère n'est ce pas ? 

Moi : ...

Kate : tu es la fille de professeur n'est ce pas 

Moi : En effet, mais comment tu as su

Kate : un jour, elle m'a montré une photo de toi tu n'était pas très grande peut être 11 ans et quand je t'ai vu, je sais pas j'ai eu l'impression de la revoir, quand elle publiait encore, au temps de sa jeunesse. 

Moi : au je vois, tu étais une de ses élèves ? 

kate : Oui il y a 5 ans maintenant je vais bientôt être diplômée c'était mon professeur préféré elle avait une lucidité sur le monde qui l'entouré et un vrai point de vu j'aurai tellement aimé qu'elle soit là pour me voir. 

Moi : Oui moi aussi

Kate : C'est elle qui ma fait aimé les lettres classiques, sans elle je serai peut être allée dans une autre voie 

Moi : Et c'est mal.

Kate : Je penses pas fondamentalement mais je serai passée à côté de ma voie. 

Moi : Mais comment peux-tu être persuadé que tu ne passes pas à côté maintenant.

Kate : je ne peux pas mais c'est la beauté de la choses. Enfin, il faut que je retourne en cours, j'ai était ravie de te rencontrer.