À Cause De Lui

-mon pouvoir-

~la noirceur ne peut pas chasser la noirceur. La lumière peut le faire. La haine ne peut pas chasser la haine l'amour le peut.

Je cours à travers les couloirs pour rattrapé feitan qui est partis depuis bellureth. Je parviens à le rattrapé en quelques minutes a bout de souffle.

- dis....est ce que tu pourrais m'expliquer.... ce qui vient juste de se passer?

- tu as été impliquée dans notre plan.

- quoi?! Il était sérieux le gars des années 70?!

- Yep.

- merdouille et boule de gomme! J'ai pas écouté un mot de ce que vous avez dit. Sauf quand j'ai entendu mon nom.

Il soupire, il ne dit rien, mais commence à m'ignoré et commence à partir.

- s'il te plait aide moi. Je dois faire quoi au juste? Uvo est sorti dehor et je peux pas le suivre

- un vrai pot de colle...

- mais sinon je m'ennuie!!!! S'il te plaiiiiiit.

Je lui donne mes plus beau yeux de chien battue. Ou comme le chat botté. Il finis par céder en me faisant un signe de la tête pour que je le suive.

- merci bien.

Nous rentrons dans une salle tout en démolition. Dans le coin à gauche se retrouve un matelas au sol avec quelque draps qui ont l'air un peu sale. A l'autre bout de la pièce se trouve un bureau étrangement en parfait état. Je vais m'assurer sur le matela en l'écoutant attentivement

- donc de un, écoute moi bien. Je ne t'expliquerai pas une deuxième fois. Bon... alors nous allons volé dans 3 endroits différent. Toi tu devras être a l'immeuble yorkpoly. Une fois qu'on te fera le signal tu devras mettre le feu aux bâtiment.

- c'est claire.

- maintenant place aux question. C'est quoi l'histoire des clés?

- en...fait. Je ne crois pas...

- si tu me veux pas je devrais utilisé la manière forte.

Juste à sa lueur de meurtrier dans ses yeux. Je sais que je n'est aucune envie de me retrouvé dans cette situation. Je ressortis mon trousseau de clé, tout en frottant avec mon pouce chacune des tête de clé.

- pour commencé, ses clés on été fabriqué par mon frère avant qu'il se fasse arrêter. Il a infuser de son nen dans chacune d'entre elle. Chacune on un pouvoir spécial, autant destructrice qu'elle peuvent être inutile. Tout est dans la façon de les utilisés. On me surnommé souvent la gardienne des clés, car elles émettent des sons que je peux entendre. Il en a partout dans ce monde. Je les chéris du plus profond de mon coeur et je suis prête à tout pour les protégés!

- intéressant...

- Je t'interdit de les volé!

Je les range rapidement ayant oublié à qui j'ai affaire. En une fraction de seconde je me suis retrouvé le dos contre le matela, il met une main de chaque côté de ma tête. Dans cette position je peux voir tout les trait de son visage.

- ne me parlé plus jamais comme ça. Amie ou pas, d'un membre de l'araignée tu te retrouvera à l'une des plus grande torturé de ta vie. Ainsi que la plus douloureuse.

Je déglutis difficilement face à sa remarque. Je suis pas masochiste, mais je ne regrette pas mon avertissement. Ici il va falloir que je fasse attention et toujours vérifier que mes clés sont bien rangé. Ce que je fis dès qu'il me relâcha.

J'ai dû passer au moins 4 heures à resté assise sous le regard du dénommé feitan. Entre temps je me suis mis une courte robe blanche et lui c'est mis en costume. Bordel qu'il est beau! Il m'a aussi parlé de chacun des membres, maintenant je peut mettre un nom sur leur visage.

- laisse moi sortir.

- non

- mais je m'ennuie!

- trouve toi quelque chose, mais ne fouille pas dans mes affaires.

- mais...

- Je te taquine, allez viens c'est l'heure. On va te conduire jusqu'au bâtiments.

-yaaaas!

Nous nous dirigeons vers la sortie ou tout le monde nous attendais déjà

- (Y/N) tu es en retard! Je croyais t'avoir mieux élevée que ça.

- ben je d'annonce que tu es un mauvais paternel...

- sale petite garce ....

- moi aussi je t'aime. Bisous.

- ouais ouais ....

Je monte dans la voiture noir en compagnie de nobunaga, sharnalk, kuroro et feitan. Je me suis entre nobunaga et feitan. Nous n'avons fait que 15 minutes de voiture, kuroro nous a emmené dans une immense bâtisse, qui me semble chic.

- feitan, (y/n) a vous de jouez.

Je le regarde de travers, comment ça moi et lui? Il commence à sortir de la voiture en me tendant la main.

- les plan ont changé ont dirais.

Il me regarde de son sourire sournois, comme s'il me regarde de haut. je pris délicatement sa main et dans l'autre ma petite sacoche contenant mes choses les plus précieuse.

- avoue que tu ne m'as pas tout dit tout à l'heure

- évidemment je dois gardé un oeil sur toi. C'est tout et tué les personnes qui se trouves ici.

- comment j'ai fait pour en arriver là ?

Il me sort délicatement de la voiture et on finis par se diriger vers l'entrée

- j'ai vue tes livres sur trevor Brown. J'étais loin de me douter que tu serais un pervert

Dis je un sourire en coin. Il a presque tout ses livres...

- et toi? Tu le connais bien non ? Sa veut dire que tu es autant une perverse que moi.

À ces mots je commence à rougir. C'est vrai que j'aime bien, mais sa veut dire que je suis une tordue moi aussi?! Ah non! Je me demande quel genre de soirée c'est...

- c'est une sorte de bal. Vue les nombreux objets de valeur le boss nous a ordonné de faire un massacre tout en volant l'objet qu'il convoite.

-....

- tu as pensé tout haut.

Ohhh ceci explique cela. Nous sommes en ce moment même dans le hall. Après avoir passé la sécurité, nous nous sommes assis attendant le signal, puis la musique à changé d'un coup, par un slow. Je me relève, mettant ma main dans la sienne l'obligeant à se lever lui aussi.

- allez viens sa va passé le temps !

- mouais... pas trop mon truc.

Je le pousse vers la piste de dance en mettant ses mains sur mes hanches. Je mène la danse en premier, sa pas du lui plaire vue qu'il repris le relais en quelques minutes. Je souris à pleine dents.

- Alooooooors?....

- c'est...pas si pire que ça...

- héhé.

Je commence à me collé à lui nous rapprochant l'un de l'autre. C'est agréable comme moment. Le sentiment d'être seul et les moments que j'ai passé à me morfondre sur moi même semble si lointain. Même si sa va faire a peine quelques jours que nous nous connaissons. Pour la premiere fois de ma vie j'ai l'impression d'être à ma place.

La chanson s'arrête soudainement laissant place à des cries qui viennent de l'étage au dessus

- Je crois qu'il faut se mettre au travail.

~ la force, c'est de pouvoir regarder la douleur en face, lui sourire et continuer malgré ses coups à se tenir debout~