Capitulo veinte

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\\Chapitre un peu plus petit, mais contenu assez important//

Le regard d'Arón sur moi est assez pesant et me déstabilise beaucoup.

-On me le dit souvent. Lui dis-je d'un air taquin. Et toi on te le dit souvent que t'as des beaux yeux ?

-Tous les jours. Réponds t'il lui aussi d'un air taquin. Ça fait craquer toutes les filles.

Je lève les yeux au ciel en souriant, c'est possible qui n'ai pas tout à fait tord, enfaite, tout est craquant chez lui.

-J'aurais plutôt parié sur tes bouclettes. Dis-je en mettant ma main dans ses cheveux pour le décoiffer.

-J'ai pas dit que y'avais que mes yeux qui faisaient craquer les filles. Il me pousse légèrement et je manque de tomber par terre.

-T'es trop con ! Rigolais-je en lui frappant le torse.

Il rigole, tout fier de son geste.

-Attends. Il s'approche de moi en fronçant les sourcils. Tu sens la clope, t'as fumé ?

-Ca se pourrait bien. Répondais je en haussant légèrement les épaules.

-C'est la première fois depuis qu'on se connaît, si on oublie la dernière fois chez Miguel où t'as faillit t'étouffer. Il rigole légèrement avant de reprendre son sérieux. C'est nouveau ?

-Je compte pas fumer comme toi tu le fais toute la journée, c'était juste comme ça.

-Ca va te pourrir la santé.

-Dit celui qui fume toutes les dix minutes, t'es mal placé pour parler Piper. Souriais-je. Très mal placé.

-Moi c'est pas grave. Il hausse les épaules.

-Monsieur joue les protecteurs.

Il sourit et me tire d'un coup sec vers lui, je me retrouve presque au dessus de lui et ma respiration se bloque. Il rapproche son visage du mien avec un léger sourire et me chuchote à l'oreille.

-Tu me dois un massage.

Son souffle chaud contre ma peau me fait frissonner mais je ne peux pas m'empêcher de rire à sa réflexion, je m'attendais à beaucoup plus osé de sa part.

-T'es sérieux ? Lui dis-je en rigolant.

-Tu t'attendais à quoi ? Il me fait un clin d'œil. Coquine va.

Je lève les yeux au ciel en souriant et me redresse. Il joue la carte de la provocation.

-Allez tournes toi et enlèves moi ça. Dis-je en lui montrant son t-shirt.

-Ok chef.

Il ne mets pas plus d'une seconde avant de retirer son haut et de l'envoyer voler à l'autre bout de la chambre, après tout niveau bordel les garçons ne sont plus à ça près. Il s'allonge sur le ventre aussi rapidement, et il ose me traiter de coquine.. Je me place sur le côté pour le masser mais ce débile mais pousse sur son dos.

-C'est bon on est plus à ça près.

Même sans voir son visage qui est tourné de l'autre côté j'imagine déjà le grand sourire affiché sur son visage. Je me mets alors à califourchon sur le bas de son dos et commence a le masser, même si je ne suis pas là plus douée pour ça. Si les garçons rentrent dans la chambre à cet instant même, je deviens rouge pivoine sur le champ.

Unexpected guest | Arón PiperOù les histoires vivent. Découvrez maintenant