III. Trous noirs

85 34 15
                                    

Raé, comme chaque soir,
Pend ses jambes dans le vide,
Et regarde le ciel.
Lorsqu'il se peint en noir.
Un noir d'obsidienne,
De la même teinte que ses cheveux,
Un noir d'obsidienne,
Qui ravive l'éclat des étoiles
Sa chevelure sombre,
Qui contrastent avec sa peau diaphane.

Aucune lumière,
Aucune douleur,
Aucune expression, n'échappe à ses yeux sombres.

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Raé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant