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Recevoir le courrier puis l'envoyer. C'est quelque chose de très peu fréquent pour notre génération non ? Ce moyen de communication entre deux individus qui perdure dans le temps est devenu de plus en plus...insignifiant ?
Malgré ça un jeune ho...
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Très vite le lendemain arriva pour les deux jeunes gens, ainsi le même scénario s'en suivit jusqu'à sa précieuse boite au lettre. Jongho l'a regarda cette fois avec beaucoup plus d'entrain.
Sa lettre était venu.
Il esquissa un sourire enfantin de joie puis prit la lettre sans attendre en oubliant presque de fermer la boite qui avait gardé son précieux jusqu'à son arriver. Il couru ensuite à son appartement en montant les marches des escaliers deux par deux.
Un magnifique sourire innocent ornait son visage à l'idée de l'ouvrir. Il attendait ses nouvelles depuis si longtemps. A peine il eut fermé la porte de son appartement, qu'il avait directement enlevé le surplus de la lettre pour pouvoir la lire.
Le papier indésiré tomba à ses pieds pendant que ses yeux, pétillant, parcourraient les lignes que lui avait écrite sa correspondante. Il fronçait légèrement des sourcils avant de prendre cette lettre et la comparer à une autre. Quelque chose clochait, il en était sur.
Son écriture avait changé mais également sa manière de faire, voir même ses pensées à travers cette lettre.
La savoir en sécurité était une aubaine pour lui, il espérait qu'elle puisse l'attendre. Au moins jusqu'à la fin de cette période. Elle devrait tenir pour lui. Mais malgré tout, le doute commençait à prendre beaucoup plus d'ampleur dans son esprit.
Pourquoi elle aurait changer une écriture qu'elle avait depuis maintenant une dizaine d'année, voir même sa vie entière ?
C'était sa marque de fabrique. Il pensa ensuite que dû au temps passé, elle avait juste changer ou plutôt évoluer comme toutes les personnes de se monde.
Il ne se posa donc pas plus de question et se prépara avant de sortir pour rejoindre les autres membres de son groupe.
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Pendant ce temps notre factrice était toujours dans le remord. La capuche sur la tête, lui servant de protection, la jeune femme se disait qu'elle serait surement invisible, voir totalement inexistante. Elle rouspétait légèrement contre cette pluie imprévu. Min-Jug soupira pour la troisième fois en l'espace de cinq minutes avant d'entrer chez elle.
Heureusement pour elle, aujourd'hui était une journée beaucoup plus courte que les autres. La jeune femme entra dans son appartement, en laissant ses chaussure sur le palier pour ne pas salir son domicile, chose qu'elle détestait.
Elle enleva son manteau trempé et l'accrocha avant de s'étirer et pénétrer son salon. Elle passa par la cuisine, se lava les mains, les sécha pour pendre de quoi manger et enfin accéder à son canapé qui n'attendait qu'elle.
Min-Jug s'assis dans un soupire de satisfaction avant d'ouvrir sa collation et la manger rapidement. Elle déposa ensuite, le déchet sur la table basse et prit son ordinateur.
Elle voulait absolument se rassurer alors elle commença à faire des recherches sur notre idole.
Plus qu'a entrer son nom dans la barre de cherche afficher sur son écran. Rien qu'écrire son nom, elle tremblait. Peut être que c'était à cause de la peur de sa célébrité ? Ou plutôt de son parcours beaucoup plus conséquent que le siens ?
Elle souffla un instant et ferma les yeux pour méditer sur la question. Plus ses pensées dérivaient plus son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine.
Elle ouvrit ses globes oculaires et décida de prendre son courage et d'enfin effectuer ses recherche. En un rien de temps, elle trouva les information désirées. Elle chercha ensuite si des information plus personnel avait fuité. Pourtant rien, même pas quelque chose de visible.
Elle se posait alors de plus en plus de question.
Ce n'était pas logique pour elle, voir totalement irrationnel. Pourtant ce mot ne faisait pas parti de son vocabulaire, elle voulait absolument trouver une explication logique et au plus vite pour rompre ses affreux remords.
La factrice prit alors une feuille pour noter toutes les informations précieuses pour l'aider et passa quelques coups de files la poste ou elle travaillait pour être plus renseigner sur la chose.
Elle eut fini vers les huit heure du soir, au moment même ou elle s'endormit contre ses petites investigations, le cœur encore lourd.
