Âme Sœur (Sasunaru)

Chapitre 2

Bibliothèque de l'Académie de Konoha

PDV NARUTO

J'étais figé, je n'arrivais plus à bouger ou à placer un seul mot tandis que lui me surplomber de toute sa hauteur me regardant de haut. J'étais obligé de soulever ma tête en m'en tordre le cou pour le regarder dans les yeux.

- Qu'es que t'as à me regarder comme ça dobe

Je sortis de mon émerveillement et fronça les sourcils dû à l'appelation

- Comment tu viens de m'appeler là teme

- En plus d'être con il est sourd si ça fait pas une belle paire de manche ça, t'a failli m'écraser et c'est tout ce que tu arrives à dire Usuratonkachi

- J'ai pas fais exprés je regardai pas là où je marcher et j'ai glisser ça arrive à tout le monde de glis...  Je n'eus pas le temps de finir qu'une jeune femme brune ne dépassant pas la trentaine fit son l'apparition, elle doit être la bibliothécaire

- Qu'es ce qui c'est encore passer ici

- Mademoiselle Anko enfin vous êtes là rien de bien important juste un gros con qui c'est ramassé et est tombé comme la grosse merde qu'il est,

- Je te permet pas de nous deux c'est toi la plus grosse merde du monde

-  Je ne suis pas une merde comme toi et moi je sais tenir sur mes deux jambes,

Je bouillonnais de rage en plus d'être impoli ce grotesque personnage se permettait de se foutre de lui

- Espèce de... La bibliothécaire l'avait arrêté avant qu'il déverse toute la rage qu'il avait en lui sur le magnifique visage de se connard. Pourquoi faut-il que le destin s'acharne sur lui

Oui mais sans ça tu l'aurais jamais retrouvé ton prince charmant,

La ferme prince de mes deux oui un imbéciles tu veux dire mais super sexy

C'est bien ce que je t'es éperdument amoureux de moi lui

Tais toi Kurama (NDA: c'est sa conscience pour ceux qui veulent savoir

Kyubi : quoi tu n'as cas même pas oser misérable humaine faire de moi une vulgaire conscience, intervint le concerné *air menaçant*

Moi : *térrifié* pardonne moi mais tu préfère être un animal de compagnie qu'on a retrouvé dans les ordures *yeux de chaton innocent*

Kyubi : *soupire* très bien va pour cette fois )

PDV  SASUKE

- Ça suffit vous allez me ranger tout ce bazard tout les deux,

- Quoi !? S'écraient-ils en parfaite d'intronisation
  
- Attendez c'est lui qui l'a renversé pas moi je suis que la victime dans cette histoire,

- T'avais qu'à partir être derrière Baka,

Hors de question qu'il reste plus longtemps dans la même pièce que le petit blond sinon il risquerait de faire une tentative de viol, vous l'avez regarder on dirait presque qu'il a une pancarte où est écrit en gros caractères ' VIOLEZ MOI EN ME DANS TOUTE LES POSITIONS ' sur son cul

- J'ai dis tout les deux, dit-elle en nous lançant un regard noir, je vous laisses les clés vous fermez dés que vous finissez pas avant,

Elle tourna le dos et parti, je me retourna vers l'auteur de toute la merde qui me tombe dessus alors que lui avait déjà commençais à ranger. Il était plutôt petit 1m 63 pas plus, blond aux yeux bleus ses cheveux retombaient sur le bas de son dos venant carreser sa chute de reins, je continua ma contemplation sur son visage, il avait trois cicatrices qui avaient l'air d'être des griffures lui donnant un côté félin lui qui paraissait si timide, il ferait un parfait petit uke mais ne nous fions pas aux apparences il pourrait bien être un croqueur de diamant. Mon regard se fit plus bas taille fine presque androgyne, et il se fit encore plus bas quand celui-ci se baissa pour ramasser un livre, un joli petit cul c'est bien ce que je disais un parfait petit uke. Un visage d'ange il paraît beaucoup trop innocent pour escroquer le moindre centime à une personne. Je me dirigea vers le bureau d'anko-san pour mis assoir, pris une livre et commença à le feuilleter les pieds sur la table. Vous allez peut-être vous demandez pourquoi j'appelle mes professeurs et supérieurs par leur prénom parce que vous trouvez ça irrespectueux c'est là que vous trompez, pour moi c'est comme une forme de respect si on peut appellez ça comme celà, ils devraient être heureux que je ganspille ma salive pour prononcer leur prénom. On me l'a appris depuis tout petit de respecter ce qu'il le mérite vraiment.