Alex Aragon

CHAPITRE 2 : LA PREMIÈRE AVENTURE

ALEX ARAGON

Alexandre Aragon était à présent âgé de 15 Ans et était devenu une personne très sérieuse et cultivé pour son jeune âge .
Lorsqu'il parle , on dirait entendre un vieux sage s'exprimer .
Aujourd'hui , il se trouvait avec son tuteur très expérimenté en conduite en tout genre à Hannheim pour une raison assez particulière .
En effet , Des scientifiques l'ont téléphoner pour qu'il vienne a présent récupérer les honoraires pour avoir trouver un remède à une maladie incurable .
Cette histoire de fera dans le secret puisque la gloire de cette découverte a été donné au laboratoire en échange d'une somme d'argent colossale .
Tout celà était le plan de Alexandre bien évidemment .
Il voulait de l'argent pour financer un de ses nombreux projets et l'argent de la famille est détenu par ses parents , il n'avait pas le droit d'y toucher et son père et sa mère n'accepteraient jamais de donner cette grosse somme à son fils pour un caprice .
Alexandre et son tuteur de voyage étaient dans une BMW M3 , une des voitures de son père .
- Sommes-nous encore loin de la destination ? Demanda Alex d'un air absent .
- Non , monsieur Alexandre , dans moins de 2H nous y serons .
- 2H , soupira Alex , c'est compris .
- Il regarda le paysage à travers la vitre arrière de la voiture .
L'extérieur était d'une incroyable beauté , c'était ce qu'on pouvait appeler "le paradis sur terre" .
Puis sans se rendre compte , il sombrait dans le sommeil .

2 HEURES PLUS TARD 16H22

Alexandre Aragon se réveilla en sursaut et regarda sa montre .
Le tuteur le regarda promptement en se concentrant de nouveau sur la route .
Ils étaient déjà arrivé au chalet de la montagne .
- Au moins , je n'ai pas senti l'heure passer , dit Alexandre .
le tuteur de voyage souriait doucement .
- Oui , répondit le tuteur , nous sommes déjà arrivés au point de rencontre .
- Très bien , les voilà , attendez moi ici .
- Désolé , monsieur Alexandre , mais vos parents m'ont dit de vous donner ce petit pistolet laser au cas où il y aurait des attaques d'ours , ce qui est très fréquent dans ces Bois de montagne et m'ont interdit de vous lâcher de vue ne serais-ce que pour une seconde (...) .
- D'accord ,dit il exaspéré .
Un des scientifiques firent signe de la véranda à leurs hôtes pour leur dirent de rentrer dans la maison .
Lorsqu'ils rentrèrent dans la maison , les scientifiques était confortablement installés dans des divans .
L'un portait une mallette et se mit à parler .
- Vous savez Alex (...) , puis s'interrompit lui-même . Je peux vous appeler Alex ?
- Non , fit remarquer Alexandre , en faisant un signe de dénégation .
- Okay okay ... vous savez Alexandre ... dans la vie , il existe des gens sympathiques qui aident les autres en échange d'argent et d'autres auxquelles il ne faut jamais avoir affaire à eux donc ...
Le scientifique n'eut même pas le temps de finir sa phrase que le "tuteur de voyage" commença a mettre au tapis tout les scientifiques présent avec une vitesse folle .
Mais un des scientifiques encore debout sorti une arme et tira sur le "tuteur" qui s'effondra sur le sol en disant à Alexandre de s'enfuir immédiatement .
Alexandre Aragon était très perspicace et compris instantanément qu'il allait se faire tuer s'il restait ici .
Vu la respiration , la technique de combat et le visage des scientifiques se battant contre son tuteur quelques secondes plus tôt , il compris qu'ils étaient des tueurs expérimentés engagé pour le tuer et qu'il n'y avait sans doute rien dans la malette .
Il se rappella de pistolet laser que son tuteur lui avais donné , il le prit et tira à 3 reprises sur les tueurs encore debout .
Étrangement , Alexandre était contrarié du fait qu'il est tombé dans ce piège .
- Merci de ne pas m'avoir abandonné , dit le "tuteur" .
- Qu'est ce que vous raconter , c'est moi qui doit vous remercier , si vous n'aviez pas assommé la majorité d'entre eux , je serais sûrement mort , répondit Alexandre .
Le tuteur de voyage était en sang .
- vous pouvez conduire ?
- Bien sûr , répondit le tuteur .
- Ok , direction l'hôpital
Le tuteur n'eut même pas la force de dire que ce n'était pas nécessaire car lui-même savais que sa blessure était grave .