Chapitre 1 : Le début du cauch....du rêve (by Alexandra)

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Actuellement, je me trouve bien au chaud dans mon lit bien douillé en train de rêver que j'embrasse le meilleur acteur du monde connu sous le nom de Léonardo Di Caprio à la place de cette actrice là Kate Winslet. J'étais vraiment à sa place dans son rôle. J'étais même prête à tendre mes deux bras au bord du bateau avec Jack Dawson me serrant amoureusement dans ses bras. Vous savez, cette scène culte. Jusqu'à ce que mon stupide réveil sonne.

De quoi brouiller l'image parfaite de mon premier baisé avec l'acteur le plus canon de l'univers.

DRING DRING DRING

Je jette mon réveil de frustration jusqu'à réaliser qu'il s'agit en effet de mon téléphone portable. Je sursaute.

« - Purée ! Qu'est-ce que je viens de faire ? »

Je ramasse mon téléphone en miette. Je pouffe. C'est pas le premier que je casse de toute manière. J'ai déjà assez d'argent pour m'acheter le dernier Iphone dernier cri. Voire même un deuxième MacBook. C'est pas comme si mes parents n'étaient pas des journalistes très connus dans le monde. De plus, ils travaillent tellement que j'ai beau avoir cassé mille portables qu'ils ne s'en rendraient même pas compte.

Visiblement, je n'y suis pas allée de main morte pour mon téléphone. Haha

« - ALEXANDRAAAA ! Tu viens manger ? Tu vas être en retard pour ton dernier jour. »

C'est ma mère qui crie comme ça. Ce mois-ci était le seul mois de l'année où elle a des vacances pour passer du temps avec sa fille unique. Et il se trouve que ce mois est tombé pile poil le mois où je termine mes derniers instants de cours à l'université.

« - C'est bon j'arrive maman. » Je lui réponds sur le même ton qu'elle.

Je m'empresse de finir de m'habiller. Et pars rejoindre ma mère pour le petit-déjeuner.

« - Bonjour ma chérie ! Bien dormi ? »

Ouais mais j'ai pas eu mon baisé de Léonardo Di Caprio dans mon rêve.

« Oui super bien » je lui sourie.

Mais oui maman super mais un conseil : la prochaine fois, je ne veux plus qu'on regarde de film de Léonardo Di Caprio avant d'aller dormir (Surtout TITANIC). Car résultat, je dois quand même m'acheter un nouveau téléphone dernier cri et un réveil pour m'empêcher de faire la même bêtise les prochains réveils.

Je regarde mon bol.

« - Je n'arrive tout de même pas à y croire que toi, mon bébé, puisse finir ses études. Je suis vraiment fière de ton travail. Tu l'as mérité ce diplôme. Ça me rend toute émue mon bébé.

- Maman s'il-te-plaît, je ne suis plus ton « bébé ». Je suis grande maintenant. Une jeune femme qui ne désire que son indépendance et profiter du fait qu'elle est encore jeune.


- Oui je le sais ma chérie. D'ailleurs est-ce que vous avez prévu de fêter ça avec Bailey et Kate ? »

Prévu une fête ? Non pas vraiment mais un voyage avait déjà été prévu depuis plusieurs mois. On l'avait gravé dans nos têtes mais on ne s'était pas trop préoccupé de l'organisation. Je ne le dis pas à ma mère car nous avions prévu de ne pas en parler à nos parents qui ont tous le point commun d'être toujours absents de chez eux. Il ne faut donc pas que j'en parle à ma mère et ni à mon père.

Bailey et Kate sont mes deux seules vraies amies. On a toujours été inséparable. Une vraie équipe de choc.

« - On n'y a pas encore songé maman.

- Comment ça ?

- On n'y pas réfléchi encore mais je pense qu'on va probablement dormir chez kate. Car la maison de ses parents est vraiment fantastique.

- D'accord ça me rassure que tu fasses des choses pendant que ton père et moi travaillons. Juste quoi que tu décides dans ta vie, prend les bonnes décisions et fait surtout très attention. »

Je soupire. Ma mère a toujours été comme ça. Surprotectrice. Je ne lui en veux pas d'être comme ça. Au contraire. Mais je trouve que parfois elle le devient un peu trop souvent. Elle m'appelle tous les jours. Au début ça allait, mais ça continuait sans s'arrêter.

Je fini de prendre mon petit-déjeuner donc je remonte pour finir de me préparer. Puis ma mère a insisté pour m'emmener à l'université.

On y arrive. Je fais la bise à ma mère et sort de sa voiture. J'aperçois une énorme foule déjà dans la cour. Je m'en vais jusqu'à cette foule. Ça me rappelle étrangement de vagues souvenirs de ma rentrée dans cette université. Un souvenir inoubliable. Je repère facilement mon squad (=Groupe d'ami(e)s) qu'on a appelé « Les Pétasses » = The Bitches en anglais). On est trois. Trois amies et on se connaît depuis l'enfance. Nous avons grandi ensemble en ayant des hauts et des bas.

On est vraiment inséparable.

« Je ne savais pas que le mot « inséparable » prendrait tout son sens dans un moment si extrême que celui que nous avions vécu plusieurs semaines après. » - Alexandra

Le Voyage de L'horreur : Quand tout vire au cauchemarOù les histoires vivent. Découvrez maintenant