[ 2 ] Ilhem-Les anges comptent les heures au dessus de ma tête

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Ilhem Jilben

Toronto,Canada

Tout à basculé quand j'ai su que j'était condamné.

Elle me colle depuis exactement 8 mois et 18 jours. Qui ? Ma maladie.J'ai été forcer de l'accepter même si mon état de santé m'importe peu.Vous devez sûrement vous dire que je devrai suivre le traitement mais lorsque j'ai su que j'étais condamné j'ai arrêté de me battre.

Enchanté de faire votre connaissance je m'appelle cancer du cerveau.J'ai malheureusement condamné cette jeune fille à la mort.Quand ? Quand j'aurais fini d'évoluer dans son cerveau .Sa mort est lente donc j'ai amplement le temps de la faire souffrir.Mais le problème c'est qu'elle n'est pas comme les autres.

Tout à commencer avec un simple mal de tête qui s'intensifier de jour en jour.J'ai ensuite commencer a faire des crises d'épilepsie se qui a fortement inquiéter mes parents. Je suis partie à l'hôpital et le médecin m'a annoncer que j'était condamné pas nécessairement à mourir mais à souffrir.

Mon frère Nahil est maintenant au petit soin avec moi il a peur que je m'envole trop tôt.

J'ai commencer à perdre des cheveux au début sa me déranger mais maintenant je m'en fous complètement il devait bien tomber un jour ou l'autre.Et puis je sors juste pour marcher des fois sinon les cours j'ai décider d'arrêter de tout façons je vais bientôt mourir.

La mort ? Un sujet sensible pour mon entourage.Tout le monde va mourrir un jour sauf que moi c'était plus tôt que prévu.

J'essaye de découvrir le plus de chose possible.Je passe mon temps à observer les gens de ma fenêtre.Oui j'aime pas beaucoup sortir les seuls fois que je sortait c'était pour prendre une petite marche.

Le temps ou j'avais passer mes journées à l'hôpital j'avais rencontrer une fille qui était à vrai dire très gentilles,Hafsa.

Mama: Ilhem dépêche toi on va être en retard pour ton rendez vous.

Comme vous l'avez peut être deviner c'était ma mère Açelya qui s'inquiète qu'on arrive en retard.Je souffle et me lève m'habiller vite fait.Je sort de ma chambre et descend au salon.

Younes:La prisonnière sort enfin de sa chambre.

-Prisonnière de ma maladie pas de ma chambre.

Younes:C'est bon arrête d'être de mauvaise humeur comme ça tout va s'arranger.

-Quand je serais morte.