Ilhem Jilben
Toronto,Canada
Je suis une des rares personnes qui connaissent leur date de fin .
Je me réveil avec encore une fois un mal de tête. Je vais pour me lever quand je sens un énorme étourdissement alors je me recouche dans mon lit. Je déteste avoir cette sensation c'est comme si je laisse mon cancer me dominer et c'est pas se que je veux.
Je prend mon téléphone et me balade sur les réseaux. Honnêtement c'est pas trop mon truc sa fait que te bourrée le crâne.
Je me lasse vite et prend un de mes livres pour commencer à lire quand la porte de ma chambre s'ouvre.
Nahil:Tu descend pas manger
-J'arrive pas à me lever j'ai un énorme mal de tête
Nahil:Comme d'habitude ?
-Non il fait plus mal
Nahil:Je vais appeler mama j'arrive
-Pas besoin il va passer
Nahil:On parle de ton état de santé Ilhem réveille toi
-SI MOI JE M'EN FOUS VOUS DEVREZ ESSAYER DE FAIRE LA MÊME
Nahil:MAIS TES MALADE C'EST TON ÉTAT DE SANTÉ MERDE PREND SOIN DE TOI.
-OUI JUSTEMENT JE SUIS MALADE DONC LÂCHER MOI
Nahil:DÉJÀ QUE TA PAS ACCEPTER DE FAIRE LE TRAITEMENT, TU VA VOIR JE VAIS T'OBLIGER
-NON
Nahil:ON VEUX PAS QUE TU MEURT TU COMPREND PAS OU QUOI
-On va tous partir un jour sauf que moi c'est plus tôt que prévu
Il est sorti en claquant la porte.Je m'était fait à l'idée que j'allais mourir plus tôt.Mon esprit on avait bien conscience et moi aussi d'ailleurs.C'était dur au début de dire que je vais plus voir le sourire de ceux que j'aime mais c'est le destin et puis je compte pas les lâcher maintenant en tout cas pour ma part.
C'est cette foutu maladie qui décide de mon sort.C'est devenu ma meilleure amie elle était toujours là.Elle allait sûrement jamais m'abandonner j'etait coincé à tout jamais.
Je prend mon journal et commence à écrire quand la porte s'ouvre c'était ma mère.
Açelya:Tient prend un médicament et si tu va pas bien on va voir le médecin.
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[ 2 ] Ilhem-Les anges comptent les heures au dessus de ma tête
General FictionQuelque mois, quelque semaine, où encore quelque jour ? Seul cette maladie savait quand elle allait m'emporter. Pour l'instant je me contente de vivre. 𝙴𝚝 𝚕𝚎𝚜 𝚊𝚗𝚐𝚎𝚜 𝚜'𝚘𝚌𝚌𝚞𝚙𝚎 𝚍𝚎 𝚌𝚘𝚖𝚙𝚝𝚎́𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚑𝚎𝚞𝚛𝚎𝚜 𝚊𝚞 𝚍𝚎𝚜𝚜𝚞�...