[ 2 ] Ilhem-Les anges comptent les heures au dessus de ma tête

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Never regret anything that made you smile.

Omniscient

On dit souvent qu'on a tendance à attendre les mauvaise personne n'est ce pas ? Nahil était à accoter au mur à attendre l'ange de la mort. Il préfère qu'il prend son âme que celui de sa sœur adorer, un mal pour un bien . Il tenait à elle, c'était la prunelle de ses yeux mais elle devait bientôt partir qui sait quand ? Personne justement, elle allait énormément lui manquer.

Il prend une cigarette et la porte a sa bouche avant de sortir un briquet et de l'allumer, espérant que tout ses peines s'envole avec la fumée qu'il va insérer dans ses poumons. Il n'était pas quelqu'un qui fume beaucoup, à vrai dire il fume que rarement ou lorsqu'il est contrarié, comme en se moment.

Après avoir consumer sa cigarette, il jeta le mégot et l'écrasa pour arrêter sa consummation. Il se parfuma légèrement pour dissimuler l'odeur de la cigarette malgré que cela ne faisait que l'empirer et déballer un chewing-gum pour camoufler le goût de la cigarette qui enfumer non pas juste ses poumons mais sa bouche aussi.

Il quitta le mur qui le tenait lui et tout ses démons pour prendre le chemin qui le mène vers sa maison. Lorsqu'il arriva il se déshabille et alla prendre une bonne douche, laissant l'eau chaude coulé et ses pensés fusionner à tout va.

Lorsqu'il termine il s'habille et alla dans la chambre de sa sœur, il se glisse sous sa couverture et attend que le sommeil viennent lui rendre visite.

[...]

Pendant que notre jeune prince était entrain de dormir, notre jeune couple était dans la chambre de notre héroïne, la mère en pleure et le père entrain de faire les cent pas.

«ma fille ne peut plus marcher.» c'est la phrase qui se répétait plusieurs fois dans sa tête, pourquoi elle et pas moi ? Sa seule fille, l'unique.

Sa mère elle était entrain de pleurer, pouvant imaginer les douleurs que sa fille ressentait elle s'en voulait, elle s'en voulait de ne pas avoir pris soin d'elle lorsqu'il le fallait. Mais ce n'est pas de sa faute, c'est le destin, ce qui doit arrivé arrivera et rien ne peut l'empêcher.

Ilhem elle, était perdue, elle ne voulait pas que ses parents se mettent dans cet état pour elle, elle voulait le vivre seul et quitter se monde une bonne fois pour tout.

Mais qu'il lui dit ? Qui lui dit que personne ne veut qu'elle s'en aille, que personne ne veut la voir partir à tour jamais et ne plus jamais revenir, franchir une porte qui se referma à jamais. Plus de retour en arrière.

Ils l'aiment beaucoup, beaucoup trop, qu'ils ne trouvent pas les paroles pour lui exprimer. Toujours dire à vos proches que vous les aimer car nul ne sait lorsqu'il vont quitter cette terre et ne plus revenir. La vous allez regretter de ne pas leur avoir dit que vous les aimer de tout votre cœur.

[...]

Notre jeune héros lui était sur son lit, un stylo à la main. Entrain de réfléchir sur son train de vie, comment est-il arrivé là ? S'attacher à une femme en aussi peu de temps qu'il ne le fallait pour le dire.

Il dépend d'elle à la limite, s'il ne l'a pas vu de la journée ou n'a pas regardé un documentaire avec elle, il va finir la journée contrarié et mal au point.

Il sait qu'elle est malade, il ne sait juste pas de quoi elle est atteinte, devons-nous lui dire que nous allons finir par lui retenir son héroïne un jour ou l'autre ou devons nous le laisser ? Le temps réglera l'affaire et l'amour est messagère.

Elle hante ses pensées à longueur de journée, le moindre petit truc qu'il va faire,il va penser à elle et un sourire s'échappe de ses lèvres automatiquement. Il ne peut plus contrôler son sourire lorsqu'il pense à elle.

Si ce n'était pas réciproque ? Notre jeune héros sera tombée dans des beaux bras, et imaginons que cela est réciproque ne vont il pas former le plus beau couple ?

Pourquoi n'est-il pas partie la voir ? Il ne voulait pas la déranger, il voulait la laisser seule avec son frère. Il repassera demain, il on a bien besoin.

Laissons le temps nous dire les choses.

[...]

Pendant se temps Hafsa était dans sa chambre, elle s'ennuyait comme à son habitude, ne pouvant pas sortir de sa chambre à cause de sa maladie.

Elle se demanda pourquoi Ilhem n'est pas passer la voir comme elle le fait littéralement chaque jour. Mais se qu'elle ne savait pas c'est qu'elle était entrain de pleurer sur son lit d'hôpital et entrain de se demander pourquoi est-elle maudite.

Les deux inséparables, c'est le cas de le dire, Hafsa ne marche pas sans Ilhem et Ilhem ne marche pas sans Hafsa. Lorsqu'une infirmière cherche Ilhem elle le sait qu'elle va la trouver dans la chambre de Hafsa c'est une évidence, comme 2+2 qui égale à 4.

Plusieurs point commun mais un les réunis d'avantages ; leur date d'expiration qui est proche. Mais qui quittera le bateaux la première ? Qui abandonnera l'autre sur le bateau, pour quitter définitivement ? Seul le temps est capable de nous le dire.

La vie amoureuse de Hafsa était comment dire ? Compliqué voilà le mot parfait, elle était sortie avec Yassine, un marocain pendant 4 ans. Mais malheureusement tout bonne chose a une fin n'est ce pas ?

Il est mort, mort d'un accident de moto, elle se rappela encore du jour où elle a reçu l'appelle.

-Mère a Yassine: Salem Aylekoum ma fille, je suis la mère de Yassine, c'était pour te dire que...

Elle éclate en sanglot, imaginez-vous la douleur qu'une mère ressent lorsqu'elle perd son fils ? Cela dois être énorme. Yassine avait donc parler d'elle à sa mère, qu'elle belle preuve d'amour

Elle parle avec sa mère pendant dix longues minutes, essayant de la réconforter du mieux qu'elle peut alors que Dieu sait à quelle point elle était inconsolable.

Depuis ce jour lorsqu'elle le pouvait elle alla à sa tombe, lui racontait ses journées et ne rater pas les moindres détails , elle était ses yeux et ses oreilles sur cette terre.

Elle n'aime plus, pas qu'elle ne croit pas en l'amour, bien au contraire elle pense que c'est l'une des plus belles choses qu'un humain peut vivre. Mais son cœur a elle a trop aimer, il a aimer d'une façon incroyable, que même son cœur ne veut pas l'effacer de sa carte mémoire.

Il était presque parfait , toujours attentif lorsqu'elle parlait, il l'aida dans tout se qu'elle entreprenait et l'épaula dans n'importe quelle situation. C'était une personne avec le cœur sur la main et le visage aussi pur que le mot lui même.

Elle décide de ne plus réfléchir et ferme les yeux, et elle s'envola pour un profond sommeil.

[...]

Elle alla dans son lit.
Couvrant ses peines et traînant sa haine.
Ses démons ont pris place depuis bien longtemps.
Essayant de la déstabiliser comme à chaque fois.
Ses anges eux était enfermé de l'autre côté de la porte ne pouvant rien faire.
Elle cria de toutes ses forces histoire que quelqu'un vient l'aider, mais personne n'était présent à ses côtés.
Une nuit agitée, mais c'était son quotidien.
Elle se leva à l'aube histoire de regarder les premières lueurs du matin apparaître.

-Ilhem