On connait que le 𝒏𝒐𝒊𝒓, paraît que la 𝒍𝒖𝒎𝒊𝒆̀𝒓𝒆 existe ☽

𝖀𝖓

☽

?- Tu veux combien ? 

- Je sais pas à toi de me dire. 

?- Bah je sais pas moi. On te paye combien de base ? 

Vais-je mentir ? ABSOLUMENT. 

- Des fois 1500, des fois 2000. Ça dépend. 

Il se lève et se dirige vers un tiroir duquel il sort énormément de billets. Malgré le peu de luminosité, j'arrive quand même à apercevoir des couleurs comme du jaune, du vert ou même du violet. Il doit avoir un sacré gros business pour avoir tout cet argent dans un simple tiroir de commode. 

?- Tiens.

J'enroule vite fait la couverture autour de ma poitrine en m'asseyant puis je prends la liasse qu'il venait de jeter sur le lit. A ma surprise, il n'y avait que des billets de 50. J'étais déçue de voir seulement ce billet banal mais je sentais au toucher qu'il y avait plus d'argent que d'habitude. Je commence à compter les billets. 

?- 3000. 

Mon petit plan venait de fonctionner à merveille. Il vient de me payer le bénéfice de 4 jours. Je pense que je vais le garder de côté celui là, il me plaît bien. 

3000 euros c'est pas rien, mais il me fallait plus. Et quand je veux quelque chose, rien ne peut m'arrêter tant que je ne l'obtient pas. En plus, je pense que l'argent ne lui manque pas donc j'en conclue que je peux quand même avoir le droit à une augmentation non ?

Je me lève du lit, enfile mes vêtements de la veille puis je me dirige vers lui.  Il était assis sur un fauteuil, torse nu et un joint à la main. Je m'assoie sur ses genoux puis commence à l'embrasser langoureusement. Je l'embrasse en descendant vers son pantalon puis l'ouvre délicatement. Il m'arrête en levant légèrement mon menton. Il s'approche de moi , m'embrasse puis me chuchote quelques mots à l'oreille. 

?- Ce soir, 23h. 

A la base, je voulais juste une augmentation hein. Mais écoutez, quand on peut avoir plus, pourquoi s'en priver. Donc sans lui montrer ma joie, je me relève, prends mes affaires puis sort de chez lui.