𝕯𝖊𝖚𝖝

13 3 0
                                    





















A l'approche de mon bâtiment, j'ai eu le droit aux remarques et insultes habituelles

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

A l'approche de mon bâtiment, j'ai eu le droit aux remarques et insultes habituelles.

Mec 1 - Regardez les mecs qui est de retour.

Mec 2 - Ah mais c'est la pute ! T'es pas rentrée hier ? T'étais trop occupée hein ? T'façon on sait tous c'que tu fais.

Mec 3 - Vas-y viens on est 3 t'auras plus de plaisir !

J'ai tellement l'habitude que maintenant ça me fais plus rien. Quand j'ai commencé à mes bails, j'avais tellement peur du regard des autres, surtout les mecs. Mais maintenant c'est le cadet de mes soucis. Ils font les mecs entre eux alors que c'est ces mêmes mecs qui demandent mes services et c'est avec leur argent que ma mère paye le loyer et que je me paye tous mes sacs de luxe.

Malgré l'indifférence que je porte à leurs commentaires, j'essaye tant bien que mal de monter très vite chez moi. Je prie pour que l'ascenseur ne soit pas encore une fois bloqué. Par chance, il n'était pas bloqué et était déjà là. 

Arrivée, je vais voir ma mère qui était posée dans le salon. Je m'assois aussi, enlève ces atroces talons puis pose mon sac sur le table. 

Maman - Orrrh enlève ton sac de là je vois pas la télé ! 

- Bonjour déjà non ? 

Maman - oui oui bonjour. 

Je sors de mon sac l'enveloppe que Naëll m'avait donné puis j'en sors la moité. Je la pose sur la table. Elle regarde le paquet de billet d'un air étonné puis lâche un sourire de satisfaction. 

Maman - ça c'est ma fille ça ! 

Comme vous pouvez le voir, ma mère est « au courant » de ce que je fais. Je pense qu'elle se doute de quelque chose mais elle ne veut jamais en parler...

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jun 05, 2020 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

On connait que le 𝒏𝒐𝒊𝒓, paraît que la 𝒍𝒖𝒎𝒊𝒆̀𝒓𝒆 existe ☽Où les histoires vivent. Découvrez maintenant