Les pensées d'un fou

Déboire sentimental

Le loup solitaire habituait à la deprime,
Je pensais que le temps allègerait ma douleur qui est à sa cime,
Et annihilerait cette plaie que t'as laissés dans mon âme et qui m'opprime...
Je pensais que tu ne serais qu'un souvenir infime,
Et que j'aurais été un vaillant qui combattrait ce crime,
Dont on a été les acteurs en se quittant.. En vain je trime,
Avec l'absence, je me remets à ma plume dans l'espoir de me soulager avec quelques rimes
Dans les écrits, dans les mots, et les maux suppriment,

Aujourd'hui, il n'est d'actualité de mettre le point sur les sujets qui priment
Aujourd'hui, c'est juste mon cœur qui s'exprime.
Usant d'un dialecte vernaculaire
Pour solfier ces sensations spectaculaires
Du à ses sentiments qu'il pensait être réciproque
Qui allait lui conduire à la mosquée, à l'eglise, peut être même à la synagogue
A la fin j'ai sue que tout ceci n'est que duperie
Et que mes yeux etaient voiler par la tromperie
Peu à peu l'allégresse qui logeait en moi et qui était vive et sublime.
La vérite me noya dans un océan de spleen

Ma volupté se perd et erre sans but, et mon espoir se soustrait en dîmes.
Tu étais celle qui était l'étui du courage qui m'anime,
Ma précieuse et le cœur qui battait et rimait mes rimes..
Je t'ai perdu, toi, la seule que je puisse aimer et chaque jour, cela, la vie me l'affirme.
T'es mon plus beau souvenir, l'être qui m'inspire,
La seule qui m'attire, même si le pire,
Et que la vie te tire de mes bras et retire
Ma sensibilité, car sans toi, les instants durent
Et je ne suis qu'une existence qui respire l'air impur.

Rien que ton bonjour,
Illumine mes éternels séjours.
Sans ta présence je survis,
Et ton absence je le vis...
Cette fois, je signerais pas de tréve
Il faut cette union fatidique s'acheve
Pour que je puisse mon cœur en grêve