Chapitre 8

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Deja sur pied comme d'hab on est dimanche, ma routine déjà faite. J'ai ôté pour un jeans, un corsage et des baskets. Je décide de laisser mes cheveux libre aujourd'hui. Je descends me préparer un bol de spaghettis à la bolognaise, tout en mangeant je décide d'appeler Sandra
-Bonjour San dis-je
-Rachou ça va?
-Oui oui décidant de venir au vif du sujet
-Dit peux-tu m'envoyer ta voiture s'il te plaît dis-je d'une voix suppliante
-c'est si urgent que ça
-oui vraiment
-tu me dis pas tout la
-je te promets de t'expliquer je lui réponds
-bah ok me dit-elle
- merci merci tu me sauves la vie.
Après tout ses tralalas

Je finis mon bol
Et me rends tout de suite chez Sandra
....
-tu me promets de m'expliquer hein me dit-elle en me pointant me doigt
- e mwen ki diw map explikew dis-je en riant
Je monte dans la voiture
En premier lieu je vais d'abord chez sa mère jeter un coup d'œil
Je roule jusqu'à Delmas

...
Arriver je prends une minute avant de descendre
Arriver je sonne
La porte s'ouvre
-Rachelle me dit la mère de Karl en me prenant dans ses bras
-Bonjour madame dis-je faussement heureuse
-mais combien de fois devrais-je te dire de m'appeler Bonni.
-Ah oui, c'est vrai désolé dis-je
-vas-y ne reste pas là, vient je vais te servir du thé en me traînant dans le salon
Je m'assois en attendant patiemment
Après quelques minutes elle vient et me sert elle s'assoit en face de moi
-qu'est ce qui t'emmène ici ma fille, je pensais que Karl  était avec toi.
-Ça fait un bon bout de temps qu'on s'est pas vu et je voulais voir ma belle mère adorer, Karl à préférer rester travailler mentais-je.
- Oh ma fille que tu es gentille, Karl était partie en voyage il est renter depuis vendredi et ne m'a même pas rendu visite si tu savais comme cela m'attriste.
-Ne vous inquiétez pas je lui parlerai.
-Vous aller passer beaucoup de temps dans votre maison de campagne? me questiona -t-elle
C'est quoi cette question
Karl lui aurait dit qu'on passe du temps dans notre maison de campagne.
-Oui oui mentais-je encore une fois
-Bonni je suis contente de vous voir après tout ce temps, je ferais bien de rentrer maintenant vous savez comment est Karl il va péter un câble si je fais beaucoup de temps dehors dis-je en souriant
-oui je le connais parfaitement
Je suis contente de te voir aussi et porte toi bien me dit-elle je lui fais la bise, sort de la maison pour me précipiter dans la voiture.
...

La maison de Campagne, je dois jetter un coup d'œil là bas, il y est peut-être
Cette maison on l'a fait construire après notre mariage.
On passait du temps dans cette maison, j'en étais amoureuse. arriver à destination je vois la voiture de Karl garer dans le parking mais qu'est ce qu'il fais la? J'ai enfin trouver sa cachette, je me gars un peu plus loin et descend de la voiture et me dirige vers la porte d'entrée que j'ouvre aussi facilement.
Je pénètre dans le salon, il n'est pas la.
J'entends du bruit à l'étage plus précisément dans notre chambre.
Je monte les escaliers le coeur battant la chamade. Arriver devant la porte fermer. Je tourne le poignet et ouvre brusquement
Je le vois sursautant,il était assis sur le lit
-Rachelle me dit-il d'un air peureux
Je le regarde et ne répond pas
-Qu'est ce que t'as dis chérie. Entendais-je une voix féminine sortant dans notre douche.
La bouche entre ouverte les jambes en cotons alors c'était ça.
Je regardais cette femme elle avait l'air aussi surprise que moi
Petite taille, mince j'avais vraiment pas envie de la décrire mes yeux se posait sur son ventre arrondis. Mes yeux fesait aller retour entre Karl et cette femme.
-je peux tout t'expliquer me dit Karl. Je pose mes yeux sur lui et commence à rire d'une voix rocailleuse je dis
- Tu t'es foutu de ma gueule les larmes déferlait sur ma joues
-Rachelle s'il te plaît
-Pa fwenk site nonm dis-je en criant
-Alors c'était ça dis-je au bord des larmes, je suis rester avec toi, me posant des questions, savoir pourquoi c'est changement de comportement, me haïssant de ne pouvoir enfanter pendant que toi t'étais trop occuper à mettre en cloque cette cette... Je finis pas ma phrase que je m'étouffais avec un sanglot.
- Pardonne-moi Rachelle me dit-il simplement
Rien que sa face m'énerves
-Te pardonner!? dis-je  alors que tu m'as violer,te pardonner!?
Mes yeux tourne alors sur cette femme
- Comment vous vous sentez? Un homme marier dis-je il est un homme marier putain criai-je qui la fit sursauter.
Pouvant plus rester dans cette atmosphère je quitte la maison, les larmes aux yeux, c'est ça être tromper par la personne qu'on aime. Je conduis jusqu'à la maison, j'entre puis m'engouffre sur le lit. J'avais mal, je me sentais comme un tonneau vide qu'on abandonnait sur une route. Cette journée à été catastrophique, ce qui me fesait le plus mal c'est de voir cette femme le ventre arrondis qui bientôt dans quelques mois allait voir son bébé entre ses bras et moi je resterai comme ça comme une vieille chiotte. J'étais en colère, je commençais à frapper le lit a l'aide de mes pieds.
-Je haïs cette putain de vie.MERDE!!!!! Criai-je
J'étais fatiguée, je l'étais tellement que mes yeux commençais a se fermer tout doucement.

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Bonsoir tout le monde
Alors je sais que ça ne fais pas trop longtemps que j'ai commencé ce livre donc je voulais vous dire de voter au max
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Relem BouzenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant