Chapitre 1

65 3 0
                                    

Le début de la fin :

-C'est tout sauf marrant Mia. Dis-je en roulant des yeux, le rire cristallin de ma meilleure amie encore dans mes oreilles.

-Non mais attend, Kes' que je remette tout dans l'ordre, tu te réveil avec un dieu grec dans ton lit et la première chose que tu fais c'est de m'appeler ? -Pas dans mon lit! Criais-je à moitié. Je ne sais même pas où je suis et qui il est...  Mia aide moi sur ce coup s'il te plaît.
-Ho non tu vas te débrouiller comme une grande fille, je ne suis pas là du week-end.

Je n'écoute plus ce qu'elle me dis car au loin j'ai crus entendre un bruit comme si quelqu'un se lever d'un lit. Ho mon dieu. Ne me dite pas que le dieu grec est réveillé je ne pourrais plus sortir discrètement maintenant.

En prenant mon courage à deux mains je décides de sortir de mon bunker improvisé qui n'était seulement que la salle de bain adjacente à la chambre. Tout en me dirigeant à pas de loup d'où provient le bruit je réfléchis à ma soirée d'hier soir. Certe j'ai pas mal bu mais de là à ne plus rien me rappeler c'est une première, bon d'accord je l'accorde ce n'est pas la première fois que sa m'arrive, mais Mia est toujours là pour me sauvées de c'est situations délicates, couché avec un inconnu pas de problème, mais pas ivre morte ! J'ai mes limites, en tous cas c'est ce que je croyais...

-T'es qui toi ? Entendis-je.
Ce qui je l'accorde ma surprise temps j'étais perdu dans mes pensée. -Qu'est ce que tu fous dans ma chambre d'Hotel à moitié à poile? Ce mec a été doté de la beauté des sa naissance tellement il dégage un charisme presque irréel j'en suis persuadé mais le caractère qu'il aborde n'est pas le meilleur malheureusement

Aussi Ébahie que je puisse l'être, Je le regarder attentivement, En espérant que la façon dont il me parle était une blague, mais non il était tout à fait sérieux. Deux choses est venu à moi à ce moment-là, la première était le fait que lui non plus ne se souvenait pas de cette nuit, la deuxième étant qu'il me parlait comme si j'étais son chien, mais je ne l'étais pas.

- Et toi alors t'es qui hein? Tu va pas me dire que tu ne te rappelle pas non plus d'hier soir ? Et pour ta gouverne je ne serais pas à moitié à poile si j'avais pus trouvé mes vêtements dans le bordel qu'est ta chambre. Lui répondis je agressivement.
Bon je l'accorde aussi que je n'ai pas vraiment cherché mes vêtements dès que je me suis réveillé j'ai directement appelé Mia à la rescousses, c'est elle le plus souvent qui gère les problèmes de ce genre.
Quoi que mon fameux problème est quand même vachement sexy, là moi bourré à encore plus de goût que d'habitude.  Simplement vêtu de son jean qui laisse apercevoir ses muscles mon apollon d'une nuit me regarde comme si j'étais sortie d'une attaque de zombie vivante , c'est même sûrement le cas, car quand je croise mon regard dans le miroir en face de moi je remarque immédiatement mes cheveux en pagaille et mon maquillage qui a coulé depuis hier. Vraiment affreux.
Je quitte mon reflet des yeux pour me concentrer sur mon inconnu, et je peux que le certifier encore je suis sous le choque de sa beauté vivante, on pourrait dire qu'il sort d'un magazine de mode. Très grand avec des muscles à en faire pâlir de jalousie plus d'un, et à en faire retourner plus d'une, je remonte mes yeux pour croiser les siens, son visages carré avec sa barbe de quelque jours, c'est cheveux aussi en pagaille que le mien qui descend inlassablement devant c'est yeux d'un vert émeraude il est fichtrement beau. Soudain je vois c'est yeux ce froncer en regardant derrière moi quelque chose qui a l'aire très intéressant, puisqu'il va à son encontre je le regarde faire, prendre ce bout de papier et le lire, ce qui me paraît bizarre c'est que plus il lis la feuille plus ses sourcils se fronce et sa mâchoire se contracte. De plus en plus,  ce qui force ma curiosité à revenir au galop et que je m'approche de lui pour lire. Il ne m'en empêche pas.

Plus mes yeux parcourent les lignes noirs d'encres plus je me dis que c'est une blague et qu'il y'a forcément des caméras dans cette hôtel.
Ce que je lis ne peux pas être vrais.

« Ho putain » et la seule chose qu'on s'est dit en nous regardant dans les yeux

Je ne boirais plus jamais au point de ne pas me souvenir de ma soirée, même mieux , je ne boirais plus jamais une goutte d'alcool ! Parole de Kesialine, et si je mens j'vais en enfer promis.

On est dans la merde.

Memory: The pastOù les histoires vivent. Découvrez maintenant