Bousculade

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PDV Kamiko : Le grondement sourd de l'orage vint camoufler la détonation du tir, mais la sirène d'alerte à la seconde nous fîmes comprendre qu'un drame se déroulais, l'ordre étais simple, si la sirène retentit plus de 3 minutes, l'ordre d'évacuer l'établissement est enclenché... 

PDV Ibuki : 5 minutes que l'alerte se poursuit... Je ne pensais pas les 1ère classes capable de faire autant de conneries au point de nous faire évacuer, pourtant Kazu ne semble pas comprendre lui non plus, il essaye donc de me faire douter de son implication, je dois surtout pas baisser ma garde... 

PDV Kamiko : Les tirs se multiplient, mais qui tire sur quoi ?! On nous tues ? Je ne comprend rien, j'ai juste envie que Ibuki soit la... Je veux qu'il me protège, je veux pas être seule... Mes larmes découle enfin de mes yeux, ça y est, je panique... Je suis pathétique...

PDV Ibuki : Je dois à tous pris rejoindre Kamiko, si elle panique j'ai peur que

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PDV Ibuki : Je dois à tous pris rejoindre
Kamiko, si elle panique j'ai peur que... Non, elle sait qu'elle ne doit pas paniquer... 

J'essaye tous pour quitter les dortoirs, mais la panique générale provoque une bousculade tel que je m'enfonce de plus en plus dans cette danse infernale, un ouragan humain qui m'entraîne de plus dans ventre de la bête.. Les gardiens tentent de nous empêcher de passer, mais sont vite dépassés. Un gars,puis deux,trois ... On dévale à grande vitesse les escaliers, certains tombent de tous en haut des escaliers. 

Je fais partis des derniers à sortir de l'établissement, alors que je passe, mes chaussures, pourtant noires, se font tachetées par le sang qui recouvre les couloirs... Je ralentit peu à peu... Et me rend compte que tous le long du couloir, des cadavre jonchent le sol... Certains directement depuis l'escaliers, d'autre un peu plus loin... Gardien, enfant... Je ne fais pas la différence... Je deviens pâle, je me met alors à marcher, espérant toujours plus me réveiller, mais rien n'y fais, j'atteint malgré moi la porte, ou un gardien s'y repose, l'uniforme ensanglanté. L'air extérieur me fait reprendre mes esprit, je dois absolument retrouver Kamiko, avant qu'il ne soit trop tard... 

Je m'élance dans une charge folle vers les dortoirs de filles, bousculant les quelques élèves autour, tous semble se confondre, et mon visage s'efface, toujours plus, je fond comme un allemand sur la France en 40 en direction de Kamiko

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Je m'élance dans une charge folle vers les dortoirs de filles, bousculant les quelques élèves autour, tous semble se confondre, et mon visage s'efface, toujours plus, je fond comme un allemand sur la France en 40 en direction de Kamiko. J'en oublie presque le fait que les tirs se soient tus. 

Arrivé devant le dortoir, l'électricité ne fonctionne plus, je plonge alors dans le noir, ou quelque rares lumières viennent me montrer le chemin, je m'aperçoit qu'en plus des élèves et des gardiens, des hommes en tenue noir sont à terre, certains ont perdus des bras, d'autre leur tête... Un vrai massacre. Je ne suis pas sûr de savoir qui je suis , et ou je suis... 

Pourtant , c'est bien cette lueur verte qui s'entrevois à pas de la porte du réfectoire fille qui me permet de comprendre que je suis bien là... Cette lumière verte... Je ne veux pas la revoir... S'il te plaît Kamiko... Ne m'oblige pas... 

J'ouvre la porte, personne ne m'attend, des dizaines de cadavres, et ces même cristaux verts m'attendent, les même que décris par Kamiko... J'ai horreur du vert, depuis que Kamiko m'a raconté l'horreur , j'ai peur, je ne veux plus en voir... Les gémissement me font rappeler que je dois poursuivre ma route, je ne dois pas m'arrêter... Si je ne retrouve pas Kamiko , je risque de ne plus la voir... 

Les cristaux continuent derrière le bâtiment, jusqu'à vers le parc. Je les suis, comme suivant le sentier indiqué par les panneaux... J'arrive dans ce parc, sous ce lampadaire, ce muret de pierre ciselée. La nuit agitée laisse place au calme... La lune est rouge ce soir, contredisant les cristaux vers s'arrêtant devant Kamiko , qui avait mis ses pied sur le muret pour s'éloigner de cette lueur... Et la je reste, interdis sous l'écueil, fixant Kamiko, celle-ci; d'un sourire ravissant, fend le silence de sa voix, la chaleur qui emplie mon cœur à l'idée de la voir saine et sauve, le soulagement de la revoir... Tous ça, je l'oublie, je n'entend que ses mots. Ces mots qui me disent..

Kamiko : "Grand frère, des gens ont voulu me bousculer,  mais j'ai tous régler comme une grande !"

Kamiko : "Grand frère, des gens ont voulu me bousculer,  mais j'ai tous régler comme une grande !"

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(ET PAF , IMAGE DE KAMIKO, je vous dévoile son animation bientôt ;)

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Voici le nouveau chapitre,  j'espère qu'il vous a plu ! Ibuki et Kamiko sont terminés en animation, mais je cherche encore un moyen de vous montrer ces belles animations ::((((

Moi je vous dis, a+ !
Aiden

Moi je vous dis, a+ !Aiden

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 09, 2020 ⏰

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