Avertissement: A la fin il y a une "scene violante" (pour ne pas spoil), aucun detail n'est écrit mais sous-entendu. Si vous êtes sensible ne lisez pas.
ps: jai écrit c'est histoire en cours alors désoler si c'est pas ouf. 😂
Voila jai fini mon bla-bla, passons au chose sérieuse.
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La petite grelotait, l'hiver était rude. Assise par terre, à coté de la cheminée, son regard se perdait dans les flammes.
Dehors, les flocons virevoltaient, recouvrant le paysage d'un manteau blanc. Les maisons, figées, semblait trembler et mourir de froid, le désespoir et le silence régnaient en maitre sur le petit village.
Aucun enfant ne jouait, pas de bataille parsemée de rire, pas de bonhomme de neige au nez orange et au bras boisé. Seul le froid semblait s'amuser, gelant la vie, figeant le temps.
Aucune porte n'avait été déblayée, personne avait pris la peine de faire sa part, tous avait abandonné face à l'hiver, qui, dans ce village avait toujours été de mauvaise augure. En partant d'incendie, passant par des meurtres ou des disparitions, même des épidémies avait éradiquer des dizaines d'habitants. Chaque hiver, le malheur se répandait comme une maladie, ravageant tout sur son passage.
La jeune fille, toujours le regard perdu, interrogeant les flammes. Elle attendait sa mere, espérant, mais au fond elle savait. Elle savait quelle ne la reverrait pas. Cela faisait deux semaines qu'elle était partie, elle ne reviendrait pas.
Elle pensa à son père, mort au combat hiver dernier, elle n'avait plus rien, possédait seul une maison, froide et vide de toute vie, de tout espoir.
Alors elle se leva, une larme roula sur sa joue d'enfant. La petite replaça la couverture sur ses épaules avant de jeter un coup d'œil à la fenêtre. Le paysage était mort, les arbres dépourvu de feuille pliaient sous le poids de la neige. Tout l'univers semblait désespéré face à cet hiver.
Elle se rendit ensuite à la salle de bain et se regarda dans le miroir. La pauvre enfant avait un air maladif, sa peau, rosée à l'origine était à présent pale et terne. Ses joue creusées et ses cheveux en bataille n'améliorait pas son aspect.
À la vue de son reflet, les larmes lui montèrent aux yeux et c'est le regard embué quelle attrapa la petite lame du rasoir de son père. Son regard descendit sur ses avant bras, les fixants dun air décidé...
Cet hiver là, il y eu un malheur de plus au compte du petit village.
The end