Historia

Un aveu chamboulant

           Bonjour ! Cette fois-ci c'est une histoire indépendante ! Bonne lecture ! 

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             C'est avec un sentiment de joyeux, que je me dirigeais tranquillement pour aller voir ma mère. Mon père lui n'était pas là toute la journée d'aujourd'hui occupais par le travail. Ma mère quant-a-elle, avait pris des jours de congés. Leurs chambres n'étaient pas loin de la cuisine. Etant donner que ce n'était pas pressant je me pris d'abord un verre d'eau. Mon regard s'attelas alors à un sachet ou le symbole d'une pharmacie y étais indiquer. Ma mère avait peut-être mal au crâne après tous ? Je continuai mon chemin ensuite. Lorsque j'allais toquer à la porte un frisson me parcourus. J'entendais deux voies derrière celle-ci. Comment c'était possible ? De plus j'avais l'impression d'entendre des bruits très étranges et des essoufflements. Il y avait la voix d'un homme et de ma mère. Je crois que j'avais peur alors je me suis mise à courir en prenant le chemin inverse. Je parcourrai alors le salon en évitant les vieux petits cartons. Fallait que je fuie ce cauchemar. J'ouvris la porte d'entrée avant de courir deux fois plus vite me rendant au parc. Il fallait que je réfléchisse à une solution, à comment j'allais pouvoir dire à mon père que ma mère le trompait. J'étais perdus. Tous dans mon esprit se mélangeais. La peur, le dégoût, la colère, la surprise. Mais plus que tous le doute. Est-ce que ce que je pense et vraie ? Pourquoi ma mère ferait-elle ça, alors que la veille je l'avais surprises dans les bras de mon père en pleurant de joie ? C'est derniers temps ma mère me cachait des choses c'est vraie. Serait-ce vraiment ça ?

Je ne sais pas. La nuit commencée à tomber pendant que je réfléchissais. Je devais retourner à la maison. De toute façon j'avais pris ma décision. C'est d'une marche beaucoup plus longue que lors de mon départ que je rentrai à la maison. Mes parents m'attendaient devant la porte. Ils étaient en colère.

« Pourquoi es- tu rentrer si tard jeune fille ! la voie de mon père se faisait incisive.

« Je peux te parlais ? » surpris par mon temps miséreux il acquiesça et me dit qu'il m'attendait dans le salon.

J'enlevas mes chaussures et m'y rendis. J'appréhender cette discussion.

Ma mère nous avait laisser nous disant qu'elle ne se sentait pas bien. Mon père la regarda inquiet. Ça me faisait mal au cœur qu'il s'inquiète pour elle alors qu'elle...

« - Papa ?

- Oui, que se passe-t-il ? me dit il. Cette fois son regard inquiet m'était adressé. Cela ne faisait qu'augmentais mon stresse. J'essayais alors de balbutier ce que j'avais vus. Mais ma voie qui était chevrotante et trop faible rendis mes paroles incompréhensibles.

- Que se passe-t-il ? Tu ne parles pas assez fort ! Essaye de respirer. Me dit-il. Sa vois semblait de plus en plus inquiète. Je ne pus contrôlais mes larmes voyant son regard. Je me sentais dépasser, et honteuse de ce que j'allais lui dire. J'inspiras alors et expira. Avant de sortir ce qui me pesait d'une voie que je voulais forte.

- Maman te trompe ! criais-je presque. Ça première réaction fût la surprise. Ensuite ces yeux lançaient des éclairs avant qu'il inspire et expire. Il tentait sans doute de se calmer. Il prit alors la parole.

- Qu'est ce qui te fait dire ça ?

- Ce matin, je suis rentrée plus tôt de l'école. J'avais un papier à donner à maman. Alors je me suis dirigeais vers sa chambre.... Je.... J'ai entendu.

Papa ! Il y avait des sons étranges ! Elle n'était pas seul ! Il y avait un homme avec elle ! Tu étais au travail toi ! Papa .... je ne veux pas que maman et toi vous vous séparez. J'ai peur. Je suis désolé.... Je suis t'elle m'en désoler... pardon...

- C'était ce matin ?

- Oui ... »

Je me remis à m'excuser. Comme si lui demandais pardon permettrait à notre famille de ne pas se briser.

Alors que je pleurais avec un sentiment de honte. Mon père me regarda. Son regard était calme. Il appela ma mère. Alors que je pensais qu'une dispute allais éclater. Mon père se levas et embrassa ma mère. Je ne compris plus rien. Ils se regardèrent alors dans les yeux et se mirent à acquiescer. Ils souriaient.

« Ma puce la famille vas s'agrandir ! » me dit ma mère.

Cette fois-ci ce fût des larmes de joie qui coulaient.

« - Alors ce matin .... ?

- C'était le docteur qui vérifiait si tout allait bien.

- Je vais être grande sœur !!!!!

- Oui ma puce »

Tous les puzzles de ma tête étaient régler. Cette fois ci c'était de la fierté que je ressentais. Je courus dans leurs bras en pleurant de joie. Toute tension avait disparue.

   Fin 

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