2 heures ...

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Salut !
Aujourd'hui le nouveau défi qu'on c'est donner est .... L'amour impossible !!!!
Je vous souhaite une bonne lecture !

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Je le regardais. Ces yeux si profonds mais qui dans quelques heures n'aurait plus trace de vie. J'allais le perdre alors que j'avais enfin découvert mes sentiments. Mais comment pouvait il continuait de sourire alors qu'il allait mourir ? Je ne peux pas le sauver. Je ne peux pas changer le passé. Pourtant j'ai essayé. Il me regardait avec ses yeux bruns, qui montraient à qu'elle point il me trouvait séduisante. Ces yeux qui montraient également toute la malice qui possédais. Il n'y avait dans cette homme aucune trace de doute, de peur ou encore de tristesse. Comme si ce n'étais qu'une étape en plus de tous ce qu'il avait vécus. Je devais avoir l'air bien misérable à côtés. Ce n'est pas moi qui allais le vivre. Pourtant j'étais beaucoup plus affecté que lui. C'est comme si une part de moi aller disparaître. J'étais a deux doigts de craquer, mais ma position ne me permettais pas de le faire. Je devais juste l'accepter. Mais ... c'est si dure. J'aimerais l'embrasser jusqu'à que nous ne possédions plus de souffle. Je veux le marquer de la vie. Le libéré et m'enfuir avec lui. Mais je dois tenir il faut que je respire et que je n'oublie pas où est ma place.

C'est à ce moment qu'il ouvrit la bouche, sont sourire toujours malicieux.

"Tu te rappelles la première fois qu'ont c'est rencontrer ?"

Comment aurais-je pus oublier ! Ce jour-là je m'occupais d'emmener les prisonniers aux juges. Il n'avait d'ailleurs pas fait exceptions à la règle.

Lorsque je m'étais posée devant sa prison il m'avait adresser la parole d'une voie arrogante, sans pour autant vouloir me menacer, comme faisaient les autres.

"Salut ! Comment tu t'appelles ?"

" ...." Je n'avais pas répondu.

" Haaaaa une nouvelle hein..."

"...."

" Tu pourrais répondre ! Je ne vais pas te manger ! "

"...."

"Tu parles beaucoup dit donc ! Tu ne veux vraiment pas me faire entendre ta jolie voix ?"

Je ne lui avais pas répondus encore. Je me souviens avoir pensée que c'était un idiot. J'étais méfiante. Mais lorsque j'avais ouvert la porte, il c'était assis et attendais patiemment que je lui mette les menottes. Bien qu'il portât une tenue déchirer à certains endroits le reste était identique aux tenus des autres personnes. Mais lui il a porté bien. Lorsque je mets les menottes je dois toujours faire attention à si la personne ne possède pas d'arme qui pourrais me blesser. Mais bien que concentré je croisai son regard et je beuguas. Il avait des yeux d'un brun profond. Lorsque nos regards c'était croisée le prisonnier avait étrangement perdis son sourire. Il me regardait alors avec un point de tristesse. Il était devenus très calme et silencieux. Il n'avait plus du tout cet air de joueur du début. Cet homme me dit alors :
" Vous avez un beau regard miss"
Surprise je m'étais mis à rougir et je me dépêcher de lui mettre ces menottes.
Je ne sais pas pourquoi mais son changement de comportement soudain m'avait surprise. Pourtant je devais faire attention s'il était ici il y avait forcément une raison !

Au retour du tribunal je le ramener dans sa chambre. Il ne ce n'était pas du tout débattue malgré la sentence qu'il lui avait était dîtes. Mes supérieurs l'ont déclarer comme étant coupable. Il lui restait alors à passer une dernière fois le tribunal pour savoir qu'elle sentence il allait courir.

À ces souvenirs je me rappelais aussi les moments où nous avons commencé à nous rapprocher. On m'avait assigné le couloir où il était. Ma mission était devenus de leurs donnaient leurs plateaux repas tout en veillant à ce qu'ils ne passent outre les règles. Ce n'était que temporaire. Je ne me souviens plus le nombre de fois que lorsque je leurs donnais un plat, on me lançait des regards déplaisants ou ont m'insulter ou encore plus loin on me menacer. Il y avait bien sûre d'autre personnes qui était polis ou tout simplement me souriais gentiment. Mais je m'y étais habituer à toute ces situations. Parfois c'était dure mais ça allait. Certains moments était déplaisant mais lorsque je passais devant sa cage, enfin c'est comme ça qu'il appelait, je restais plus longtemps et discutait un peux avec lui. Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose m'attirer chez lui. Il était intriguant aussi car il était toujours arrogant mais dès qu'il voyait mes yeux il changeait d'attitude. Tournant la tête et chuchotant dans sa barbe. Une fois j'avais même cru le voir rougir. Mais surtout directement après que mes yeux ont disparus de sa vue il reprenait son attitude comme si de rien était.
Je ne comprenais pas. Enfin jusqu'à ce qui m'explique. Ce jours-là c'était la fois de trop et je lui avais alors posé la question.

"Pourquoi ton attitude change à chaque fois que tu vois mes yeux ?" il m'avait alors regarder droit dans les yeux avant de les détourner et de se passer une main sur la nuque.

" Tes yeux sont... J'ai l'impression qui voit plus que ce que les autres voies. On dirait que tu peux lire à travers moi. De plus tu me rappelais au début quelqu'un que je connaissais"

J'étais devenus rouge tomate. Par réflexe j'avais alors fui son regard.

"Pourquoi tu détournes les yeux ! C'est moi qui suis sensé être gêner !" avait-il dit enduite en riant.

Il m'interrompait alors dans mes songes du passé. J'avais eu le droit de le rejoindre dans sa cage pour le préparer avant de partir. Il me regardait dans les yeux. Un nouveau sourire taquin bordait ces lèvres.

" Pourquoi es-tu celle qui es le plus troublé par ma future exécution ?"

"Comment peux-tu rire de ça !" J'étais en colère ! Il allait disparaître !

Il s'avança alors vers moi. Il déposa t'alors ces lèvres sur les miennes. C'était notre premiers baiser. Comme pour nous montrer nos sentiment réciproque. Elles étaient douces et prudente. Comme pour me protéger de toute inquiétude. Alors qu'il s'éloignait de moi je l'embrassai de nouveau. Comme pour me rappelle qu'il était là. On se séparas ensuite. Il me regardait alors de nouveaux.

"Tu es belle miss de l'intérieur comme de l'extérieur" il ajouta ensuite

" Ça feras bientôt deux heures... petite miss"

A cette instant mon collègue m'appela c'était l'heure de l'exécution. Il allait mourir et une partie de moi avec.

Pourtant je n'avais pas encore envie de le quitter. Mais avec un peu de chance l'action que j'avais faite avant de venir ici allait servir à quelque chose. Mon seul espoir si reposais. Mais malgré tous lorsque cette fois la voix dure de mon collègue se fit entendre. Je sus elle était différente de d'habitude. Je quittai alors mon amant et lui dit une dernière parole.

"Adieu j'espère que tu seras heureux dans ta nouvelle liberté"

Je quittai ça cage qui allait bientôt s'ouvrir, lui permettant d'ouvrir ces ailes.

"Madame vous êtes arrêté pour le crime de monsieur"

Je le vis alors perdre tous son calme, me regardant avec peur.

"Qu'as-tu fait ?!?!?!"

Je lui souris.

"Tu ne mourras pas d'un crime que tu n'as pas commis."

Il m'avait un jour racontais de quoi il avait incriminé et m'avait dit qu'il était innocent. Au début je ne l'avais pas crue me disant que c'était un piège. Mais un jour alors que je faisais la trie des dossiers à classer j'étais tomber sur le sien. J'avais alors lu ceux de quoi il en retourner. Dans cette affaire il y avait quelque chose qui clochait. Plus tard j'ai appris qui était le véritable coupable et j'avais réussis à trouver des preuves de son innocence. Mais pour ça j'avais dû passer outre la loi. Je savais qu'à cause de ça j'allais être condamné à mort. Mais lui il vivrait. Il fallait juste que mes collègues se rendent compte de ces faits pour que mon plant se déroule.

Alors que je marchais direction ma mort. Il me criait de me débattre. Mon homme me criait de vivre. Il demandait, supplié, disant que c'était lui le coupable pour pas que je me fasse exécuter. Je crois l'avoir entendus pleurer et me hurlais un je t'aime et un je t'en supplie résiste.

Mais au moins, il allait vivre. Je me le répéter encore et encore. Il ne serait pas prisonnier d'un crime qu'il n'avait pas commis.

Deux heures.

Voilà le temps qu'as durer pour que mon amour impossible se termine est ceux en même temps que mon dernier souffle.

Adieu mon beau brun, je t'aime et t'aimerais.

Fin !

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