Chapitre 6 : La police

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Le lendemain matin, je me suis levé, je me suis  habillé et j'ai déjeuné. Pendant tout le trajet vers le collège, je repense à ce que je me suis dit hier soir, ça pourrait être Timothé qui aurait déplacé  le corps de Moran mais pourquoi ?

En arrivant au collège, les policiers sont déjà devant le portail, il fouille les sacs. J'arrive devant le portail, on fouille mon sac et l'un des policiers me dit : 

-Il y a le commandant qui veut te voir, il est au bureau du proviseur.                                 

-D'accord.

Je descends les escaliers principaux, et je remarque qu'il n'y a pas beaucoup de personne au collège, peut-être parc qu'il on été choqué de la mort de Moran, mais bon personne ne l'aimait. Sur le chemin je croisa Lou et Clara : 

-Qu'est ce que tu fais ici ? demanda Lou

-Je vais chez le principal. 

-Mais t'es pas rester chez toi après ce que t'ai vécu ? questionna Clara.

-Non, ça va 

-OK, mais si tu as besoin de parler on est là pour ça.

-Je sais.

Je continua donc ma route vers le bureau du principal. En arrivant dans le hall d'entrée, les internes étaient tous là, je m'assis donc à une chaise juste à côté de Jules et je lui demande /

-Toi aussi les flics t'on convoqué.

-Oui mais c'est sans doute pour expliquer comment on a retrouver le corps de Moran.

-Putain, elle nous fera chier jusqu'au bout cette pute, même quand elle est morte, elle est casse-couille, dit Antoine.

-Mais s'il faut expliquer comment on a retrouver le corps, faudra... 

-Il faudra quoi ? questionna le capitaine, qui venait de sortir du bureau du principal.

-Euh... Il faudra expliquer toute notre soirée ?

-Oui car chaque détail compte dans ce genre d'enquête, bon on va commencer les interrogatoires et le premier se sera toi Jules.

Avant qu'il aille dans le bureau il m'appela du regard et dit : 

-Qu'est ce que j'dis ?

-Je sais pas, dit comme on a dit à Timothé.

Et il partit  dans le bureau du principal. Je fut le dernier à passer, il y a eu Maxence, Antoine et Alan. Avant de passer, je réfléchis à ce que j'allai dire : soit je dit que j'ai vu Timothé réveillé tôt ce matin-là, soit je raconte que c'était normale.

-Léo c'est à toi.

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