12. Une vision d'horreur

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PDV Temari:

Moi- D'accord et bien...

« Flashback:

Après cette nuit dans ses bras, je suis heureuse.

Je me réveille, le réveil de Shikamaru affiche 10h18.

Je me dégage de son étreinte pour me diriger dans la salle de bain.

Je me déshabille et rentre dans la douche pour me laver.

Comme à mon habitude, je chante sous la douche, ça aide à me détendre.

Une fois le corps et les cheveux propres, je me sèche et mets un yukata qui traîne, c'est celui de Shikamaru.

Je sors toute contente de la salle de bain. Je suis vêtue des habits de Shikamaru, j'espère une réaction de sa part.

Pour mon plus grand étonnement il n'est plus dans le lit.

Il doit être dans la cuisine, je vais aller voir.

A peine la porte de la chambre franchie, j'entends un boum.

Moi-Shikamaru c'est toi ?

Aucune réponse.

C'est pas rassurant du tout...

Je commence à courir dans la maison.

???- Temari non !

Cette voix, c'est la sienne !

Moi- Shikamaru ?

je cours vers le salon.

Il est là, en face de moi, allongé sur le ventre, les yeux fixés dans ma direction.

Je peux voir de la peur, de la tristesse et de la haine dans ses yeux.

Pourquoi il me regarde comme ça ?

J'ai comme un pincement au cœur...

D'un coup il se met à pleurer et à se tenir le cœur.

Moi- Shikamaru !

Je me jette par terre en sa direction, pour essayer de savoir ce qu'il a.

Il a l'air d'avoir très mal au cœur, donc je le prends dans mes bras et lui caresse ses cheveux pour essayer de le calmer.

Moi- Calme toi Shika, ça va aller.

Le voir trembler et souffrir comme ça me fait mal au cœur.

Je ressers mon étreinte, les larmes aux yeux.

Moi- Je suis là, arrête de pleurer s'il te plaît.

Alors que je continues à essayer de le calmer, je sens que sa main qui serre son cœur se relâche.

Je regarde son visage et je le vois fermer les yeux.

Moi- Non non non... Shikamaru reste avec moi !

J'entends quelqu'un toquer à la porte mais je l'ignore, Shikamaru est plus important.

Je le secoue mais il ne répond plus, ses muscles se sont complètement relâchés.

Je le serre encore plus fort dans mes bras en pleurant à chaudes larmes.

Sors de ma tête femme galèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant