Os à partir de ces images :
De base c'est à côté, mais bon, merci Wattpad ! 😅
Enfin bon voici le texte:Je n'y arrive pas, non je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à admettre que je l'aime. Elle est si belle, si gentille et moi je ne suis qu'un garçon. Un garçon parmi tant d'autre, alors pourquoi voudrait elle de moi ? Pourquoi voudrait elle d'un garçon froid et distant comme moi, qui n' arrive pas à gérer ses émotions ? Je me sens comme un papillon sans ailes, incapable de voler et de rêver. Si seulement j'arrivais à faire le premier pas. Peut-être qu'elle m'apprécirait davantage, peut-être même qu'elle m'aimerait. J'ai pris ma décision, j'irais la voir, demain, et je lui offrirai quelque chose, un symbole de mon amour. Mais si elle refusait...
Je m'interdis de penser ça. Mon esprit ne le supporterait pas. Pas après ce qu'il m'est arrivé. Pas encore. Je partis de chez moi et je pris mon vélo pour me rendre chez elle. Lorsque que j'arrivai devant chez elle je la trouvai là, assise sur les marches d'un petit escalier. Elle carressait un petit chat, elle ne m'avait pas entendu arriver. Je l'admirai durant un certains temps, essayant d'encrer son visage dans mon cerveau pour ne jamais l'oublier. Je la vis relever la tête et me regarder d'un air étonné. "Il est trop tard pour faire marche arrière." Surprise elle me demanda:
« Martin ? Qu'est ce que tu fais là ? »
Je ne répondis rien. J' étais paralysé, je ne bougeais plus. Elle me regarda bizarrement. J'enlevai difficilement la grimace qui me crispait le visage et m'avança rapidement d'elle. Je sortis de mon sac à dos un petit bouquet de fleur et je lui tendis. Mon visage exprimait pas vraiment d'émotion particulière mais j'étais géné. Ma main tremblait énormément et je n'osais pas la regarder. Je sentis quelque chose me toucher la main et je me tournais. C'était elle, elle prit les fleurs dans une main et elle me prit la main avec l'autre. Je l'a regardais étonné mais heureux. Je murmura, assez fort pour qu'elle l'entende: « Éloïse, je t'aime. » Elle s'approcha de moi et m'embrassa sur la joue. Mes yeux s'écarquillèrent, j'étais au comble du bonheur.[407W]