Promesse d'enfant

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Dans les cendres ne restent que des souvenirs

Mains dans la main, elle me fait un petit sourire.

Dans les cendres brûlantes un garçon est debout

Il serre fort en tremblant un peu deux bijoux.

Ton rire étincelant...

À chaque fois que des yeux chaleureux...

Éclaire brillamment...

Viennent se poser sur notre ciel bleu.

Les ombres qui m'entourent,

Me plonge dans les mensonges de mes discours



Les cauchemars ne s'en vont pas de ma mémoire,

Y'a-t-il une chose que je puisse protéger de ces mains ?

Mais que l'on me donne un méchant dans cette histoire,

Le coupable de cette tragédie d'un soir.

J'essaie de te protéger de tout mais c'est en vain !

De l'air me manque je vais m'étouffer !

Tout ce qui est brisé reste éternellement,

De ce passé que j'aurais eu, ne me reste-t-il que du rien ?

Brisé sans que l'on ne puisse faire autrement !

Les doigts croisés sur notre promesse d'enfant,

Je te le promets, de mes propres mains, je l'accomplirai...

Le temps a bien passé et a tout effacé

Sans qu'on ne le remarque la haine a germé

Le temps a bien passé et tout fonds dans les flammes

Ne reste que dans les vestiges une larme

Les sorcières acharnées

La magie qui t'a sauvé ce jour là

Doivent toutes brûler !

N'est pas mauvaise puisque c'était moi !

Par tes mensonges dits

C'est dans la froideur du fer blanc que tout s'oublie

Brandissant mon épée tranchante vers le mal

Ces doux yeux que j'ai tant essuyé me scrutent avec dureté

Pleurant, je reconnais ce visage si pâle

Et ma main se met à trembler est-ce normal ?

Pourquoi ne comprends-tu pas ce que je suis en réalité...

Ma voix se meurt, je ne peux plus parler...

J'implore une miséricorde en tremblant

Face à la douleur de la trahison qui me viens me dévorer

Mais mes mots glissent sur toi inutilement

Les doigts saignants sur notre promesse d'enfant,

Je te le promets, de mes propres mains, je l'accomplirai...

Pour que ce futur ne cesse pas d'exister...

Pour que le chagrin et la haine dans tes yeux puissent être éteint...

Pour que tu ais cette paix chaque matin...

Je saurai devenir ce que tu hais !

Ne vois-tu pas que tout est faux dans ta lumière ?

Malgré le péché que tu portes, je ne peux pas te trahir

La faute à cette croix qui n'a fait que mentir !

Les fils des mensonges se resserrent.

Contre la volonté de mon cœur je dépose

Je garde foi en toi, qu'importe ce que tu as décidé

L'unique torche pendant que les larmes explosent

Laissant le brasier s'ouvrir comme une rose

Car j'ai vu que tu sanglotais derrière l'épaisse fumée

De l'air me manque je vais m'étouffer !

Les yeux clos en toussant, je repense à ce temps

S'il n'y as que des cendres pour tapisser notre destinée

Où toi et moi étions encore innocents

Si naïf envers une promesse d'enfant

Qu'importe le prix je l'accomplirai...

Monde closOù les histoires vivent. Découvrez maintenant