Rebirth of the villainous daughter

Chapitre 1

'Tout ma vie, je n'ai rien désirer de plus que l'amour d'un père. Et pour tant, ironie du destin, c'est ce même père qui mit fin à mes jours.'

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Le coeur transpercé par une balle, du sang coulant de ma bouche, sentant mes force m'abandonner, je regarde cette homme pour qui tout ma vie j'ai désespérément attendu de l'amour. Mon père se tenait là, au côté de l'homme que j'avais jadis aimer et de mon demi-frère. Je scrutais son regard emplit de haine à la recherche de ne serait-ce qu'un soupçon d'amour mais en vain. 

-"Pourquoi...ne suis-je pas ta fille aussi ??...Pourquoi...elle et pas moi...?...N'ai-je pas aussi droit à ton amour??" Lui dis-je de ma voix rauque, les larmes au yeux

Tout ce que j'eu en retour ne fut qu'un regard dégouter suivit de ces mots qui me brisèrent le coeur :

-"Ma fille ?...Je n'ai qu'une seul fille et c'est celle que tu as tenté de tuer !"

A ce moment là, tout mes espoir brisés, je me rendis compte que je n'aurai jamais l'amour d'un père peut importe à quel point je le désire. Il m'aura fallu attendre d'être au porte de la mort pour comprendre ça. 'Hah quel ironie, peut importe à quel point je fais de mon mieux ce n'est jamais assez, au final, tu ne ma jamais vraiment aimer et encore moins considéré comme ta fille.'

Mes paupières se fermèrent et mes dernières larmes coulèrent. Je sentais mon corps se vider de son énergie et mon esprit sombré dans les ténèbres. Dans mes derniers instants, je vis des fragments ma vie défiler devant moi.

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Quand j'étais petite, je vivais seul avec ma mère. On était très heureuse ensemble mais plus les années passèrent et plus je commençais à ressentir un manque, il me manquait quelque chose. Il me manquais un père. Petit à petit, je me mis dans la tête que c'était de la faute de ma mère si je n'avais pas de père comme les autres enfants et la haine et le ressentiment prirent le dessus sur l'amour que je lui portais. Elle faisait de son mieux pour remplir l'absence d'un père, elle travaillait d'arrache pied enchainant les heures supp mais pour moi ce n'était pas suffisant. 

Elle m'aimait tellement que même lorsque je lui disais des choses horribles, elle me pardonnait. Elle m'aimait tellement que lorsque je lui demandais de m'acheter quelque chose d'extrêmement cher, elle se privait de nourriture ou de nouveau vêtement et travaillait trois fois plus dure pour l'acheter. Elle m'aimait tellement que à chaque fois que j'avais besoins d'elle, elle était là. Et malgré ça, je n'ai pas été capable de lui rendre tout son amour. Ne pas l'avoir suffisamment aimer à, je peux le dire, été la plus grand erreur de ma vie.

Un jour, j'ai découvert part hasard l'identité de mon père et quelque information le concernant. C'est le coeur remplis d'espoir que je me suis rendu dans son entreprise et ai demandé à le voir en déclarant être son enfant. Après avoir fait un test ADN, qui fut positif, pour être sûr, il me ramena chez lui. J'étais si heureuse de retrouver mon père mais malheureusement le bonheur n'était pas partager. Arriver chez lui, j'ai découvert qu'il avait une femme et deux enfants, un fils qui avait 2 ans de moins et une fille qui avait 3 ans de moins que moi.

Je fis de mon mieux pour le plaire et pour qu'il soit fière de moi mais au lieu de cela, tout ce que j'eu ne fut que des regards froids accompagné de critique sanglante. Pas une seul fois il ne me fit un regard doux ou ne me dit de gentil encouragement. J'étais tout le temps occupé à apprendre quelque chose pour l'impressionner mais en vain. 

Un an et demi après que je sois arriver chez mon père, mon oncle me retrouva. La vérité, c'est que après avoir découvert qui était mon père je me suis enfuit de la maison pour vivre avec lui. Un acte totalement stupide je dois bien l'avouer. 

Il me raconta que pendant ces un an et demi d'absence, ma mère me chercha comme une folle et eu un accident. Elle était dans un état critique et moi tout ce que j'ai trouver de mieux à lui dire était que je n'avais pas le temps mais que peut être après mes examens j'irai la voir. Tout les jours, il venait et me supplier d'aller la voir mais ma réponse resta toujours la même jusqu'au jour ou il arrêta de venir. Je pensais qu'il en avait marre et avait tout simplement lâcher l'affaire mais ce n'est qu'un mois plus tard, après mes examens, que j'appris que c'était parce que ma mère était morte. 

J'étais dévaster et ronger par les regrets et la culpabilité, je suis alors tombé dans une profonde dépression pendant plusieurs mois. Suite à cette tragédie, mon désire d'être aimer par mon dernier parent se transforma en obsession. Je faisait tout mon possible pour que mon père me regarde avec les mêmes yeux remplit d'amour que ceux avec lesquels il regardait mon petit frère, ma petite soeur et leur mère. Mais pour moi ses yeux ne contenaient même pas un soupçon d'amour, seulement un indifférence totale. Ma petite soeur avait toute l'attention et l'amour de notre père mais cela ne me découragea pas pour autant et je continuais mes efforts pour un jour peut être avoir son amour.

Des années après, je suis entrée dans un université prestigieuse, le même but en tête. Je n'étais pas très proche de mes camarades de classe et passais la grande partie de mon temps à étudier dans la bibliothèque. Là bas, j'ai rencontré l'un des rares personnes que je pouvais considéré à l'époque comme mon 'amie', du moins c'est ce que je pensais. On s'entendait très bien et on allait souvent à la bibliothèque étudier ensemble. Puis deux ans plus tard, ma petite soeur est arrivé et c'est là que le cauchemar à commencer.

Pendant c'est deux ans, je me suis concentré sur mes études mais comme toute jeune femme normal, je suis tombé amoureuse. C'était un étudiant de l'université, on avait plusieurs cours en commun et au début, je ne lui prêtais pas vraiment attention. Mais un jour, j'ai eu de la fièvre et malgré celle ci, je pouvais pas me résoudre à raté les cours. 

Toute la matinée c'est bien passer et personne n'avait remarquer quoi que ce soit mais durant le premier cour de l'après-midi, je sentait ma fièvre empirer et la fatigue m'envahir. J'étais épuisé et comme par hasard, le prof qui ne prêtait habituellement pas attention à moi me demanda soudainement de répondre à une question au tableau. Je commençais à me lever et là, je sentis quelqu'un agripper mon bras. C'était lui, il me demanda sa va aller ?. J'étais d'abord étonné mais je lui ai ensuite répondu oui, tout va bien . Et la trou noir. 

Lorsque je me suis réveillé, j'étais à l'infirmerie, c'était déjà la fin de la journée et les cours étaient terminer. Quelque minute après mon réveille, il entra dans l'infirmerie me posa deux-trois question sur mon état et me gronda pour avoir ignoré ma maladie et être venu en cours malgré celle ci. Il quitta la salle avec des mots doux, c'est la première personne depuis la mort de ma mère que quelqu'un s'inquiéta sincèrement pour moi. Et cette évènement fut le début de mon histoire d'amour à sens unique.

Un an après que ma soeur soit entrée à l'université, j'ai découvert que mon 'premier amour' était devenu le premier 'petit ami' de ma soeur. J'ai aussi appris que ma première 'amie' était aussi devenu la 'meilleur amie' de ma soeur. Et pour couronner le tout, que tout le monde me voyer comme la méchante soeur qui à brisé une famille heureuse et qui maltraite sa petite soeur.

J'avais de la haine, j'étais désespéré et en manque d'amour. Ma jalousie me mena un soir à tenter de tuer ma soeur. Pour moi tout était de sa faute, elle m'avait tout pris, mon bonheur, mon amie, mon premier amour, mon honneur, ma famille.....mon père.

 J'étais au dessus d'elle et avant que je ne puis faire quoi que ce soit, mon père, mon frère et cette 'homme' débarquèrent dans la pièce en panique. Un couteau dans la main, prête à poignarder ma soeur, je les fixais et vit une peur et une colère immense émaner d'eux. Puis quelque seconde plus tard, mon père sortit un pistolet et sans la moindre hésitation me tira dessus.

La seconde d'après j'étais au sol, me vidant de mon sang prête à mourir. Du moins c'est ce que je pensais.

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PS : La video n'a rien à voir avec l'histoire, c'était juste pour l'image. Notre héroïne a les cheveux noirs