CHAPITRE 2

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Raby Al Hassan Bâ :

Deux jours s'étaient écoulés après cette journée passée chez Nafissatou, cette belle journée pendant laquelle j'ai pu profiter de quelques moments merveilleux avec Assane, soit dans les toilettes où même dans les couloirs, sans même que Nafissatou ne nous surprenne.

Hier soir Assane m'avait joint au téléphone pour m'informer du départ de Nafissatou dans l'après midi et confirmer notre retrouvailles pour le lendemain c'est-à-dire aujourd'hui. J'avais hâte, hâte de me rendre chez lui, de me blottir dans ses bras, d'assouvir enfin ces désirs qui augmentent de jour en jour. Je regarde l'heure sur mon téléphone et trouve qu'il était 9h passé de douze minutes. Je m'étais déjà lavée et vêtue, il ne me restait qu'à ranger les affaires que j'aurai besoin pour cette journée qui s'annonce être excitante. Je prends mes clés et ferme la porte de ma chambre derrière moi. C'est vrai que c'était un peu risqué de le rejoindre chez lui car on pourrait certainement nous surprendre là-bas par Nafissatou ? Qui sait. Mais je ne pense pas qu'elle puisse rentrée sans appeler Assane. En parlant de lui, il vient de m'envoyer un message

"Je te veux. Je te veux toute entière,
Moins que demain et plus qu'hier, sans crainte, sans peur, sans barrière.
Je te veux. Je veux que tu sois à moi, je te veux épanouie dans mes bras, sans inhibition sous les draps.
Je te veux. Je veux que tu deviennes, ma belle, ma douce, ma reine, je veux que tu sois mienne. Je te veux. Je te veux à ma merci, te faire jouir, entendre tes cris, je veux hanter tes nuits. Je te veux. Je te veux rouge sous mes mains, marquer sur ta peau que tu m'appartiens, avant de m'enfoncer au creux de tes reins... Kate leuh ba do meuneuti dokh (te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus marcher)

Ce message eu le don de me chauffer et comme pour répondre à la provocation je lui envoie en retour

"Je veux que tu arrive sauvage, que tu me plaque contre le mur, que tu m'embrasses comme si c'était la dernière fois que tu avais accès à ma bouche, que tes mains parcours ma poitrine, mon dos, mes fesses pendant que ta bouche parcours mon cou...
Que tu t'arrêtes quelques instants, et que tu me déshabilles lentement, je veux sentir ta bouche, tes mains parcourir mon corps, je te veux à la fois sauvage et tendre. Je veux que tu m'attache les mains, je veux être à toi. Je veux voir ton corps, tes muscles se contracter quand tu me feras l'amour, et que tu me bandes les yeux, je veux que tu me fasses perdre pieds, je veux me perdre dans tes bras, dans tes coups de reins destructeurs"

J'étais à quelques pâtés de maisons de chez Assane. Mon cœur battait si fort à l'idée de le voir tout nu sur moi, en moi, me défoncé la toise, mon anus. Et oui j'étais prête à le laisser me sodomiser si c'est celà qui pourra le faire plaisir et me prendre comme il me l'avait promis "seconde épouse" . J'étais devant la porte, j'appuie sur la sonnette et sans entendre longtemps, je vois la porte s'ouvrir sur Assane qui m'invite aussitôt à rentrer. Je l'offre un petit sourire et lui fis la bise et coquin qu'il est, il me donne un petit fessé. Je sens déjà que la journée sera chaude pour moi rien qu'en voyant l'agressivité qu'il à mit en me donnant ce fessé et en empoignant mes fesses. Il referme la porte en me tenant par la taille. Nous marchons ensemble pour rejoindre le salon, arrivée dans le salon, je le pousse sauvagement pour le faire assoir sur le fauteuil. Et remonte ma robe et m'assois sur lui en m'emparant de ses lèvres que je dégustais avec appétit en le caressant la nuque. Il me laissait faire, en me donnant accès à sa bouche, à son cou, ses lèvres. Il me laissait m'occuper de lui. Je détache mes lèvres au sien et jette un regard intense sur son beau visage puis fis passer ma main sur son abricot qui commençait à gonfler à l'intérieur de son short. Je commence à onduler mon bassin pour frotter ma fente contre sa verge. Il me tient par la taille en m'incitant à accentuer mes mouvements pour rendre avide le plaisir qu'il ressentait je lui enlève son T-shirt et m'empare de ses petits mamelons que je suçais et titille délicieusement à tour de rôle ce qui lui fit lâcher quelques râles de plaisir. Voyant que cela lui plaisait je voulu augmenter le plaisir en glissant ma main dans son short pour caresser sa longue et grosse fouet noir. Il me bloque l'accès et me tiens la main pour me faire basculer, il était à présent sur moi, la tête plongée au creux de mon cou pour parsemer de baisers accompés de coup de langue sur ce zone que je connais sensible. Il réussit à me volé un long soupir de plaisir et s'active aussitôt à me débarrasser de ma robe et ensuite mon soutif. Il empoigne fermement l'un de mes seins en ayant sa bouche posée sur l'autre, il me mordillait quelques fois les mamelons me faisant émettre des cris stridents dû à la douleur et aussi au plaisir que je ressentais. Il m'éxcitais au plus haut point, moi qui voulais perdurer les préliminaires me voilà prise par une forte envie d'être prise là pour éteindre cette flamme qui brûle au fond de mon œil du cyclope (Chatte). Je l'attire sauvagement pour sentir la chaleur de sa peau contre la mienne. J'étais toute excitée et soif de sa longue queue mais à le voir caressé mon antre d'amour on dirait qu'il prenait du plaisir à me faire languir et me faire humectér, il se place entre mes jambes et approche sa tête de ma fente que j'avais pris la peine de raser, il l'entreouvre sensuellement avec ses deux doigts et introduit goulûment ma langue ce qui fit me sentir des frissons au niveau de mon bas ventre au moment où je commençais à prendre plaisir avec sa langue et ses deux doigts enfouis on fond de mon entrejambe il s'arrêta et me dit:

DÉVASTÉE: une attirance dévastatrice Où les histoires vivent. Découvrez maintenant