-J'ai simplement de vague souvenir, mais je me rappelle de certaines choses. Quand j'étais petite, j'étais partie dans la forêt cueillir des fleurs pour ma mère. Une fois rentré, c'était le cahot. Du feu sortait des maisons, des taches de sang fraîche nourrisais le sol, mêmes les trons d'arbres, les feuilles ainsi que les autres végétations étaient couverts de liquide rouge. Certain organes humains giclais au sol. Quand dj'ai découvert cela, je n'ai pas rensentie de peur, j'étais en colère, je m'étais empressé de voir mes parents. Quand je suis arrivé dans ma maison, elle était recouverte de sang, sa ressemblais a un cauchemar, où même pire, à une apocalypse. J'ai découvert le corps de ma mère ensanglanté gissait sur le sol. Du sang, il y en avait partout. Elle avait un énorme trou dans la poitrine, son cœur avait disparu. Il lui restait encore une larme sur son œil droit. Je lui déposa mes fleurs. Les pétales de mes fleurs devenaient rouge. J'entendis un bruit, un craquement d'os. Je me dirigea vers ma cuisine. Une bête poilus de la tête au pied avec des dents couverts de sang, pointu comme une lame, des yeux rouge rubis, qui étincelaient, dévorait mon père. Je regardais, sans bouger, les yeux fixé sur ce monstre. Peu à peu, le monstre se transformait en humain. Une silhouette d'un homme couvert de sang me fixait. Il s'approcha de moi dangereusement, il tendit un doigt devant moi et de son doigt, apparut une griffe noir, pointu, conçue pour égorgé ses proies. Il effleura ma ma côte gauche du bout de sa griffe. Puis, comme par magie, il disparus. Les survivant de mon village m'emmenairent avec eux aux village voisin. Je pris refuge dans un foyer. Ce soir là, le loup que j'avais vue n'est d'autre que l'alfa.

La grande mage devait certainement s'attendre à quelque chose de plus.. Joyeux.

-Je comprend l'envie de votre vengeance mademoiselle Frits, mais veuillez vous retenir. Attendez d'avoir votre diplôme et après quitter les mages, comme sa vous pourrez vous venger sans qu'une guerre entre mage et loup garou survienne. Maintenant, expliquer moi, quand vous avez lancez le sort à notre loup, à quoi avez vous pensez ?

-Je ne controlais plus mes pensées. Elles apparaissaient sans que je ne puisse les stopper. J'ai repenser au soir de la mort de mes parents. Et quand j'ai ouvert les yeux, le loup était déjà parti de l'autre bout de la pièce. Et je tiens à aller voir ce loup pour m'excuser.

-Très bien, c'est certainement la meilleure chose à faire. Et d'après ce que vous me dites, sa serait la colère qui pousse votre pouvoir à être plus fort... C'est intéressant. Revenez chaque jour, à vingt-trois heure dans l'amphithéâtre, moi ainsi que certains collègues allons vous apprendre à maîtriser vos pouvoirs. Vous pouvez disposez.

-Merci grande mage.

Je sors du bureau de la grande mage, il est déjà midi. Je pars à la cafeteria. J'aperçois Sarah avec les deux autres personnes apprentis de notre classe. Je vais les rejoindre.

-Salut, on a pas vraiment pu faire les présentations, moi c'est Dylan. Me dit le garçon

-Et moi Mia. Me dit la fille.

-Salut, moi c'est Amber.

-C'était vraiment impressionnant ce qu'on t'a vue faire au loup. Comment tu l'a fais.

-Ha heu enfaîte je me suis tromper dans le sort.

Il vaudrait mieux que je ne leur dise rien pour l'instant.

Les loups de notre classe venaient de s'asseoir avec nous a notre table.
La louve de ce matin, commença à me parler.

-Tu as fais ça comment ?

-De quoi ?

-Ce que tu as fais au prof. On est venu dès que on a sentis qu'il y avait du danger.

-Je me suis tromper de formule.

-Pas possible, tu es une apprentie, tu ne connais rien d'autre.

-Tu veux bien aller voir ailleurs ?

-Non, tu as blessé un loup, l'un des nôtres, tu devrais être punis.

-Comme si vous vous n'avez jamais fais de mal à l'un d'entre nous.

-Jamais. On sait se retenir.

À ses mots, je perds totalement le contrôle de mon corps, j'avais l'impression d'être possédé. Je lança un sort sans m'en rendre comte. Je ne dis même pas de formule qu'un sort frappa la louve de plein fouet, je sentais mon corps qui criait de rage. La louve était à terre, inconsciente. Sans le vouloir, je me jeta sur son amie. Sans même invoquer de formule, la louve se retrouva au plafond. Leur ami le jeune loup, intervena. Il me lança une attaque et sans le savoir, je l'a bloqua. Il me regarda tout autant surpris que tout le monde autour de nous. Et je le vis, devant mes yeux, se changer en monstre. Il se jeta sur moi et me mordi le cou. Je m'évanouie et je me perdus dans le noir.

Je me réveilla en sursaut. J'étais dans le bureau de la grande mage enfin dans une pièce à côté de son bureau qui avait la porte ouverte. Elle se disputait avec un homme.

-Monsieur Xander, vous savez très bien les règles, je vous colle pour deux mois, vous vous êtes transformé sans autorisation !

-Votre apprentie à fait du mal à mes amies, je ne pouvais pas rester là à attendre mon tour!

-Peur importe, ce qui est fait est fait. Vous serez tout les deux collés pendant deux mois. Vous devez comprendre que à présent, je ne veux plus que vous ou vos amies cherche à mettre en colère mes apprenties. J'espère que c'est assez claire ?!

-Oui grande mage.

Ils se sont interrompu un instant et la porte à demi ouverte c'est ouverte en entier.

-J'espère que vous avez entendu mademoiselle Frits !

-Oui grande mage.

-À présent, rentrer chez vous. Vous vous êtes endormis pendant plus de quatre heures. Où habitez vous mademoiselle ?

-Dans le village d'Acryle, celui à côté de cette ville.

-Très bien, je vous fais un sors de teleportation. Monsieur Xander, vous pouvez rentrer chez vous.

-Bien grande mage. Dit il.

Il m'avait regarder vraiment très mal et avait disparu. La grande mage exécuta le sort, et je me retrouva devant la foyer. Quand je foya dans mon sac, il y avait une demande pour l'internat. Je vais devoir travailler pour payer les frais. Madame Frits m'acceuilla avec un grand sourire je ne lui dis rien de cette journée. Elle venait de signer les papiers pour l'internat. J'y vais dès demain. Je prépara ma valise. Le soir, madame Frits me parla d'un petit boulot qui se trouvait pas loin du lycée. J'allais travailler dans un café ! Je m'endormais péniblement avec tout ses souvenirs désagréable de la mort de mes parents.

My Lovely WolfOù les histoires vivent. Découvrez maintenant