Elle était chez elle, sa sœur était déjà partie, elle était partie dans la matinée et maintenant c'était son tour. Car il était bientôt 13 h et il ne fallait pas manquer l'horaire au risque de se retrouver toute seule dehors, elle prit son sac, le seul sac admit et fournit par le gouvernement dans lequel elle avait mit surtout des photos et quelques objets importants. Là où elle se rendait tout lui serait fourni, vêtements, brosse à dents, brosse à cheveux, tout là bas était organisé pour accueillir du monde. Elle dit une dernière fois au revoir à sa mère et quitta la maison munit de son masque. Elle marchait rapidement jusqu'au point de rendez-vous sans se retourner, jamais il y a quelques mois elle n'aurait pensé que nous en arriverions là. Car en effet le gouvernement après avoir été submergé par des vagues de nouveaux cas infecté par le virus, avait déclaré l'état d'urgence sanitaire, mais il ne s'était pas simplement arrêté à un confinement général cette fois ci. Les tests contre le virus étant maintenant beaucoup plus rapide et efficace, le gouvernement a décidé d'enfermer toute personne saine dans des bunkers cachés depuis lors, chaque personne étant bien entendu testé avant d'être emmené. Si vous avez la chance de rentrer dans ces bunkers vous aurez sûrement la vie sauve. Mais si vous êtes positif au virus, vous devez alors rentrer chez vous mais on ne vous promet pas que vous survivrez au virus qui commençait à rendre certains atteints fous. Il pleuvait et elle n'avait pas emporté de parapluie qui dans le bunkers ne lui servirait a rien. Elle arrivait enfin devant le bunker, des amis à elle étaient déjà là mais tout le monde devaient se placer sur un cercle au sol. Ils allaient les appeler un par un, par ordre alphabétique et ils réaliseront tous un test. L'appel commença, quatre personnes appelaient des noms et des prénoms, l'un d'eux commençait par les A, l'autre par les G et ainsi de suite, les adolescents se dirigeaient petit à petit vers la personne qui les avaient appelé, ils leur fessaient le test et si celui ci s'avérait positif ils étaient renvoyé chez eux mais si il était négatif, ils vous laissaient passer de l'autre côté sur une autre place plus proche du bunker cette fois ci, et entouré de grillage. A l'intérieur aucune distance n'était nécessaire car chaque personne entrant dans la place était saine. Notre héroïne était debout sur son cercle, quand soudain elle entendit son nom elle se dirigea vers la personne qui l'avait appelé, on lui demanda d'ouvrir la bouche et on frotta une sorte de coton tige à l'intérieur puis on mit le coton tige dans un tube à essai remplit d'un liquide transparent et rien ne se produisît. On lui demanda d'aller sur la place suivante, à côté d'elle un coton tige était mit d'un un tube à essai mais toute de suite le liquide qui était au départ translucide se colora en orange. L'adolescent a qui le coton tige appartenait fut renvoyé chez lui et notre héroïne ne le revit pas. La place commençait à se remplir petit à petit jusqu'à ce que la place extérieure soit complètement vide. Alors un militaire s'adressa aux adolescents car ils devaient maintenant descendre dans le bunker. L'entrée n'était pas très accueillante car à l'extérieur il y avait une simple porte de métal, mais à peine entrée dans le tunnel on comprenais rapidement que ce n'était pas une blague. Tout d'abord la porte qui de l'extérieur paraît ordinaire n'est en fait qu'une porte blindé à l'intérieur, elle devait faire au moins 80 cm d'épaisseur. L'intérieur n'était pas non plus très chaleureux, il y avait un simple couloir avec une pente, tout les 500 mètres il semblait y avoir une porte aussi épaisse que celle qu'ils venaient de passer, le couloir était éclairé mais on ne pouvait voir le bout tellement il était long. Notre héroïne et tout les autres adolescents suivirent les quelques militaires qui les accompagnaient, ils marchèrent pendant au moins 5 minutes dans ce tunnel qui s'enfonçait en plein cœur de la montagne et le seul son qu'ils pouvaient entendre était celui de leurs pas qui résonnaient jusqu'au fin fond de ce tunnel. Ils étaient maintenant au bout et il y avait un grand escalier qui descendait tellement profond que vous ne pourriez pas l'imaginer. A chaque étage il y avait marqué niveau 20, niveau 19, plus ils descendaient plus le nombre devenait petit. Après avoir descendus une dizaine d'étage il s'arrêtèrent enfin, ils étaient au niveau 9. En face de tout ces adolescents se trouvait des sortes d'uniformes, chaque personne avait le droit d'en prendre 2, il y avait des uniformes pour femme et d'autres pour homme avec trois tailles différentes pour chaque genre. Puis ils demandèrent aux adolescents de se mettre en ligne face à la porte de gauche, un à un ils donnèrent un numéro à chaque personne, du fil et une aiguille qui servirait à coudre les numéros sur les vêtements. Après avoir reçut son numéro et avoir donné son nom, le militaire laissa passé notre héroïne, elle traversa un couloir cette fois ci pas très long, derrière une salle immense avec de très grande table et un grand nombre d'armoire. Notre héroïne traversa la salle puis une porte, de l'autre côté une autre grande salle avec un grand nombre de lits superposés sur lesquels étaient notés des numéros, elle trouva rapidement le sien, il était en haut. Après un long moment tout le monde étaient entrés dans la salle et les militaires faire visiter le bunker enfin leur niveau, il y avait des sanitaires pour femme et pour homme mais dedans c'était des douches communes. Puis ils prirent un premier repas sous la terre, ils commencèrent tous à échanger leurs prénom et à ce trouver des affinités. Plus tard quand ils furent tous dans leur lits, les militaires éteignirent les lumières et notre héroïne s'endormit, juste après elle eu la médiocre surprise de se réveiller dans son lit, de retrouver sa vie dans lequel le virus n'est pas encore incontrôlable.
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Ne pensez-vous pas que cela aurai pu nous arriver ?
Après tout nous aussi nous venons de connaître un virus...
Dans tous les cas c'est la fin de la troisième aventure de notre héroïne, cette fois dans un monde apocalyptique.
N'hésiter pas à commenter, j'espère (comme à chaque fois) que ça vous a plu et à bientôt les Ward.
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Une vie parallèle
Ficción GeneralNotre héroïne apparaît chaque nuit dans un monde parallèle, là bas elle y vit une autre vie. Une vie plus palpitante, impressionnante, dangereuse et parfois étrange ou horrifique. Aujourd'hui cela fait déjà plusieurs mois que cela dure. Pourrait-on...