Ma vie pour toi ~Ayato x Oc~ Tokyo Ghoul [EN PAUSE]

Odorat

Auteur: Anneyong ! Je suis de retour !
Ayato: Oh noooon.
Livai: Bonsouér.
Auteur: Oula Livai, t'as bu quoi ?😂
Livai: Rien. J'avais juste envie de pourrir ton intro.
Ayato: Pfff... il est con 😂
Auteur: C'est pas moi qui l'ai dit 😂
Bon Sinon, prêts pour la suite ?
Ayato: Ai-je le choix ?
Livai: Absolument pas. Mais sinon, prêts.
Ayato: T'as intérêt à assurer après le chapitre que tu nous a fait avant.
Livai: J'avoue. Il était stylé.
Auteur: Eh eh~ La prochaine fois, je les emmène dans une fête foraine.
Ayato: Sérieux ?!
Livai: Nice.
Ayato: J'y suis jamais allé...✩^✩
Auteur: Et bah voila ! Bon aller, c'est parti.

~~~~~~~~~~~~~~~🎢~~~~~~~~~~~~~~~

BIIIP BIIIP BIIIP !

Ayato: NIQUE SA MÈRE LE RÉVEIL !!!

J'explosais de rire face à Ayato qui venait de balancer le réveil contre le mur. Ses cheveux étaient complètement emmêlés.

Moi: Pauvre réveil 😂 Miranda va te demander de le repayer 😂

Ayato: M'en fou. Je suis pas d'humeur.

Je riait encore. On oublie facilement qu'il n'a que 15 ans et que c'est encore un ado en fait.

Moi: Aller, fait pas la tête. C'est mercredi, on a qu'une demi journée aujourd'hui.

Ayato: Grmll...

Décidément. Une idée me vint en tête 😏

Moi: Ayato~ ?

Il se tourna vers moi, haussant un sourcil.

Moi: ATTAQUE DE CHATOUILLES !!!

Je lui sautait dessus pour lui pincer les côtes. Il ria.

Ayato: Ah ah ah ! Lu-Luna ! Ah Arrête ça !

Moi: Jamais !

Il se débattait tandis que je riait avec lui.

Ayato: Bon ça suffit ! Tu vas morfler !

Il inversa nos positions pour me chatouiller.

Moi: AAAAAH ! Non ! Ayato stop ! Ah ah ah ah ah !

Notre bataille dura encore plusieurs minutes. Au bout d'un moment, je criai, à bout de souffle.

Moi: Ayato ! Stop, c'est bon, je me rend ! Maintenant arrête, pi- ah ah ah ! Pitié !

Ayato: Que j'arrête ? Supplie ton maître pour ça~

Il esquissa un sourire en coin, tandis qu'il se maintenait au dessus de moi.

Moi Nani ? Certainement pas ! En plus, c'est vraiment bizarre comme phrase...

Il leva un sourcil, toujours souriant, et leva les mains pour recommencer à me chatouiller.

Moi: NON ! C'est- c'est bon, j'ai compris... je... je t'en supplie... maître.

Un air victorieux s'afficha sur son visage. J'en profitait pour m'échapper en lui balançant mon oreiller au visage.

Moi: Sale pervers !

Je m'enfuyait vers la porte. Il me regarda partir avec un air de prédateur. Je frissonais.

Moi: Arrête ça ! Et habille toi, on va être en retard.... Café ?

Ayato: Yup !

Je partais donc dans la cuisine pour faire deux cafés. Une fois fait, Ayato arriva, déjà prêt.