Nos différences nous unissent

Chapitre 1 : Une attaque mystérieuse

C'est toujours au moment où l'astre solaire, essentiel à la survie de chaque espèces vivantes sur Terre, est au Zénith, que la devanture de l'établissement qui fait prospérer la paix et la tranquillité à Musutafu brille le plus. Ce bâtiment prestigieux qui fait rêver petits et grands, qui apporte sécurité et sûreté aux habitants, n'est rien de plus qu'un commissariat.

C'est donc dans cette architecture de renommée, durant ce mardi de novembre ensoleillé, que travaille l'agent de police Katsuki Bakugo. Sa réputation n'était plus à refaire, il était aussi talentueux qu'il était colérique. À 21 ans à peine, le jeune blond était d'une efficacité remarquable, et non négligeable pour le chef de la police Toshinori Yagi, et le sous chef Shota Aizawa.

Le cendré est un élément très important, un élément dont on ne peut pas se passer.

Mais tout ça, Katsuki ne le doit qu'à lui même. Il ne le doit qu'aux efforts qu'il a fournit durant tant d'années. À la flamme de rage qui brûle en lui depuis qu'il a 8 ans. Cette soif de vengeance qui l'anime depuis que ses parents, des policiers appréciés, ont été mis à morts par un groupe de dealers connu du Japon, et qui malheureusement, est aujourd'hui encore en cavale à ce jour.

Mitsuki et Masaru Bakugo. Ils étaient parvenus à leur mettre la main dessus. Mais dans la vie, tout ne se passe pas toujours comme prévu. Et cette fois, ce ne sont pas les gentils qui ont triomphé du mal...

Il se rappelle, et se rappellera toujours, de ce jour, où la nouvelle a percuté son cerveau. Cette sensation nouvelle de se sentir lourd de regrets, et qu'il n'aurait jamais voulu connaître. Ce moment, cet instant, où son esprit avait arrêté de fonctionner, où ses yeux avaient regardé dans le vide, parce que sa mémoire, se remémorait déjà tous les moments qu'il ne pourrait plus jamais revivre. Parce qu'il avait compris, petit à petit, qu'il ne pourrait plus jamais s'engueuler pour un rien avec sa mère, qu'il ne pourrait plus jamais sentir son poing s'abattre sur son crâne. Qu'il ne pourrait plus faire d'activités extérieurs entre père et fils.

Parce que ces parents, ne seraient juste, plus là.

Et c'est ce souvenir, qui pèse sur lui.

Il était déterminé à se venger. C'était le carburant principal de sa force mentale.

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Tenya : Bien ! Nous allons nous installer ici avant d'entrer dans la forêt de Kaidan !

Ochacco : OK ! Bah les amis, préparons la nappe !

Et c'est après cette phrase dite avec joie que la fine équipe de jeunes adultes sortie toutes les choses dont ils avaient besoin.

Denki : Et voilààà ! Fit le technicien d'usine électrique, les mains sur les hanches, fier de lui. Bon, j'ai la dalle, on mange ?

Hanta : J'suis d'accord !

Une fois l'approbation de Hanta dite, tous s'installèrent en cercle sur la nappe à carreaux rouges et blancs, autour de la nourriture rassemblée en son centre.

Kyoka : Alors, quoi d'nouveau dans vos boulots ? Dit-elle en croquant dans un onigiri.

Tenya : Eh bien, pour ma part, commence le scientifique en replaçant ses lunettes avec son majeur, avec mon équipe, nous faisons beaucoup de tests sanguins sur des patients afin de savoir s'ils sont atteints de carences en vitamines, ou en protéines, ou en fer, et cetera*... C'est passionnant !

Ochacco : Wow ! Eh bien j'en doute pas ! Rit-elle. Personnellement, au café, on a une nouvelle recrue, et c'est moi qui dois m'en occuper !