Douce pluie ( MHA X OC ) TOME 1

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- Soit. En gardes Jiro. Je vais te montrer ma détermination.

Je me place en garde. Il ne faut pas qu'il me touche. Ma motivation pour retrouver Katsuki est trop grande, ça fait presque peur. L'alliance s'est réuni entièrement pour voir notre combat.

Il se lance vers moi mais sachant qu'il va apparaître dans mon dos je me retourne et place une barrière d'eau l'empêchant de me frôler.

- Joli mais pas assez ma chère.

Il est tellement rapide que j'ai du mal à voir où il se trouve.

- Arrêtes toi !

Je forme des petites billes obscurs et les lancent dans tous les sens.

Il les évite de peu mais en encaisse une ou deux quand même.
Les explosions le ramènent à la réalité l'envoyant valser. Mais j'ai à peine le temps de souffler qu'il se tient devant moi.

Je n'ai jamais eu à combattre quelqu'un d'aussi puissant hormis mon père...

- Trop lente. Pas de sortie pour aujourd'hui.

Il a le toupet de toucher le bout de mon nez et je ne peux plus bouger.

- Aller princesse. Tu y tiens vraiment au blond ? Se moque Dabi dans mon dos.

- LA FERME !

Je serre les dents et la puissance commence à couler dans les veines.

- JE SUIS REINE ! PERSONNE NE M'INTERDIS QUOI QUE CE SOIT !

Je bouge un pieds puis deux.

- Tu n'arriveras pas à te défaire totalement de mon emprise.

Me sous-estimer est la pire insulte que l'on puisse me faire. C'est la phrase de trop.

Je rage et soudain les pieds décollent du sol et je lance une lame de vent et d'eau sur Jiro qui surpris de ça se prends mon attaque sans la parer.

- Ne me sous estime JAMAIS !

Je cours dans le vide vers lui et place la lame sous sa gorge et je suis de nouveau immobilisée avec une puissance qui s'estompe de mon corps.

- Macht nul. Bien joué.

Je souris comprenant que ma sortie n'est pas annulé. Je vais LE revoir ! Mais à ce moment là, ce que je ne savais pas c'est que tous les héros me recherchaient et qu'en le laissant une quatrième fois, je l'avais plus que blessé et qu'il ne voulait plus me revoir....

- Jiro accompagne moi le rencontrer. C'est le Week end en plus, il doit être chez sa mère normalement.

- Tu sais très bien que je ne suis pas pour mais apparemment j'aurais beau te le dire, tu n'écouteras pas ?

- Tu as bien compris la situation. En route. Si jamais des héros se mettent en travers de notre chemins écrasons les.

Il souffle mais me suit. J'ouvre un portail et visualise la petite maison des Bakugo. Il n'en faut moins de temps pour le dire que nous sommes déjà rendus devant la porte.

- Tu ne comptes quand même pas toquer l'air de rien ?

- Non, je ne suis pas bête. Je ne veux pas impliquer sa mère dans cette histoire. C'est une femme qui aime trop son fils. J'en été presque jalouse.

Il sourit mais scrute les alentours comme si quelque chose pouvait bondir d'un buisson pour nous attaquer.

On s'envole jusqu'à la fenêtre que je prends pour celle de sa chambre et y pénètre en cassant la vitre sans bruit.