Tom Jedusor x reader (Finit)

Vacances et liberté

Quelques scènes seront changées bien évidemment. Dans ce one shot, vous avez tout deux 13 ans.
Je vous souhaite une bonne lecture et n'hésitez pas à me proposer des idées pour les prochains one shot

746 mots

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En ses vacances de Noël, Tom est retourné à son orphelinat et toi, chez tes parents. Comme souvent, le jeune garçon est dans sa chambre, entrain de lire sur son lit.
Mais pour ces vacances, tu as décidé de lui faire une surprise en lui rendant visite.
Tes parents ont discutaient avec la directrice de l'orphelinat et tu peux y rester pour les vacances de Noël.
Tu lui as fait un cadeau, qui est un livre qu'il voulait depuis un moment.
Tu es en ce moment même, entrain de faire ton sac et de t'assurer que tu n'oublies pas le cadeau.

Quelques jours plus tôt

"Tu es sûre que c'est bien lui ?"

- Oui. Je l'ai noté et décris la couverture sur une feuille.

Dis-tu en lisant une énième fois ta fiche pour être sûre à 100 % que c'est bien lui.

- Tu sembles vouloir lui faire plaisir à ce garçon.

- C'est mon meilleur ami. Bien sûr que je veux lui faire plaisir.

Retour au présent

"Tu as bientôt finit chéri ?"

Demande gentiment ta mère dans l'encadrement de la porte.
Tu places ton sac sur tes épaules et prend le cadeau.

"Oui. On peut partir."

Dis-tu en souriant gaiement. Vous montez dans la voiture est commencez à rouler.
Vous habitez à trente minutes de l'orphelinat en voiture mais eu bout de dix minutes tu demandes.

- Maman ?

- Oui ?

Demande-t-elle en jetant un coup d'oeil vite fait dans le rétroviseur intérieur.

- C'est quand qu'on arrive ?

- Dans environ vingt minutes chérie.

Tu réponds par un hochement de tête.
Enfin arrivés au bâtiment, ta mère t'emmène à la dame qui gère l'orphelinat et celle-ci t'accompagne jusqu'à la chambre de Tom.

"Tom ? Tu as de la visite."

Dit-elle doucement. Il tourne la tête et son visage s'illumine. Il se lève rapidement et court vers toi pour t'emmener dans un câlin d'ours.
Après tout, deux jours sans te voir, c'est long pour lui.

- Ça fait longtemps.

Lâche-t-il, la voix étouffée par la peau de ton cou.

- Ça fait seulement deux jours Tom.

Rétorques-tu en ricanant.
Il se détache et te regarde dans les yeux.

- C'est long quarante-huit heures sans toi.

Ta mère te dit au revoir et se fait raccompagner par le gérante de l'orphelinat.

Jour de son anniversaire

C'est le jour J. Le 31 décembre. Tom et toi êtes dans sa chambre, regardant la pluie par la fenêtre.
Tu te lèves, ce qui attire son attention.

- Qu'est-ce que tu fais ?

Questionne-t-il en te suivant du regard.
Tu reviens vers ton meilleur ami et lui tend le paquet.

- Tient.

Dis-tu en lui tendant le cadeau.

- C'est pour moi ?

- Il y en a combien de Tom Elvis Jedusor dans cet orphelinat ?

Demandes-tu en riant.
Il souffle du nez en souriant et déballe le paquet.

- C'est celui que je voulais.

Dit-il en te souriant sincèrement. Tu es sûrement la seule personne sur cette Terre qui a le droit de recevoir ses sourires.

- C'est pour ça que je l'ai prit.

- Merci.

Chuchote-t-il en te faisant un câlin.

- Je suis tellement heureux de t'avoir rencontré. Sache que tu es ma seule famille.

- Moi aussi je suis heureuse de t'avoir rencontré Tommy.

- Tu es bien la seule à m'appeler comme ça.

Dit-il en collant vos nez.

- Je suis bien la seule à pouvoir t'appeler comme ça.

Réponds-tu en riant. Et vous restez comme ça pendant une minute, deux minutes, jusqu'à une vingtaine, sans vous lasser des yeux de l'autre.

- J'aime tes yeux.

Chuchotes-tu en le serrant un peu plus.

- Ton nez est tout doux.

Dit-il en faisant un bisou esquimau.
Et pile au moment où madame Marie (on va l'appeler comme ça car gérante c'est trop répétitif) entre de la chambre, Tom t'embrasse.

- Excusez moi !

Dit-elle précipitamment en fermant la porte.

- On peut plus avoir de l'intimité ici.

Lâche-t-il après un petit moment. Il reporte son attention sur toi.

"Je t'aime."

Chuchote-t-il en t'embrassant à nouveau.

Quelques années plus tard

- Liberté !

Crit le brun en sortant de l'orphelinat.
Tu souris et lui tient la main.

- À nous le monde.

Dis-tu en l'embrassant à pleine bouche.
Vous marchez vers ta voiture et partez pour diriger le monde.