Bad Larry.

1. Louis. (partie 1)

-- > Louis est plus grand que Harry dans cette fiction, il a des tatouages qu'il n'a pas dans la vrai vie (ils seront expliqué dans de futur chapitre), il a aussi plusieurs piercing ( Langue - viperbits - tétons - gland [ Si vous ne voyez pas à quoi ça ressemble je vous enverrai des liens d'image]) il est évident que c'est légèrement compliqué à se faire une image de Louis comme ça mais au fur et à mesure des chapitres on s'y habitue. Certains détails du roman ne seront pas réécrient, simplement car je ne leurs trouve pas une réadaptation correct. Les lemons seront mis en évidence, ils sont assez explicite alors je ne vous oblige pas à lire, seulement ça compte légèrement pour la compréhension du texte. J'ai rarement vu un Larry dans ce style alors soit ça plaît, soit ça ne plait pas. J'accepte tout commentaires, qu'ils soit négatif ou positif, les méchanstés ça par contre je m'en passe volontiers. Je réécris ce roman car je l'aime bien, il m'a bien aidé pour construire un personnage de rpg; et je le voyais bien en Larry mais pas en Harry mystérieux, pour une fois changer en gros. Le personnage en point de vue est écris dans le titre, dans ce premier chapitre; ainsi que le prochain c'est Louis, après Harry et puis à nouveau Louis (j'espère que j'ai bien expliqué... ) Je vous souhaite une bonne lecture et on se voit au prochain chapitre !

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J'avais mal à la tête. Une nuit de sommeil merdique et, soudain toutes les choses que je trouvais légèrement irritantes d'habitude devenaient exaspérantes. J'étais hyper-sensible, mes réactions étaient disproportionnées, bref, j'avais le caractère de tout les artistes. Entre les hordes d'étudiants de première année qui étaient passées au salon récemment et la fille naïve assise en se moment dans mon fauteuil' je n'en pouvais plus. Une fois que j'aurais terminé de lui tatouer sa licorne, j'en aurai fini avec mes rendez-vous et je devrais patienter encore une heure avant la fermeture. J'avais hâte de quitter Inked Armor pour aller boire une bière et oublier cette journée. En attendant, je pouvais encore me retrouver coincé avec un énième étudiant rêvant d'avoir un personnage de dessin animé tatoué sur le bras. Parfois, je me demandais si ces gamins comprenaient bien que c'était permanent.

Je me massai les tempes pour faire disparaître les élancements sourds que je ressentais depuis mon réveil. Si je parvenais à me concentrer, j'aurai terminé le dessin dans dix minutes. Mais j'avais beaucoup de mal à remporter cette bataille.
La nuit dernière, j'avais fais un rêve de dingue dans lequel apparaissait un gars à qui je n'avais jamais parlé. Je n'arrivais pas à me sortir ces images de la tête. Ni ce gars, d'ailleurs. C'était la partie qui m'ennuyait le plus. Son apparition dans mon subconscient et la façon dont je m'étais débrouillé pour l'introduire dans le foutoir de mon cauchemar ne me convenait pas. J'avais l'habitude de faire des cauchemars; c'était toujours les mêmes erreurs passées que je ne pouvais pas réparer. Le gars, en revanche, c'était nouveau. Il était la dernière recru de ma mère à la brocante-café Serendipity, qui se trouvait juste en face du salon. Je l'avais aperçu très souvent de loin ces dernières semaines. Mais les traits de son visage restaient un mystère, car il était caché derrière sa crinière brune. Il avait un cul magnifique. Malheureusement, chaque fois que je passais a la boutique pour l'examiner de plus près, il disparaissait. On aurait dit un chaton effrayé.
La fille dans mon fauteuil était relativement silencieuse depuis que j'avais commencé à colorer son tatouage, ce qui me convenait très bien. Je n'étais pas d'humeur à bavarder. Je préférais me concentrer sur le bourdonnement des dermographes. Leur bruit ne m'agaçait jamais. Il m'apaisait, comme de la bonne musique.
C'était les trucs superflus qui m'irritaient : le bavardage inepte des adolescents, une chaussures qui tapait nerveusement sur le bois ancien et le blabla bruyant du présentateur des informations rapportant les événements tragiques de la journée sur l'écran plat du salon. Sa voix nasillarde me tapait sur les nerfs. Et pourtant, trop heureux d'entendre que la vie de certaines personne craignait plus que la mienne, je ne pouvais pas m'empêcher de l'écouter.