Chapitre 9

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Quelque jours son passer que l'enfant druide nous a rendu visite, je me rend compte que j'aime beaucoup les enfants que j'aimerais bien en avoir, mais avec Arthur on ne le pourra jamais, je me suis beaucoup inquiéter pour lui plus que, je ne l'aurais du, certes, c'est aussi un sorcier de naissance, mais j'aurais du juste m'inquiéter pour lui, comme je me suis inquiéter pour Lancelot a l'époque, seulement ça à étais beaucoup plus fort un peu comme si c'était mon propre enfant et ça je trouve bizarre.

Aujourd'hui, c'est le sacrement d'Arthur, pour qui soit prince héritier. Uther commence son texte :

-Jure tu solennellement, de gouverner le peuple de se royaume et de ces territoire dans le respect des code, des coutume et des loi établie par t'es ancêtre ?

-Je le jure sire.

-Promet tu de faire preuve de compassion et de justice dans t'es acte et dans t'es jugements.

-Je le promet sire.

-Et fait-tu serment d'allégeance à Camelote, maintenant et jusqu'à ton dernier souffle? "Uther lui tend un bâton en or".

-Moi, Arthur Pendragon, je m'engage a me consacré corps et âme à votre service, et à la protection du royaume et à ses habitant. "En prenant le bâton d'or".

Uther prend une couronne d'un coussin derrière lui et la met sur la tète d'Arthur en récitant :

-A présent, comme tu es devenus un homme et que tu es mon héritier, à partir de se jour, tu sera prince héritier de Camelote.

A la fin de cette phrase, tout le monde applaudit dans la salle.

-Cela te fait quel effet d'être le valet du prince héritier de Camelote ? "Demanda Gwenevière tout sourire avant de rajouter à voix basse." Et surtout son amant cacher.

-Je me sentirais encore plus privilégier en lavant ses chaussettes.

Je rit à ma propre blague avec Gwen.

-Tu es fier de lui, même si tu n'arrête pas de te plaindre.

-Je ne me plain pas.

-Oh si je le voit sur ton visage.

-Ses chaussette son très propre bien sur que j'en suis fier.

Elle rigole mais oui, je suis très fier de lui, mais je suis aussi frustré de ne pas être à ses coter à se moment là. Puis sans que personne ne le sent venir, un chevalier noir avec un destrier de la même couleur, brise la fenêtre en passant au travers. Tout les chevaliers, en plus du roi et d'Arthur, sortit leurs épées près au combat. Le chevalier pas du tout impressionné s'avança vers eux, puis s'arrête à 2 pat des défenses pour jeter un gantelet, un des chevalier le récupère quant Arthur range son épée et dit :

-Moi, chevalier Owen, je relève votre défi.

Il tourne sa tète vers lui et dit :

-Combat singulier, demain à midi, combat à mort.

Puis il s'en va, je pu un peu mieux observer ses armoirie, mais ils ne me dise rien. Tout les chevalier quant il disparus rengaine leur épée. Le roi nous dit à tousse de sortir de la pièce et de retourner à nos appartement.

On partit tousse, de nos coter, je préviens Arthur que je viendrai plus tard que j'ai besoin de poser des question à Gaius, il hoche la tète et me laisse y allais en me caressant la main discrètement, je lui sourie et m'en vais vers les appartement de Gaius ou il étais déjà entrain de faire des potions, je commence à demander :

-Ce chevalier noir, vous l'avez déjà vus ?

-Je ne pense pas.

D'accord, il est bizarre.

le bon sorcierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant