🚬 •15• 🥀

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Précédemment:

Elle me sourit et partit vers le salon où il devait y avoir pleins de bonne nourriture ! J'en bave !

Je me leva aussi et passa rapidement au toilette avant de rejoindre les autres qui mangeaient des hamburgers en discutions de tous et de rien.

Je m'assis par terre à côté de Yeonjun et le vis me tendre une cannette de Sprite. La vue de mon hamburger avec cette boisson à côté me fit penser à lui, me faisant me figer sur place.

Hoseok...

Suite >

( ce chapitre ne sera constitué que de flashback des souvenirs qu'à Yon avec HoSeok. La musique est indispensable)

𝐉𝐮𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟏𝟕:

Assise sur un des canapés de la salle de repos, je fixais le vide en ressassant les événements récents.

La seule fois où je leva la tête était pour regarder l'heure et je compris que ça n'aller pas tarder à être mon tour. Cela faisait une semaine que je subissais les traitements barbares de ces hommes en blouse blanche sans avoir mon mot à dire.

J'avais perdu ma force mentale si rapidement que ça en devenait effrayant. Je regarda à nouveau l'heure et constata avec angoisse que dans une minute, le cauchemar recommençait.

Je ferma les yeux essayant de me calmer mais l'entente des cris des autres patients ne faisait qu'empirer mon cas. D'un coup je sentis des mains m'agrippaient les bras et le scénario qui se déroulaient depuis déjà sept jours recommença.

On me traîna jusque une chambre où on m'attacha à une chaise. Un homme arriva vers moi, lunette sur le nez, une seringue à la main.

L'homme: Comment allez-vous mademoiselle Lee ?

Devant son spectacle d'hypocrisie je ne pue que lui lancer mon regard le plus noir.

L'homme: Toujours pas décider à me répondre ?
Très bien.

Il appela deux autres hommes qui me tenir brusquement la tête pendant que l'autre s'approchait de moi.

L'homme: À la vôtre mademoiselle Lee.

Septembre 2017:

Je marchais dans les couloirs sans aucun but en pensant au tournant qu'avait pris ma vie. Trois mois. Cela faisait trois mois que j'étais là et m'étais même habituée au cris nocturne et au tâche de sang sur mes habits.

Devrais-je en finir ? La seule chose qui me garder en vis avais disparu emportant mon humanité au passage. J'avoue que ça m'arrivait de rire en voyant les regards perdu des autres patient, me réjouissant de ne pas être la seul à souffrir.

Finalement je n'étais pas ici pour rien.

Je continuais de marcher et arriva comme à mon habitude sur le toit de l'hôpital. J'y rentra et m'assis sur le bord du bâtiment.

Je sentais l'air frais du matin me donner un peu de réconfort bercer par le chant des oiseaux. Je vida mon esprit et me laissa un peu aller.

-Live by love- m.yg Où les histoires vivent. Découvrez maintenant