Chapitre 40

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Même soirée...

{pdv Tom}

J'étais enfin revenu à la maison! Étrangement, Elisabeth était assis la tête baisser la main sur son ventre le visage triste.
Quand elle me vit, elle change son expression pour de la joie et elle était joyeuse comme à son habitude.

- tu as passé une belle journée, mon amour? Dit-elle, calmement tout en me souriant.

- plutôt bien, sûrement mieux que toi tu semble triste. Dis-je calmement en lui embrassant le front.

Elle se lève rapidement et n'ose même pas me regarder.

- je vais très bien je suis juste épuisée! Dit-elle rapidement avec un léger ton de froideur dans sa phrase.

Je me place derrière elle tout en lui prenant les épaules. Je sens qu'elle est tendu, mais elle ne veut rien me dire! Je lui dégage une mèche de cheveux châtains derrières son épaule gauche pour pouvoir lui embrasser le coup.

J'enlève mon veston gris et je desserre ma cravate, puis je vais m'asseoir dans le salon! Elisabeth me suit et s'assoit devant moi.

- je t'annonce que nous allons avoir une fille et j'aimerais bien qu'on commence à trouver un nom. Dit-elle calmement tout en me souriant.

Je lève la tête pour la regarder! Dommage que ce ne soit pas un garçon, mais une fille ça me convient amplement.

- tu en pense quoi de Anne? Dis-je en essayant de commencer à trouver des noms.

- non, je n'aime pas vraiment ce nom! Pourquoi pas Keiko? Dit-elle calmement en me souriant.

Je réfléchis un moment et je fais signe de «non» de la tête.

- Keiko Jedusor... je suis pas sûr que ça marche ensemble! Tu en pense quoi de Mia? J'aime bien ce nom. Dis-je avec un sourire.

- Ellora? Dit-elle en haussant les épaules.

- Ellora Mia Jedusor! Tu en pense quoi? Dis-je calmement.

Elle me sourit et hoche la tête doucement. Je lui sourit en retour et me met à rire légèrement.

Je me lève, va devant elle et je me met à la hauteur de son ventre.

- Bonjour, Ellora papa t'aime beaucoup... par contre tu donne beaucoup de fil à retordre à ta maman. Dis-je calmement en prenant une voix douce.

Elisabeth commence à rire légèrement en mettant une main découragée sur son front.

- t'es ridicule! Dit-elle, en riant.

Je me relève, l'embrasse et lui sourit.

- je ne suis pas ridicule je parle à ma fille! Dis-je avec un sourire chaleureux.

Et si... {terminé}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant