Chapitre 3

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Chapitre 3

Je me réveilla le lendemain matin vers 10h30. Puisque c'était Noël, j’allai me préparé quand le téléphone sonna. Puisque j'avais un téléphone dans ma chambre, je tendis le bras pour le prendre.C'était ma meilleure amie. Elle a presque tout découvert sur mon bras que j'ai couper à plusieurs reprises hier. Je me leva de mon lit et alla prendre une bonne douche chaude pour bien me réveiller. Je retourna dans ma chambre, entourée d'une serviette, pris mon mascara et mon fond de teint puis retourna à la salle de bain pour me maquiller. Une fois cela fait, je repris mon pyjama et le mit, question d'être habiller le temps que je prennes mon déjeuner pour continuer d'aller me préparé par la suite.Je descendis donc dans la cuisine. Celle-ci est assez grande et est peinturer en blanc. Ma mère a toujours dit que c'était pour que la pièce soit bien éclairer. Bref, avant que je n'ai le temps de me rendre au garde-manger pour aller prendre quelque chose, je vis ma mère déposer une assiette bien remplie devant ma chaise habituelle. Je la regarda pendant qu'elle me faisait signe de venir m'asseoir pour manger. Je l'écouta et alla m'asseoir devant cette assiette remplie d'oeuf brouillé, de petites patates à déjeuner et de bacon sans oublier les deux tranches de pain. Je déjeuna, puis ma mère me demanda si elle pouvait me parler. Je la laissa me parler pendant qu'elle m'expliquait pourquoi elle m'avait autant engueuler hier. Je lui dis que ce j'avais sur le cœur à propos de la mort de Tommy et elle me dit que c'était normale. Je ne comprenais pas avec la crise qu'elle m'avait donné la veille, mais je la laissa me consoler tout de même. Après ça je fila dans ma chambre m'attacher les cheveux. J'ai opter, pour mes cheveux, de faire un chignon tout simple en laissant tout de même deux petites mèches de cheveux sortir à l'avant. Je pris, dans mon garde-robe, une robe mauve un peu plus fille. C'est à dire que celle-ci est complètement mauve avec de petites bretelles et une bande toute noir accompagnée d'une petite fleur noir sur celle-ci.Je pris soins de cacher mes cicatrices sur mon bras avec mon fond de teint. Puisque je restes dans ma maison, je n'ai pas mit de chaussure. J'ai ajoutée des longues boucles d'oreilles qui sont des «tiges» argentées. Voilà. Je descendis accueillir les invités avec ma famille puis nous passâmes une bonne soirée. Une fois terminé, j'alla me démaquiller directement et parla un peu au téléphone avec ma meilleure amie. Comme que je venais d'enfiler mon pyjama, on sonna à la porte. Ma mère alla répondre et, quelques instants plus tard, cogna à ma porte en me disant à travers celle-ci qu'Audrey-Anne était ici et voulait me voir. J'alla lui ouvrir, puis nous allâmes s’asseoir sur mon lit à moitier défait puisque j'allais me coucher. Alors que je lui parlais de tout et de rien, ma meilleure amie me dit tout d'un coup de lui dire la vérité. Je la regarda, ne comprenant pas. Elle pris mon bras mutilé cacher par le fond de teint, pris une lingette humide sur ma table de chevet et le passa sur mon bras, enlevant tout le maquillage que j'avais pour cacher les cicatrices. Je lui cria de me lâcher immédiatement, celle-ci me lâcha en me disant qu'elle était venu ici puisque, quand elle avait appeler ce matin, elle s'était douter que je m'étais mutiler le bras. Alors je lui raconta comment c'était arrivé. Elle me pris dans ses bras alors que j'éclatais en larmes en regardant la photo de Tommy, toujours sur ma table de chevet.

Ma meilleure amie m'aida à mettre mon bandage pour la nuit et me demanda de ne plus recommencer, ce à quoi je répliqua que je n'y arriverais pas. Non. Jamais je ne pourrais arrêter. Elle me demanda pourquoi et je décida de tout lui dire. Je lui dit que, à chaque soirs, je pleurais encore Tommy en serrant la peluche qu'il m'a donné contre mon cœur, en regardant sa photo. J'ajouta que je sentais mon cœur se briser en mille morceau chaque fois. Quand je repensais à nos moments heureux, j'avais encore les papillons dans le ventre, les yeux qui brillaient, les frissons et tout. Je me vida le cœur complètement, je me foutais tellement de ce que j'avais l'air en ce moment. Putain, une seconde fois, on cogna à la porte. Je me leva pour aller ouvrir, toujours les yeux aussi rouge par les larmes et toujours en pyjama. Je figea sur place lorsque la porte fut ouverte. Que faisait-elle ici? Pourquoi était-elle ici? Pour me dire que tout était de ma faute? Putain! J'aurais juste voulu qu'elle parte! La mère de Tommy. Pourquoi elle? Pourquoi? Putain! Elle me tandis une enveloppe , les larmes aux yeux, et me dit de l'ouvrir seulement quand je serais seule. Je lui demanda ce que c'était. Je vis son regard se diriger vers mon ourson et la photo de Tommy sur ma table de chevet. Audrey-Anne était toujours assise sur mon lit, nous regardant, inquiète. Je pris l'enveloppe que me tentait Sonia, la mère de Tommy. Comme il lui ressemblait. Il avait les même yeux, la même couleur de cheveux, la même peau. Celle-ci essuya une larme qui roulait sur ses joues en me disant qu'elle devait partir pour aller au cimetière, vue la date que nous étions. Je m'approcha de mon calendrier, accrocher sur mon seule mur rouge et regarda la date. Non, 3 mois.. 3 mois que Tommy était mort.. Je regarda Sonia, qui était toujours dans l'entrée de ma porte. Sans savoir ce que je faisais, je couru jusqu'à elle en éclatant en larme. Celle-ci m'entoura de ses bras, pleurant à son tour. Nous restâmes ainsi durant plusieurs minutes, puis, elle me proposa de l'accompagner au cimetière. Je posa mon regard sur Audrey-Anne, espérant un signe de sa part. Ma meilleure amie ne me fit aucun signe, donc, je laissa mon regard divagué sur la photo de Tommy. J'irais. Je couru à mon garde-robe, pris des vêtements au hasard, ne réalisant pas que c'était ma tenue d'il y a 3 mois.. Oui, c'était mon pull d'un rose pâle avec mes jeans. Je pris mes bottes noir sur le sol et fila rejoindre la mère de Tommy, dehors. Celle-ci posa son regard sur ma tenu. Je fis de même, puis, je fut prise d'un choc, réalisant ce que j'avais mit. Putain.. Je posa mon regard sur Sonia. Celle-ci me fit signe de monter. Une fois cela fait, je regarda l'enveloppe dans mes mains. Attendez.. C'est l'écriture de Tommy! C'est impossible.. Une fois arrivé au cimetière, je me dirigea au pas de course vers la tombe de Tommy. Sonia m'y rejoignit alors que je tombais à genou, sans pouvoir retenir mes hoquets. Une fois calmer, Sonia alla me reconduire chez moi. Ma mère me parla un peu, voulant s'assurer que j'étais correcte puis alla se coucher. Je monta à la salle de bain, pris une douche et alla enfiler mon pyjama. Une fois arrivé dans ma chambre, il était déjà 23h00. Je pris l'enveloppe dans mes mains, l'ouvrit puis commença à lire.

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