Donc j'en suis la, assise dans une pièce entière blanche avec ce qui a l'air d'être un miroir sans tain en face de moi, alors comme une personne tout a fait mature, dans un acte tout a fait réfléchis, j'ai fait un doigt aux mecs qui me m'observaient probablement derrière cette vitre, ce qui par miracle les a fait réagir, en effet juste après une voix retentit dans la salle "LES GESTES OBSÈNES NE SONT PAS AUTORISÉS DANS CET ÉTABLISSEMENT. VEUILLEZ NE PLUS RECOMMENCER." la voix était saturée au possible et était accompagnée d'un bruit strident qui m'arrachait les tympans. Donc moi toujours aussi mature j'ai répondu avec un magnifique bras d'honneur, la voix dans les haut-parleurs répondis tout simplement "DERNIER AVERTISSEMENT NE RECOMMENCEZ PLUS !". C'est donc la que j'ai sortis avec la plus grande des délicatesse "De un, vous allez arrêter de me gueuler dessus parce que j'ai rien fait, et de deux, je fais ce que je veux connard !" suivi de mon plus beau majeur. Visiblement ça leurs a pas beaucoup plu, puisque deux mecs immenses sont rentrés dans la chambre la minute d'après. Ils m'ont attrapé par les bras et c'est a ce moment là que j'ai remarqué que l'un des deux avait une seringue. J'ai paniqué, je me suis débattue de toute mes forces. Et la je ne saurais expliquer comment mais quand j'ai senti l'aiguille se rapprocher de mon coup, j'ai rassemblé toutes mes forces dans une dernière tentative désespérée de me libérer et je les ai repoussés avec toute la force accumulée. Un bruit sourd se fit entendre les deux gorilles venaient de voler a travers la pièce et de s'écraser contre les murs. J'en revenais pas mais c'était pas forcément ma priorité là. Je me suis mise a courir en direction de la porte pour sortir de cet enfer, une alarme se mis en route, je courais aussi vite que possible a travers ce bâtiment qui me paraissait être un véritable labyrinthe. Je passait devant tout type de médecins en blouses blanches et malades qui me fixaient les yeux écarquillés. Je voyais enfin une sortie de secours au bout du couloir en face de moi, j'ai tapé mon meilleur sprint et j'ai foncé dans la porte qui sortie de ses gonds a mon passage. Ca y est j'étais enfin dehors je sentais l'air frais du soir sur mon visage. j'ai continué de courir en direction d'une forêt que je voyais au loin. Après avoir passé un certain temps a courir dans le noir je me suis effondrée contre un arbre, épuisée par ma course j'ai fermé les yeux sans même m'en rendre compte.
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Un Bordel Sans Nom
FantasíaUne fille, totalement paumée, qui se demande tout autant que vous ce qu'il se passe et qui attend de savoir où tout cela va mener.