Afire Love

CHAPITRE UN.

[PDV: Selina.]

Il n'est que 7h00 lorsque je décidai d'ouvrir mes yeux et attendu 10 minutes de plus avant de sortir de mon lit.

 Je suis une fille qui aime prendre son temps, rien ne me presse; après tout, c'est comme un jour de cours normal, sauf que c'est le premier de l'année.

 J'appréhendais ce jour, comment aller réagir les élèves (Qui devaient connaître mon histoire sans doute vue qu'elle s’est répandu dans toute la ville.) ? Quelles seront leurs réactions, vont-ils recommencer ? Trop de questions se posent dans ma tête.

Je pris une douche avant de passer devant le miroir, je mis un simple trait d'eye-liner accompagné de mascara et j'avais recouvert mes lèvres d'un rose pâle. Je faisais, maintenant, partit des filles qui prêtaient attention à leurs looks. C'est pour cela que j'ai choisi de porter un simple slim foncé où je fis des ourlets, j'j’ajoutai un simple t-shirt blanc, une paire de converse blanche et une veste en jean. Je fis une tresse sur le côté et je laissai quelque quelques mèches dépasser.

- Selina ! Viens prendre ton petit déjeuner. Tu ne veux pas être en retard ton premier jour ? Cria mon père.

« Oh que si » pensais-je. Je ne voulais pas y aller. Je me regardai une dernière fois devant le miroir avant de descendre. Dans la cuisine se trouvait mon père qui consultait son journal. Je l’embrassai sur la joue avant de prendre place à côté de lui.

- Tu ne travailles pas aujourd’hui ? Demandais-je en buvant une gorgé de thé.

Mon père est un homme ayant un fort caractère mais toujours prêt à aider les autres et il fait preuve d’un grand courage, c’est sans doute pour cela qu’il est devenu pompier.

- Non pas aujourd’hui. Mais je ne serais pas là demain soir, je travaille de nuit. Désoler mon ange, je ne pourrais pas passer la journée avec toi.

 - Pas grave. Disais-je déçu.

Quelques minutes plus tard, nous prenions tous deux la voiture pour le lycée. Un silence régnait.

- Tu comptes t’inscrire dans un club ? Du genre l’orchestre ou un club de chimie ? Interrogea mon père avant de rire.

Je tournai mon regard vers son visage avant de me perdre dans un profond fou-rire. Je savais qu’il essayer de me détende. Reprenant mon calme, je repris mon air sérieux.

-  Tu à toujours le don de me faire rire, c’est incroyable. Et pour répondre à ta question, je ne sais pas. Je verrai ce qu’ils proposent.

 - Et pourquoi pas la danse ? Il le dit d’un ton très sérieux.

 - Je ne pense pas qu’il y a un club de danse, et tu à oublier que j’ai arrêté depuis longtemps et tu vois de quoi je parle.

Il soupira.

 En effet, je suis, enfin, j’étais une prodige de la danse d’après ma famille. C’était ma mère qui me donner des leçons. Elle voulait que j’intègre une grande école pour être –plus tard- renommé. Mais j’ai tout abandonné, à cause du manque de confiance.