XXXXXXVI - Lui

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Cela faisait bien une demi heure qu'il était allongé au soleil dans son balcon, il ne faisait rien ni ne pensais à rien, il était désormais heureux et surtout libres. Les chaînes de culpabilités qu'il portait s'était allégé subitement après qu'il ait écrit se lettre sous l'exemple de cette fille qu'il ne connaissait pas.

Elle l'intriguait, elle avait vu juste à propos de l'écriture. Seulement ce qui le bloquait, c'est que cette histoire ressemblait étrangement à celle qu'il avait vécu avec Eva. Devait-il sauter dans le grand bain ou bien se contenter du petit bassin et des bouées à l'abri du danger?

Ce qui était sûr c'est que vis-à-vis de ses amis, il savait quoi faire, sa lettre lui avait permis de s'apercevoir de ses erreurs et de lui indiquer la bonne route à suivre. Il avait décider d'aller s'excuser, à tout prit, de parler avec eux et de regler toute cette histoire afin que tout redevienne comme avant si tout pouvait redevenir comme avant..

- Naïm tu viens m'aider à ranger les courses?

- Oui maman.

Il se leva et alla la rejoindre dans l'entrée ou se trouvait trois grands sac cabas remplit de courses.

- Tu sais mon chéri, je t'ai trouvé de la soupes et j'ai appelé ta grand mère, qui était infirmière pour lui demander des astuces pour guérir la fièvre, et elle m'a dit qu'il serait bon pour toi de boire beaucoup d'eau, de prendre un bain d'eau tiède et lorsque tu as trop chaud, de refroidir lta température corporelle.

Il sourit puis la prit dans ses bras,

- Merci maman..

Elle sursauta lors du contacte avec lui avant d'hurler,

- Mais tu es brûlant!! 

- Non, enfin oui mais c'est parce que je suis resté au soleil pendant un petit moment..

- Mais pourquoi tu as fais ça?!

La furie de sa mère l'amusait,

- Ca faisait des semaines que j'étais resté cloîtré à la maison sans être exposé aux rayons solaire et j'étais en manque de Vitamine D.

Elle le tapa en l'insultant d 'inconscient et de fou de lui causer autant d'angoisse ce qui fit rire le jeune garçon qui essayait d'esquiver les disant coups indolores que lui lançait sa mère.

Elle s'arrêta et sourit avant de le prendre dans ses bras, de lui carresser les cheveux et de l'embrasser sur le front,

- Je suis tellement heureuse que tu ailles mieux moralement, tu es quelqu'un de formidable qui ne ferais pas de mal à une mouche. Ne te rend pas malade pour de petites histoires comme celle-ci, t'en verras d'autres crois-moi. C'est, je trouve, ce qui rend la vie plus distrayante.

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