Les Deux Omégas {NamJin}

Chapitre 10 : La fête

Un long soupire passa les lèvres de Namjoon alors qu'il se promenait tranquillement, ces écouteurs enfoncer dans ces oreilles passant les instrumentales que HoSeok avais composé, aujourd'hui était un mercredi pluvieux, les cours était fini depuis une heure et Namjoon c'était encore prit la tête avec son père, pas au point de ressentir le besoin d'être en loup, mais assez pour vouloir sortir. Namjoon aimait beaucoup la pluie, il trouvait les instant de pluie si mélancolique, il ferma un instant les yeux et réajusta sa casquette, l'été déclinais doucement et le froid commençait à venir doucement, les journées commençais à se raccourcir et la lune se montrait plus souvent dans le ciel, au plus grand plaisir de l'oméga. Plusieurs instrumentales passèrent dans ces oreilles mais aucune ne l'inspirait vraiment, HoSeok pour le tester lui avais demandé de faire deux musiques, l'une avais un thème imposer, un amour à sens unique, et l'autre était libre, mais Namjoon n'avais aucune idée de ce qu'il pouvait écrire, il tourna alors la tête vers les passant, tous sous des parapluies alors que lui n'avais que sa casquette. Mais il s'arrêta de marcher quand une musique se lança, elle était douce et lente, elle s'accordait parfaitement avec ce qu'il ressentait, il retrouvait la mélancolie qu'il y avait dans la pluie et un léger sourire prit place sur ces lèvres, il se sentait étrangement bien à cet instant précis, il voulait que la musique ne s'arrête pas, que ce moment ne s'arrête pas, que la pluie ne s'arrête pas.

Il voulait que cette pluie soit éternelle.

- Forever rain... murmura-t-il doucement en souriant, remettant l'instrumental et se dirigeant vers un coin à l'abri afin d'écrire les paroles qui lui passait en-tête.

Finalement, cette chanson libre ne l'aura pas t'en embêter que sa, les paroles lui venais naturellement, il mit à peine 40 min à les écrire, celle-ci s'accordant à la perfection avec la musique. Il aimait tellement écrire, mais que pouvait-il dire d'un amour à sens unique ? Pouvait-il parler de ces sentiment envers Jin ? Ce n'était peut-être pas une bonne idée, lui-même avais du mal à admettre ces sentiments, écrire dessus serait trop difficile pour lui. L'Oméga sorti de ces pensées et entendant son téléphone sonner, il regarda le contact qui l'appelait et vit marquer "Yoongi", il leur arrivait de se téléphoner afin de discuter un peu, certes il était fiancé de force mais cella ne les empêchait pas de bien s'entendre.

- Allô ? Hyung ?

- Salut Namjoon-ah, ça vas ?

- Ouais, je me promène tranquille dehors la.

- Mais il pleut.

- Et alors ? Répondis l'Oméga avec un petit sourire.

- Si t'es malade te plaint pas, sinon tu penses vraiment que c'est une bonne idée que je vienne à la fête dimanche ?

- Hyung, tu ma déjà poser six fois la question et ma réponse est toujours la même, tu es le bienvenu et je reprends les mots de Jungkook.

- Sinon je peux dire à mon père que j'ai une urgence et tu y vas sans moi.

- Hyung... soupira le plus jeune. Si tu ne veux pas venir dit le moi.

- Ce n'est pas ça, c'est juste que nos pères s'incruste déjà beaucoup dans notre vie privée, je me disais juste que tu voulais, le temps d'une soirée, ne pas penser à tous ça et vue qu'on va devoir se marier...

- Ne t'inquiète pas pour moi Yoongi Hyung, avant d'être mon fiancé tu es mon ami, on s'entend bien et je suis sûr que les autres serraient ravi de faire ta connaissance.

- Jin serra la j'imagine.

Namjoon avait en effet parler de Jin a son aîné, celui-ci en savait plus que nécessaire sur lui, sachant qu'il était très beau, avait une voix sublime, etc. Dès qu'une discutions menait a un sujet qui touchait de prêt ou de loin au Bêta, Namjoon l'évoquais et il était parti pour plusieurs minutes a parlé sans arrêt de celui qui a son cœur. Yoongi souriait juste en l'écoutant il avait l'impression de connaitre Jin sans l'avoir rencontré, mais a vrai dire il était pareille avec son âme sœur, parlant beaucoup d'elle, de ce quelle aimais, de ces passions, de ces rêves, Namjoon avais lui aussi l'impression de parfaitement la connaître sans jamais l'avoir rencontré ce qui le faisait rire.