Un jeune garçon ayant tout perdu, sa famille, sa maison, ses amis suite à un massacre
Un homme détestant au plus au point un homme
Cet homme était leur ennemi commun.
Non... Non ce n'est pas possible, cet énergumène à certainement prévu un leur, il peut pas être mort si facilement , c'est un piège...
-"Il ne peut pas être mort"
Mon nouveau jouet m'envoya directement une photo comme réponse, en effet, il a l'air fameusement amoché le con.
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J'imagine déjà Kurapika grogner en le voyant, avant de s'enfuir se mettre à l'abri..
-"Je ne comprends pas. C'est impossible.."
Kurapika : "Il s'est passé quoi bordel?!"
-"Je n'en sais foutrement rien, ce n'est juste pas possible qu'il aie claqué si facilement"
Kurapika: " Et pourtant je l'ai vu de mes propres yeux, j'ai pris son pouls pour être certain, la personne que j'avais en face de moi était bel et bien éteinte"
Je me mis à réfléchir, tournant en rond dans mon coin à l'abri du regard de la brigade, je savais que Pakunoda allait fouiller dans mes souvenirs si elle me voyait dans cet état, elle verrait donc mon plan envers le chef, visant certainement Kuroro en premier. Il en est hors de question qu'ils retrouvent mon blondinet si facilement alors que le brun voulait l'exterminé après la vente aux enchères pour se venger de la mort d'Uvo.
Et si c'était les Zoldyck ? Pacte ou pas, généralement si ça vient à mal tourner, ils éliminent ce qui se trouve dans leurs pattes
-"Il serait donc battu par les Zoldyck ?"
Kurapika: " Impossible, malgré leur possible pacte, il y avait beaucoup trop de monde pour risquer de tuer Kuroro, ils veulent garder leur réputation d'assassin, pas d'ange qui sauve le monde de l'araignée."
Pour le coup, il n'a peut-être pas tord. Hmmm il est réfléchit, cela me plait de plus en plus.. ça en devient.. Excitant. Quand il sera mur, je me demande ce que je ferais de lui.
-"Alors dis moi comment il aurait-t'il pu mourir ?"
Kurapika : "Et si c'était un piège?"
- " ça ne peut être que cela"
PDV Kurapika:
Merci de me rassuré psycho-clown ça m'aide vachement. Mais où l'araignée pourrait se cacher ? Il ne va pas retourner dans son repère alors que Gon et Killua l'avait trouver beaucoup plus tôt, en faire un autre aurait prit trop de temps...
-"Hisoka, il faut qu'on le retrouve"
Hisoka : "Où est la gamine ?"
-"Dans sa chambre avec 5 gardes, ils la surveillent. Et puis, Kuroro a eu le pouvoir qu'il voulait, il l'a copier. Il s'en fout de Neon maintenant non?"
Hisoka: "J'en sais foutrement rien"
-"Je vais aller voir ça, mais si il est la c'est qu'il est vraiment suicidaire. Arrange toi pour que les membres ne te soupçonnent de rien, tu réponds dans la seconde à chaque fois et ton chef n'est pas là, ça peut paraître suspect."
Je m'empresse alors d'aller dans la chambre de ma petite protégée et je souris en coin en voyant Kuroro au dessus d'elle, la main sur sa gorge pour l'étranglée, il voulait donc en finir avec elle pour gagner du pouvoir avec ses prédictions.
Étrangement, il a l'air beaucoup trop concentré pour faire attention à ce que je fais, il n'avait pas remarqué que j'étais rentré dans la pièce. Il envoie à chaque fois ses sbires faire le sale boulot ou c'était un mythe qu'il soit puissant ? Pourquoi Hisoka voudrait tant l'affronter si il ne broncherait même pas en sentant ma présence?
Je m'approche de lui et je lui donne un coup net dans la nuque, le rendant inconscient. Je le pousse un peu plus loin et je console un peu Neon avant de sortir avec le corps de Kuroro dans mes bras, évidemment, j'avais pris la peine de l'emprisonner de mes chaines. C'est qu'il est lourd en plus.
Une fois au dirigeable, je le pose à l'intérieur et je ferme la porte derrière moi, attendant des nouvelles du psychopathe de service.
PDV externe:
Pendant la fusillade devant l'hôtel, le petit Gon et son meilleur ami Killua avaient profiter pour utiliser leur zetsu et pour se cacher, la présence du numéro 4 de la brigade les intriguaient, ne sachant pas qu'il faisait en quelque sorte partie des traitres qui avaient anéanti le clan Kuruta.
Les enfants se trouvaient derrière une poubelle en observant, le petit Freecs étant surpris par la violence de l'attentat et Killua regardant la scène d'un air impassible.
Au bout de 5 minutes, un sourire malsain apparu faiblement sur le visage d'Hisoka en voyant la tignasse brune et verte de l'un de ses jouets. Il saisit alors son cellulaire.
Hisoka : "Pourquoi tes deux mioches sont entrain de nous observer et nous suivent depuis un bon quart d'heure? Ils ne sont pas très discret et ils ont énormément de travail à faire sur leur zetsu. Ils vont finir par se faire attraper."
Kurapika: "Tu sais que tu es un génie quand tu veux ?"
Kurapika souriait derrière son écran, Hisoka venait de lui donner la possibilité de crédibilisé Hisoka, de protéger "ses" deux gamins, de ridiculisé Kuroro et en plus de tuer par la même occasion un des membres présents lors du massacre.
Hisoka: "Je le sais, mais te voir le dire est un véritable délice. Pourquoi pense-tu cela ?"
Kurapika : " Attrapez-les, j'ai Kuroro avec moi. On va faire un genre de change en quelque sorte foireux. Par contre l'araignée va perdre un autre membre et cela sera Pakunoda. Gon et Killua ne savent pas que je suis le type à la chaine, ils seront donc relâché quand Pakunoda va revenir près de la brigade, au péril de sa vie, de plus si elle raconte tout, elle va mourir, chose qu'elle va certainement faire. Il faudra que tu te débrouilles pour venir quand elle sera partie."
Hisoka "D'accord M'sieur le blondinet, par contre je m'en fous qu'ils sachent qui je suis, leur tête déconfite serait jouissif à voir"
Kurapika: " Au plus on avance, au plus tu me désespère Hisoka."
Le coloré s'arrêta en riant faiblement avant de fixer Gon et son acolyte, faisant signe d'un feste du menton à Feitan qui s'approcha d'eux pour les embarquer, puis ils retournèrent dans un genre de banque qu'ils avaient réquisitionné.
Kurapika lui se mit à sourire encore plus, il la tenait sa vengeance, il allait détruire l'araignée. Il envoya ensuite une photo à Pakunoda, de Kuroro attaché, entrain de le fixé avec haine. Bien évidemment, il avait utilisé un téléphone jetable, voulant éviter que la brigade garde son numéro.
Pakunoda prit son téléphone en main avant de grimacer
Pakunoda: Je crois qu'on a un problème, le chef est détenu par le type à la chaine.
