The other world {Vkook}

🏰Chapitre 4🏰

Cela fait maintenant plusieurs jours que je suis revenue de cet incroyable monde enchanté. Tout était si beau et magique. J'y repense tout le temps, mais mes pensées se focalisent à chaque fois sur ce mystérieux homme à la crinière bleuté qui m'a sauvé. J'aimerais tellement le revoir !

J'ai parlé de ça à Hana et elle m'a bien rie au nez. Pour elle, tout ça n'était qu'un rêve. Elle doit sûrement avoir raison...

Je dois tellement avoir envie d'avoir une autre vie que j'ai dû m'imaginer un autre monde, pleins de magie. En même temps, j'aurais du m'en rendre compte, la magie.. Ça n'existe pas.

Je repense donc à tout ça dans mon lit, entourer d'obscurité. Je n'avais jamais osé ré ouvrir l'armoire depuis cette histoire. Mais soudain j'entends de nouveaux les oiseaux chanter. Je me pince pour être sûr que je ne dors pas, mais non, je suis bel et bien réveillé. Je bondis de mon lit et m'empresse de retourner dans ce monde fabuleux.

Une fois arrivée, la lumière me brûle les yeux et mit un petit temps avant de mi adapter.

Une fois fais, je marche à grands pas vers la ville de la dernière fois. Je ne sais pas pourquoi je vais aussi vite. J'espère tellement revoir ce garçon.. !

En un clin d'œil, je me retrouve devant l'entrer de la ville. J'entends les mêmes doux son revenir à mes oreilles. Je m'empresse de rentrer.

Pendant une demi-heure, je flâne le long des pavés ne regardant pas devant moi, je percute un garde royale ce qui nous fais tomber par terre.

- Oh, excusez-moi, c'est de ma faute, je ne faisais pas attention !

- Non ne t'en fais pas ce n'ai rien.

Je me relève, mais lui reste à terre, me dévisagent du regard.

- Eh, mais c'est toi le sale petit voleur de la dernière fois !

Merde ! J'avais oublier ça! Et vu la réaction que je fais, c'est sûr, il sait que c'est moi. Je pars en courant, mais je l'entends hurler.

- Oh voleur, arrêter le !

Je retourne la tête pour voir s'il me suit, mais de nouveau, je percute quelqu'un et tombe à terre. Est-ce le garçon aux cheveux bleu ? Et bien malheureusement non. Ce sont 3 énormes gardes qui me barraient la route. Je suis perdu.

Deux d'entre eux me prennent chacun un bras, on me conduisit dans la prison du palais.

C'est lugubre. Il fait froid. C'est quoi ça ? Mon dieu un squelette !

Je m'assois dans un coin de la pièce et pleure.

Mais pourquoi suis-je revenue ? Je suis trop bête ! Comment ai-je pus abandonner Hana?! Je suis un monstre de la laisser seule là-bas !

Au bout de quelques heures sans boire ni manger et à force de pleurer, je m'endormis épuisé.

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PDV Taehyung

À la sortie de la dernière fois, après avoir ramené ce garçon dans son monde, je me suis fait choper. Mon père était furieux et n'a plus jamais voulus que je sorte. Alors il a installé 2 gardes à chaque sortie possible et imaginable de ce palais. Et croyez moi, je les aie toutes faites.

Je suis dégoûté, je voudrais tellement revoir ce garçon ! Mais bon, je me console en me disant qu'il a échappé aux gardes de mon père et que maintenant, il est en sécurité.

- Prince, vous n'écoutez pas un mot depuis des jours, je commence à en avoir assez !

Sortie de mes songes, je le regarde avec un air blaser. Qu'es-ce qu'il me saoul ce prof !

- Bon trop s'est trop, je pars parler à votre père !

Et il partit en laissant la porte grande ouverte.

Je m'allonge alors sur mon pupitre.

Puis je vois passer par la porte 2 gardes en trains de discuter.

- Mais du coup, c'est qui le type qu'on a arrêté ce matin ?


- J'en sais absolument rien ! Il n'y aucun documents à son sujet. Comme s'il venait d'un autre monde. 

Et là, tout se reconnecta dans mon cerveau.

C'est lui !

Je me lève précipitamment et m'empresse d'aller dans les prisons du palais sans faire le moindre bruit.

Une fois arrivé, je remarquai qu'il y a encore un garde devant la porte.

Ce n'est pas vrai, mais il y en à partout ma parole !

Je soupire.

- Hyun-min tu vient manger ? C'est la pause ! T'inquiète, il va pas s'envoler!

- Ouais, t'as raison, j'arrive !

Il se lève et sortie.

Et bah dit donc, quelle coïncidence. Digne d'un roman.

Mais bon, je ne vais pas me plaindre loin de là.

Je m'engouffre donc à l'intérieur.