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Il était rude dans ses vas et vient et même si j'ai rencontrer plusieurs personnes en moi j'avais énormément mal et j'essayais de lui faire comprendre en essayant de l'embrasser pour calmer sa libido mais en vain.
C'est après plus d'une quinzième de minutes qu'il se retire enfin de moi avant de s'allonger sur le lit essoufflé tant dis que moi je ramassa mes sous vêtements par terre et part en direction de la salle de bain sous les regards de l'autre assoiffé de sexe alias Alejandro,le client .
...
Je venais tout juste de sortir de la douche quand je me fais brusquement plaquer contre le mur par Alejandro.
-en me détachant de lui bat les pattes,qu'est ce qui te prend ?
Alejandro: en agissant le telephone devant ma tête pourquoi tu parle avec que des gars sur ton téléphone ?
- en lui arrachant mon téléphone d'où tu te permet de fouiller dans mon téléphone déjà ?
Alejandro: Ce n'est pas la question pou-
-De temps plus,comment tu connais mon mot de passe ?
Alejandro: Pourquoi dans tes messages il y'a que des conversations où tu parle qu'avec des mecs ?
Sachant qu'il sais le métier que je fais,s'il activé son cerveau deux petites secondes,il devrait avoir réponse à sa question. Ça fais seulement quatre jours que j'ai atterrit en Espagne et c'est avec le seul client avec qui j'entretiens des rapports sexuelles pour l'instant,en seulement quatre jours de côtoiement il s'attache déjà à moi.
-Ce n'est pas ton problème,je n'ai pas de compte à te rendre.
Alejandro: sur un ton sec à mon retour dans la chambre je veut que tu te barre,petite pute va dit-il avant de rentrer dans la salle de bain.
Je sais faire la part des choses,je ne mélange pas amour et travail ensemble.
-JE PARTIRAI D'ICI QUAND TU M'AURA DONNER MON FRIC !
Je part m'asseoir sur le lit tout en m'habillant avant d'aller chercher moi même mon argent,je commence à fouiller dans ses poches de costard mais en vain il y avait rien.
C'est en fouillant dans ses poches de pantalon je retrouve une liasse billet enroulé.
Je ramasse mes affaires avant de sortir d'ici,on est jamais mieux servi que par sois même.
