La Perle

Chapitre 8

PDV : Yeonjun

-Pff... hahaha !!!!

Et je rigolai pendant tout le trajet pour la cafèt'. J'en avais les larmes aux yeux qui étaient eux en eye smile, tellement qu'on ne pouvait même plus voir mes yeux.

-Oh, ça va te moque pas, c'était pas drôle du tout, me râle dessus Louise, les joues gonflées se qui me fis rire encore plus qu'avant si c'étais encore possible.

-Mais arrête de te moquer de moi !!

-Je peux pas m'en empêcher, on dirait une gamine qui n'a pas ce qu'elle voulait en cadeau !!!

-Ouais ba j'y peux rien si j'ai encore une tête d'enfa....

Je l'a portais d'un coup arrivant au escaliers qui mènent à la cafèt'. Ce faisant surprendre, elle cria, m'explosant les tympans tellement s'était aigu.

-Wow, stop, arrête de crier !! Tu me pète le tympan là !!

-Je t'ai dis de me prévenir juste avant !!!!

-Ouais ba sois déjà contente que je t'ai pas laissé aller tête baissé dans les escaliers.

-Humpff, si tu le dis mais je maintiens que tu aurais pu me prévenir que tu allais me soulever

-On est arrivé. Lui annonçais pour qu'elle arrête de chipoter sur ce détail.

-Je n'ai pas fini ma réclamation !!

-Ouais mais je m'en fous, j'ai faim et puis y'aura des pancakes avec du sirop d'érable, donc tu te chute ou je t'abandonne ici et tu crèves de faim.

-De mon vivant je ne crèverai jamais de faim, surtout quand y a des pancakes à manger. Donc oui je vais me chuter.

Une fois en bas des escaliers plus qu'interminable quand tu as super faim, je posais Louise par terre et lui pris le bras pour la guider plus rapidement.

-Hey, calme-toi, je sais que tout le monde dans cette cafèt' te déteste pour une raison débile, mais c'est pas une raison de vouloir assez vite.

-Si c'est une raison et une bonne à mon avis.

-Tu m'as promis quoi juste avant ? Me demanda-t-elle malicieuse

Je sais que je suis en train de rompre ma promesse, mais je n'arrive pas à faire autrement, tous les regards sont dirigés sur nous et je n'arrive pas à en faire abstraction comme elle, elle pourrait le faire avec la facilité et la légèreté qu'elle possède.

-Je t'ai promis de ne plus fuir et de m'en foutre du regard des autres.

-En gros c'est ça, c'est bien t'as retenu la leçon malgré le fait que j'ai dû te faire une piqure de rappel, répond-elle le sourire aux lèvres, me « regardant » dans les yeux.

-Tu veux combien de pancake ? Je vais te faire ton plateau.

-Je dirai 4 avec beaucoup de sirop, me répondit-elle, les yeux brillant de gourmandise.

-Haha, ok, je vais te guider à une table et je vais aller faire nos plateaux.

-Et pas une table cachée dans un coin, le but n'est pas de fuir mais d'affronter.

-Oui cheffe.

Après l'avoir laisser à une table vide situer vers le centre du réfectoire, je partis faire la file pour nos plateaux. Et comment dire que la file n'était pas petite, mais vu l'heure c'était un peu normal, on approchait tout doucement de 8 heure du matin, l'heure où les cours commencent pour pratiquement tout le monde, sans compter le fait qu'il faut emmener la nourriture pour tout les élèves qui ont subi le rituel la veille.

Arrivé vers la fin de la file, au bout de 5 minutes environ, ce qui prouvent l'empressement des élèves. Juste avant que je puisse prendre les deux plateaux, un mec qui était arrivé en même temps que moi à l'école m'interpella :

-Oy, qu'est-ce que tu fais ici sous merde ?

-Je viens manger avec ma nouvelle équipière. Je te dérange c'est ça ?

-Ouais exactement. T'aurai mieux fait de ne jamais naître. Tes pouvoirs, sont des vraies malédictions et tout le monde en pâti.

-Ba tu sais quoi, toi aussi tu me déranges, ta mère ne t'as pas appris à être poli et ne pas déranger les gens qui ne t'ont jamais rien fait ?

-Ne parle pas de ma mère. Tu ne sais pas qui elle est, elle pourrait te botter le cul avec une telle insolence dont tu fais preuve.

-Alors toi, ne parles de mes pouvoirs tu ne les connais pas. Ils te botteraient le cul s'ils arrivaient à prendre le contrôle de mon corps.

Et je pris mes plateaux, le laissant seul avec ses réflexions à la con. Je pris nos petits-déjeuners et alla à notre table où Louise m'attendait le sourire aux lèvres.

-C'est bien tu as compris la leçon et en plus tu l'appliques. Je suis fier de toi mon fils.

-Tu n'es pas ma mère de ce que je sais, et voilà ton plateau. Lui répondis-je de façon limite détaché du monde.

-Oho, on dirait que des ailes ont poussé vu comment tu réponds maintenant.

-Ouais ba j'y peux rien si l'autre m'a agacé.

-Ouais, pas grave. Bon ap !!!