La fausse couche

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La grossesse de Betty se passe bien Denise comme Nathalie était aux petits soins. Mais en sortant de la salle de bains Betty ressent une très forte douleur au bas ventre elle appelle son mari qui arrive en courant il l’emmène à l’hôpital trop tard Betty avait perdu les bébé. Elle ne savais pas trop comment prendre cette nouvelle elle était arrivé à un moment de sa vie où elle commençait à ce poser des questions.

Denise qui après avoir appris la fausse couche de Betty et l’éventualité avancer par la gynécologue qu’il se pourrait que Betty ai des difficulté à tomber de nouveau enceinte change de comportement envers sa belle fille. Elle ira même jusqu’à proposer a son fils de prendre en seconde épouse Farida sous prétexte de vouloir assurer la descendance de son fils. Vue tout le Stress autour de sa fille Nathalie lui propose de faire un tour au village pour voir, visiter ces terres et la maison qu’elle et ces frères avait fait construire. Une fois au village Betty Pascal Alina Samantha analyse la situation.

Samantha : Tu va croire que je me suis mordu sur les belles mère mais toi tu as vraiment tirer le gros lot Betty.

Alina : Cette femme est une vraie hypocrite regarde comment elle est transformer. Comme toi tu as fait une fausse couche elle se tourne vers Farida et le petit..

Samantha : Cette même Farida qu’elle n’aime pas.

Betty : humm laisse la je ne cherche pas appréciation de belle mère. Mais ce qui m’a tuée c’est sa façon de mentir mal.

Pascal : Je t’avais dit de ne pas épouser ce Didier mais non tu t’es laisser avoir par son sourire Colgate voila ça.

Alina : Moi je te dit méfie toi de cette dernière tu vas te réveiller un matin et Farida vit chez toi. La vieille est trop grave

Betty : Je te dit pas faut la voir m’éviter et me lancer des piques

Pascal : Et bon une chose est bon dans cette histoire !

Samantha : Tchieeee Pascal y’a quoi de bon dans cette histoire

Pascal : Au moins elle connait le vrai visage de Denise

Alina : Pauvre Didier coincer entre sa femme sa mère et son ex

Dorine est arriver à terme de sa grossesse et accouche encore d’un petit garçon ce qui rend sa mère heureuse. Nathalie va prévenir Betty et son frère jumeau. À l’hôpital Serge débarque tout content au côté de sa femme. Dorine reste ferme tant que l’autre femme vivait dans la maison elle n’allait pas mettre un seul pied dans cette maison. Rentrer à la maison avec le bébé même Roger n’est plus pressé de voir sa fille aînée retourner chez Serge il faut dire que le père de famille qui restait souvent serein était dépasser par les évènements d’abord l’enfant de Pascal ensuite Betty pour lui c’était clair c’est finit ces enfants avant tout. Nathalie elle ne pouvait pas croire que Denise est autant changer.

Nathalie : Azoua cette femme est devenue autre chose je me dit que c’est Pascal qui avait raison je me suis faite avoir

Azoua : C’est elle seul qui a changer Didier et Patrice n’ont pas changer ils sont toujours les mêmes mais toi je te connais.

Rose : Tu pense dire à ta fille de quitter dans ça n’est ce pas ?

Nathalie : Tu connais l’histoire de ma sœur c’est dans ça elle est morte aujourd’hui ces enfants sont en Europe avec mon frère mais je me dit que si on avait parler elle serait encore ici

Azoua : Mes sœurs on a vue beaucoup Nathalie enlève la petite dans ça c’est mon avis elle est encore jeune.

Rose : C’est pas un âge où on doit se faire du soucis pour une mauvaise belle mère. J’ai la chance qu’Alina soit tomber sur toi

Azoua : Si c’était pas mon cœur qui m’avait tromper je n’aurais jamais laisser Sam aller vivre avec ce Tarik. Aujourd’hui je lui ai dit de quitter la bas elle me dit qu’elle veut essayer encore

Nathalie : Cette fille me fatigue déjà la gifle la m’a tuer parle lui. 23 ans et elles sont toutes les trois déjà dans ces troubles.

Rose : Vraiment ont dois les faire asseoir et leurs parler.

Azoua : J’aime l’honneur, me pommée la poitrine ko ma fille a trouver un homme bien mais je préfère ma fille vivante.

Rose : Nathalie merci beaucoup merci

Nathalie : Whisky est fini il faut acheter encore ?

Rose : Non, je te dit merci pour être la maman que tu est pour ma fille. Toi tu m’a tout donner le soutient de ton mari et le cœur de ton fils je vais mourir la tête tranquille.

Azoua : Ne dit pas de bêtises mourir pour allez où ?

Nathalie : Celle qui m’inquiète encore c’est Dorine mais là bas au moins je n’ai pas beaucoup parler elle est partie très vite.

Rose : Elle a toujours été vif. Pour elle je n’ai pas peur elle ne se laisse pas guider par son cœur comme les 3 autres.

Azoua : A Chaque fois que Dorine, Claire et Eva son là je n’ai peur de rien. C’est pas a nous de parler aux plus jeunes ces aux plus grandes.

Nathalie : Je dois reconnaître que les enfants ont toujours sû se débrouiller sans nous et on a jamais eu de problèmes.

Dans la maison de ces parents Didier essaie de comprendre le comportement de sa mère il savait que le quitter serait un vrai jeu d’enfant pour Betty et en aucun cas il ne voulait perdre sa femme.  Même le père de Didier était surpris il savait que Denise n’était pas un enfant de cœur mais ce changement subite l’étonne lui aussi.

Patrice : Tu est devenu folle comment peu tu demander à Didier d’épouser cette Farida et cela devant Betty ? Pourquoi ?

Denise : Je suis direct patrice elle ne peu plus donner d’enfant à mon fils. Sa beauté ne m’intéresse plus Farida a prouver qu’elle était capable de donner un enfant à mon fils. C’est tout !

Patrice : Le médecin a dit qu’il lui sera compliquer de données un enfant a Didier pas qu’elle ne pouvait plus. Alors arrête ça

Didier : Maman elle vient de faire une fausse couche au lieu de la consoler tu lui mène la vie dure ?

Denise : Je ne suis pas le père noël.

Didier : Je ne suis pas content. Tu sais que j’aime Betty arrête de la provoquer je ne veux pas la perdre. Je m’en fou de Farida

Denise : Qui te demande de perdre ta femme je te demande juste de prendre une assurance juste au cas où !

Didier : Maman ne vient plus créé des histoires dans mon foyer

Denise : C’est elle qui t’envoie ?

Didier : Bien sûr que non.

Denise : Maintenant tu est devenue son messager.

Didier : Tu lui reproche quoi au juste maman ?

Denise : Je t’ai dit une femme qui a été diagnostiquer incapable d’assurer la descendance de mon fils ne m’intéresse pas.

Didier et son père essaie de raisonner Denise mais c’était peine perdue.

BettyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant