Insta d'une noble légitime {Lady Oscar/ La Rose De Versailles Fanfic}

Chapitre 4: Une trahison douloureuse

Aujourd'hui, quelque chose d'affreux est arrivée. Et rien que de me rappeler ce que j'ai vécu me donne les larmes aux yeux, et me sert le cœur dans une étreinte douloureuse....

Tout avais bien commencer, en effet, il y a plusieurs jours, j'avais eu la surprise de reconnaître ma très cher sœur Jeanne dans une voiture magnifique. Elle était vêtue d'une toilette tellement belle, elle avait vraiment l'air d'une princesse. J'ai pris mon courage a deux main, et j'ai suivi la voiture. Je voulais tant revoir ma sœur! Je voulais savoir ou elle vivait maintenant, ça vie avait visiblement changer, mais j'étais heureuse pour elle. Heureuse qu'elle ne vive plus dans la pauvreté, elle a la vie qu'elle a toujours voulue.

C'est sur ces paroles que je vois la voiture s'arrêter. Et c'est a cet instant, celui ou je vois Jeanne descendre, pleine de prestance et de grâce, que je me dégonfle. Comment pourrais-je aller lui parler? Moi qui suis sale, je souillerai ça tenue coûteuse, et je me ridiculiserai. Je lui ferai honte...

Donc, ce matin, abattue par nos difficultés de plus en plus importantes, je me suis résolue a aller voir Jeanne, pour lui demander de l'aide. Après tout, elle était ma sœur, je ne peut pas croire que ça nouvelle condition l'ai changer. Arrivée près de ce grand manoir, je prend peur. 

Et si elle ne voulait plus me voir? Si elle ne voulait plus de liens avec son ancienne vie?

Non, je dois aller la voir, sinon je n'irais jamais. Au pire elle me mettra dehors, ou ne me répondra pas...

Je toque timidement, un servante viens me répondre.

-moi: Bonjour Madame, est-ce que je peut voir Jeanne, s'il vous plait ?

-servante: Votre nom ?

-moi: Euh... Rosalie.

-servante: Bien je vais la prévenir.

Sans que je n'ai eu le temps de la remercier, elle ferme la porte, me laissant dehors. J'attend donc ou je suis, espérant que ma sœur accepte de me recevoir.

C'est quelques minutes plus tard, j'entend des pas précipiter, je me retourne précipitamment et vois Jeanne dévaler les marches de l'escalier pour venir vers moi. Je fus si contente, si émue de la voir que je n'ai pus m'empêcher de lui suater dessus.

-moi: Jeanne ! Ooh c'est bien toi !! Tu es si belle !!

-Jeanne: Rosalie !!!

On resta dans les bras de l'autre un long moment, heureuse de ce retrouvée...

Je lui ai immédiatement dit que notre mère était très malade, je lui ai exprimé les peurs que j'avais a venir la voir. Je lui ai demander de nous aider, et j'ai été rassurer quand elle ma dit que je n'avais pas a être gênée, elle ma même inviter a entrer. Bien sur, devant ses invitées, elle ne ma pas présentée comme étant ça sœur, mais comme étant la servante qu'elle avait eu dans son ancienne maison. Cela m'avais un peu choquée, mais après tout, elle était une princesse maintenant. Elle ne pouvait pas me présentée comme étant ça sœur, mais cela m'importait. J'avais bien vue ses larmes lorsqu'elle ma prise dans ses bras, j'ai bien vue qu'elle était toujours ma sœur malgré les circonstances.

Elle me demanda d'attendre dans une pièce, ce que je fis. C'est un grand fracas qui me fis me retournée vers la porte. Un grand hommes, en costume de soldat entra et me regarda, un fouet a la main.

-???: C'est toi la petite garce !!? Alors comme ça tu menace Jeanne !?

J'eu beau essayer de m'expliquer, de démentir les accusations qu'il me disait. Il ne cesser de répéter que j'avais fait du chantage a Jeanne, que je menacer de dire a tout le monde que Jeanne était ma sœur, une mendiante. Il me frapper avec son fouet, je souffrait tant. Des blessures me lacérait les bras. Son fouet ne cesser de s'abattre sur ma peau.

-???: Elle m'a dit que je pouvais t'achever !!!

Je ne pouvait le croire, Jeanne ne pouvait pas avoir dit ça, pas elle !

Submergée et perdue dans ma tristesse, je me leva rapidement, et pris la fuite; comprenant que ma sœur ne viendrais pas a mon aide, comprenant qu'elle nous avait renier, moi et maman.

Une fois sortie et éloignée de cette maison, je me rendis enfin compte. 

Jeanne a essayé de me tuer !!

Je me releva et me mis a courir en pleurant. Je ne pouvait pas y croire, ou était ma sœur ?! Cette femme n'a plus de cœur ! 

Je ne peut pas le croire ! Mon Dieu, dites moi que c'était un cauchemar et que je vais me réveiller !