Lεs βαταrds (지국)

Dans les bras de l'ennemie

Hellooooooooo !!!

Je sais je sais, je suis une incapable, je suis desoleeeeee !!

Je vais vous épargner des excuses qui ne peuvent pas vraiment justifier mon absence et donc, voilà!

Bonne lecture!!

Ps: Bravo à Nous ARMYs d'avoir battu un nouveau record avec Dynamite!!! Bravo aux garçons pour leurs très bon travail toujours mieux que l'avant! Une fierté inébranlable!!

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«Arrêtez, sil vous plaît» Je les suppliais de sarrêter mais ils continuèrent avec leurs coups de pieds «Pitié» et bientôt je nen pouvais plus, «arrê-tez» je sentis mes forces me quitter m'obligeant à subir sans faire preuve d'une quelconque lutte contre mes agresseurs, je reçu un dernier coup sur la tête et quelques instant plus tard mes yeux se firent lourds et se fermèrent me plongeant dans le noir.

Je me réveilla en sursaut le souffle saccadé, les membres engourdis, ma peau étant en sueur; se hérissa en sentant une brise de courant d'air frais. Ce n'était encore qu'un cauchemar? Une fois réveillé de ma transe je me mit à détailler la pièce dans laquelle je me retrouvais, je me rendis compte que je n'étais pas chez moi, oui, je n'étais sûrement pas chez moi, cette chambre est quatre fois plus grande que la mienne, hormis le fait d'être le fils du chef de meute qui plus était un descendant dune famille plutôt riche; je n'étais pas vraiment considéré comme lun des leur, je n'étais que le bâtard qui faisait honte à toute la famille ainsi que la meute et donc je ne possédais pas grand-chose comme mes frères et surs.

Attendez, vu que je ne suis pas chez moi, où suis-je alors? A qui est cette chambre? J'enlevai le draps qui me couvrait et tenta de me relever du lit, cependant; je me rassis immédiatement en sentant une vive douleur me lancer au niveau des cotes, douleur que j'oubliai bien rapidement, quelque chose m'attira, mes sens se réveillèrent et se mirent en alerte, je reniflais une odeur exquise ainsi qu'une aura qui me fit chaud et rassura au premier lieu mais devint oppressante, douloureuse, je me plia en deux ne pouvant plus faire face à cette aura que je fini par reconnaître comme celle dun alpha, étant souvent le souffre douleur de la plupart des alpha de mon ancienne meute, je pu constater que celui-ci était fort puissant, bien plus que ceux auxquels j'avais fait face d'après l'effet quil me faisait.

Je couina de douleur sentant laura se faire plus opprimante, l'alpha semblait très en colère et je pris encore plus peur en pensant au fait quil pourrait me faire du mal. «Arrêtez.» Fis-je d'une voix à peine audible par moi même en me recroquevillant. J'avais tellement peur que j'en tremblais, Or, quelque chose me disait que je devais sortir de cette chambre si je ne voulais pas étouffer à cause de la douleur, je devais aller le voir, je devais retrouver cet alpha et l'aider à se calmer.

Je me releva du mieux que je pouvais et entrepris de m'avancer vers la source de mes tourments en quittant dabord la chambre dans laquelle j'étais, passant ensuite par un long couloir un peu sombre et aux murs de couleurs ternes, plus je marchais ou du moins essayais de marcher je voyais des statues de différentes formes, couleurs et tailles. Si je n'étais pas torturé en ce moment là j'aurais pu prendre du plaisir à contempler chacune d'entre elles; mais ce n'est guère le moment pour cela.

Je continuais donc ma route en montant un escalier long, large et magnifiquement construit et marbré, n'empêche sa beauté ne m'épargna pas de la torture que je subissais; décidément cet alpha n'était pas prêt de se calmer de si tôt. Arrivé à l'étage où; je déduis être la place où cet inconnu dalpha se tenait, je continuais d'avancer en entendant des brimes; une voix grave , quelque peu rouillée montait et descendait à plusieurs reprises, je tentais de comprendre quelque chose mais je n'ai réussis qu'à capter un nom qui semblait être celui de l'autre personne à laquelle l'alpha s'adressait; «Taehyung». J'arrivais devant la porte grande ouverte de la pièce où ils étaient mais je ne vis qu'une seule personne tenant contre son oreille un téléphone, je compris donc qu'il n y avait que l'alpha devant moi, me donnant du dos qui ma parole était bien battit, large et musclé; je sentis mon ventre se tordre en pensant au fait de le toucher et le sentir et j'émis un faible gémissement dont j'étais honteux n'ayant jamais connu ce-ci au paravent.