[ Inspirée d'une histoire réelle ]
- Je n'ai rien avoir la dedans, je vous en pris laissez-moi tranquille ! Laissez mon enfant tranquille, hurla-t-elle désespérément en tentant de se défaire de l'emprise des deux hommes, tout deux vêtu de costume...
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𝑵𝒐𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒖𝒕𝒆𝒖𝒓
Rione Traiano, Scampia, Rione Sanità... Le nom de ces quartiers italien, sont rarement évoqué à la télévision française, et pourtant ils sont connues de tous les italiens. Des quartiers populaire de la banlieue napolitaine, où règne la mafia locale, connue pour le trafique de drogue imposant et pour leurs taux criminalité.
À Rione Traiano, la situation est devenue critique – le quartier détient le triste record du plus grand nombre de fusillades à Naples. En fait, celles-ci ont pour la plupart lieu depuis un scooter. À certaines heures de la journée l'on peut entendre des coups de feu dans le quartier. C'est comme si, pour chaque arme saisie par la police, dix autre apparaissent en plus dans les rues.
Ce ne sont pas les preuves qui manquent pour illustrer ce décalage générationnel. En juin dernier, environ 60 jeunes affiliés aux familles Giuliano, Sibillo, Brunetti et Almirante . Ils faisaient régner leur loi sur un territoire s'étendant sur deux kilomètres carrés, entre le quartier de Forcella et celui de Maddalena. Les enquêteurs ont découvert que ce cartel, ayant déjà la « mainmise sur toutes les activités illégales du centre de Naples » était composé de « membres très jeunes, venant de célèbres familles criminelles. » Vice
L'Été 2014, David Bifolco, habitant des bidon ville de Rione Traiano, âgé de dix-sept ans, est abattu sur son scooter, par un carabinier l'ayant pris pour un mafiosi en cavale.
Le gendarmes présumé coupable à été condamné par le tribunal de Naples, mais le 16 octobre 2018 sa peine a été suspendue.
Le frère de David, Tommaso Bifolco décède. Après avoir appris la mauvaise nouvelle, il a refusé de se nourrir et de dormir pendant 5 jours.
Cette histoire est inspirée de fait réel, cependant il est important de préciser que l'intégralité de l'histoire reste néanmoins fictive. Les passages et récits de l'œuvre tirés d'histoire vrai seront signalé par un petit en tête.
J'écris Des bleus à l'âme, l'histoire de Dulcibella, jeune napolitaine, conforté aux mafia locale de son pays, en hommage à Genny et Salvatore de Scampia, David, Tommaso, Lidya ... Et à tous nos proches victimes de l'Etat et de la Bella Società Riformata.
